Le 3ème festival de la miniature et de l'enluminure emboîte le pas à celui de la calligraphie arabe concernant le devenir des œuvres gagnantes. En effet dorénavant, les musées algériens garderont les meilleures œuvres des participants aux concours qui sont traditionnellement organisés lors des festivals. Une manière d'enrichir le fonds de certains musées qui en sont à leurs balbutiements. Le 3ème festival de la miniature et de l'enluminure emboîte le pas à celui de la calligraphie arabe concernant le devenir des œuvres gagnantes. En effet dorénavant, les musées algériens garderont les meilleures œuvres des participants aux concours qui sont traditionnellement organisés lors des festivals. Une manière d'enrichir le fonds de certains musées qui en sont à leurs balbutiements. «C'est une excellente mesure qui va considérablement enrichir nos collections et faire connaître le travail de très grands artistes. » a déclaré, hier, M. Kechkech Moussa, commissaire au festival, lors de la conférence de presse qu'il a donné à la galerie d'art Omar Racim du boulevard Pasteur à Alger. Il a souligné que le bénéfice est également pécuniaire car certaines œuvres se vendent à des prix qui dépassent de très loin le montant de la récompense qui reste souvent symbolique. Certains tableaux atteignent par exemple la valeur marchande de 120 000 dollars….Entouré de M. Belkehla Mustapha, peintre miniaturiste et directeur du musée national de l'enluminure et de la miniature qui est installé dans la basse Casbah au palais de Mustapha Pacha et de M. Amimer Farid, chargé de l'administration du festival, M. Kechkech en a annoncé le programme et les objectifs. «Il s'agit pour nous de développer cet art en Algérie en permettant au public de le découvrir et aux artistes du monde entier d'échanger. » Il a souligné que le festival est ouvert à toutes les régions d'Algérie désireuses de participer, qu'elles aient ou non une école des Beaux-Arts. Le festival qui se déroulera du 14 au 20 octobre au Palais de la Culture et à l'Institut Supérieur de Musique, verra la participation d'une quinzaine de pays étrangers représentés par 35 artistes. A côté des artistes des pays arabes et musulmans dont la présence est majoritaire, on note la participation de la France et celle de l'Inde. La Turquie, la Syrie, l'Iran, l'Irak et le Pakistan, renommés en la matière sont les plus représentés. L'Inde, le Liban, le Yémen, la Tunisie, le Maroc, l'Arabie saoudite et l'Egypte ont respectivement un seul participant. Quant à la Jordanie, elle est représentée par deux artistes. Parallèlement à l'expo proprement dite, dont le vernissage est programmé à 17 h30, le 14 octobre, au Palais de la Culture de Kouba, des ateliers et des séminaires sont organisés les 15, 18 et 19 à l'Institut supérieure de Musique à deux pas du Palais des Rais. Dans ce cadre , des conférences seront animées par Les professeurs Youcef Denoune d'Irak, Abd Ettaïf Mohamed Sedouk de Tunisie,Adnane Cheikh Ethmane de Syrie et Salah Edine Chirzad du Liban. Les thèmes portent essentuellement sur les rapports entre l'enluminure , la miniature et la calligraphie islamique. A noter que la seconde conférence portera sur l'art particulier du célèbre miniaturiste algérien, Mohamed Temmam. Par ailleurs un concours récompensera les trois meilleurs enlumineurs et les trois meilleurs miniaturistes. Un jury international départagera les concurrents. «C'est une excellente mesure qui va considérablement enrichir nos collections et faire connaître le travail de très grands artistes. » a déclaré, hier, M. Kechkech Moussa, commissaire au festival, lors de la conférence de presse qu'il a donné à la galerie d'art Omar Racim du boulevard Pasteur à Alger. Il a souligné que le bénéfice est également pécuniaire car certaines œuvres se vendent à des prix qui dépassent de très loin le montant de la récompense qui reste souvent symbolique. Certains tableaux atteignent par exemple la valeur marchande de 120 000 dollars….Entouré de M. Belkehla Mustapha, peintre miniaturiste et directeur du musée national de l'enluminure et de la miniature qui est installé dans la basse Casbah au palais de Mustapha Pacha et de M. Amimer Farid, chargé de l'administration du festival, M. Kechkech en a annoncé le programme et les objectifs. «Il s'agit pour nous de développer cet art en Algérie en permettant au public de le découvrir et aux artistes du monde entier d'échanger. » Il a souligné que le festival est ouvert à toutes les régions d'Algérie désireuses de participer, qu'elles aient ou non une école des Beaux-Arts. Le festival qui se déroulera du 14 au 20 octobre au Palais de la Culture et à l'Institut Supérieur de Musique, verra la participation d'une quinzaine de pays étrangers représentés par 35 artistes. A côté des artistes des pays arabes et musulmans dont la présence est majoritaire, on note la participation de la France et celle de l'Inde. La Turquie, la Syrie, l'Iran, l'Irak et le Pakistan, renommés en la matière sont les plus représentés. L'Inde, le Liban, le Yémen, la Tunisie, le Maroc, l'Arabie saoudite et l'Egypte ont respectivement un seul participant. Quant à la Jordanie, elle est représentée par deux artistes. Parallèlement à l'expo proprement dite, dont le vernissage est programmé à 17 h30, le 14 octobre, au Palais de la Culture de Kouba, des ateliers et des séminaires sont organisés les 15, 18 et 19 à l'Institut supérieure de Musique à deux pas du Palais des Rais. Dans ce cadre , des conférences seront animées par Les professeurs Youcef Denoune d'Irak, Abd Ettaïf Mohamed Sedouk de Tunisie,Adnane Cheikh Ethmane de Syrie et Salah Edine Chirzad du Liban. Les thèmes portent essentuellement sur les rapports entre l'enluminure , la miniature et la calligraphie islamique. A noter que la seconde conférence portera sur l'art particulier du célèbre miniaturiste algérien, Mohamed Temmam. Par ailleurs un concours récompensera les trois meilleurs enlumineurs et les trois meilleurs miniaturistes. Un jury international départagera les concurrents.