Il n'est pas question pour le département de Ghlamellah d'annuler les rites du Hadj cette année. Aussi, et à cause de la non-disponibilité des vacins contre le virus A H1N1, les hadjis se rendront aux Lieux Saints sans le respect des règles de préventions prévues. Il n'est pas question pour le département de Ghlamellah d'annuler les rites du Hadj cette année. Aussi, et à cause de la non-disponibilité des vacins contre le virus A H1N1, les hadjis se rendront aux Lieux Saints sans le respect des règles de préventions prévues. Alors que la saison du "hadj" démarrera, cette année, en plein propable pic de la pandémie de la grippe porcine, les autorités nationales ne veulent pas entendre parler du report de ce rendez-vous annuel. Une campagne de vaccination contre la grippe saisonnière pour les 36.000 hadjis, inscrits cette année, a débuté il y a quelques jours. 40.000 doses ont été importées, il y a un mois, pour les besoins de cette campagne. Le département de Ghlamallah n'envisage pas «le report ou encore l'annulation des rites du "hadj" cette année pour cause de la non-réception du vaccin contre le vaccin H1N1 avant les délais», cela ne serait pas à l'ordre du jour, a appris Midi Libre de source sûre . Le premier groupe de pèlerins se rendra à La Mecque le 2 novembre et ce en dépit de la non disponibilité du vaccin contre la grippe H1N1. Une situation qui «ne prête pas à l'inquiétude puisqu'elle ne concerne pas uniquement l'Algérie, mais tous les pays qui prendront part au "hadj"», selon le ministère des Affaires religieuses. L'Algérie se dit ne pas être concernée par les mesures décidées par les autorités saoudiennes et celle émises par la Conférence des ministres de la Santé arabes. L'Office national du hadj et de la omra a décidé donc de tout ignorer ! Pourtant, au moins 75% des 36.000 candidats algériens au hadj se recrutent parmi le troisième âge. «L'âge de la majorité des futurs hadjis algériens dépasse les 60 ans», selon les données de l'office. «L'Etat algérien n'a pris aucune mesure pour revoir à la baisse le nombre de hadjis et n'a pas fixé d'âge limite pour les personnes désirant accomplir les rites du grand pèlerinage de cette saison», a souligné récemment à ce propos Cheikh Barbera, directeur de ce même office. Le 14 mai dernier, le ministre de la Santé a signé l'arrêté fixant la liste des affections médicales incompatibles avec l'accomplissement des rites du pèlerinage. En plus de certaines affections cardio-vasculaires, celles mentales, les personnes soufrant d'asthme, de tuberculose, de cancer évolutif, de handicape moteur majeur ne sont pas autorisées à se déplacer aux lieux saints. Les femmes enceintes, quant à elle, peuvent accomplir les rites sauf si elles sont au 3e trimestre. Il est à noter que l'Algérie a enregistré 48 cas de grippe porcine. Tous sont des cas importés et n'ont pas présenté de complications. Le dernier cas, concerne une personne rentrée des Lieux Saints de l'Islam. C'est un homme, la quarantaine, ayant accompli les rites de la Omra. Il faut savoir que 34 agences de voyage ont été chargées d'organiser la saison du "hadj" dont deux agences publiques. Parmi les nouvelles mesures prises pour cette saison, l'augmentation de 200 riyals du montant alloué au hadji qui a atteint 2.500 riyals pour chaque hadji. Alors que la saison du "hadj" démarrera, cette année, en plein propable pic de la pandémie de la grippe porcine, les autorités nationales ne veulent pas entendre parler du report de ce rendez-vous annuel. Une campagne de vaccination contre la grippe saisonnière pour les 36.000 hadjis, inscrits cette année, a débuté il y a quelques jours. 40.000 doses ont été importées, il y a un mois, pour les besoins de cette campagne. Le département de Ghlamallah n'envisage pas «le report ou encore l'annulation des rites du "hadj" cette année pour cause de la non-réception du vaccin contre le vaccin H1N1 avant les délais», cela ne serait pas à l'ordre du jour, a appris Midi Libre de source sûre . Le premier groupe de pèlerins se rendra à La Mecque le 2 novembre et ce en dépit de la non disponibilité du vaccin contre la grippe H1N1. Une situation qui «ne prête pas à l'inquiétude puisqu'elle ne concerne pas uniquement l'Algérie, mais tous les pays qui prendront part au "hadj"», selon le ministère des Affaires religieuses. L'Algérie se dit ne pas être concernée par les mesures décidées par les autorités saoudiennes et celle émises par la Conférence des ministres de la Santé arabes. L'Office national du hadj et de la omra a décidé donc de tout ignorer ! Pourtant, au moins 75% des 36.000 candidats algériens au hadj se recrutent parmi le troisième âge. «L'âge de la majorité des futurs hadjis algériens dépasse les 60 ans», selon les données de l'office. «L'Etat algérien n'a pris aucune mesure pour revoir à la baisse le nombre de hadjis et n'a pas fixé d'âge limite pour les personnes désirant accomplir les rites du grand pèlerinage de cette saison», a souligné récemment à ce propos Cheikh Barbera, directeur de ce même office. Le 14 mai dernier, le ministre de la Santé a signé l'arrêté fixant la liste des affections médicales incompatibles avec l'accomplissement des rites du pèlerinage. En plus de certaines affections cardio-vasculaires, celles mentales, les personnes soufrant d'asthme, de tuberculose, de cancer évolutif, de handicape moteur majeur ne sont pas autorisées à se déplacer aux lieux saints. Les femmes enceintes, quant à elle, peuvent accomplir les rites sauf si elles sont au 3e trimestre. Il est à noter que l'Algérie a enregistré 48 cas de grippe porcine. Tous sont des cas importés et n'ont pas présenté de complications. Le dernier cas, concerne une personne rentrée des Lieux Saints de l'Islam. C'est un homme, la quarantaine, ayant accompli les rites de la Omra. Il faut savoir que 34 agences de voyage ont été chargées d'organiser la saison du "hadj" dont deux agences publiques. Parmi les nouvelles mesures prises pour cette saison, l'augmentation de 200 riyals du montant alloué au hadji qui a atteint 2.500 riyals pour chaque hadji.