A peine la rentrée scolaire entamée que les problèmes commencent à surgir. Cette fois, c'est les lycées des Issers, de Chabet El Ameur et de Boumerdès, qui sont paralysés par un mouvement de grève contre les conditions de scolarisation. A Issers, les enseignants ont boycotté les cours, hier, en signe de protestation contre la surcharge des classes au technicum Bouiri Boualem. Ils protestent contre les heures supplémentaires et le manque de personnel enseignant. En fait, ils réclament l'ouverture de nouveaux postes budgétaires pour contenir le volume horaire enseigné. Ils décrient l'emploi du temps trop chargé qui ne leur permet pas de dispenser les cours aux élèves dans de bonnes conditions. Ils refusent de dispenser les cours dans des classes dépassant 40 élèves notamment, les classes techniques, se référant au décret 44 du 13/01/1998. En outre, les élèves du lycée Boukabous Ahmed de Chabet El Ameur, sont, en grève depuis avant-hier, en signe de protestation contre l'affectation de 4 classes vers une annexe au niveau du CEM Si- Rachid. Cette annexe de fortune, comme les lycéens aiment à la décrire, a été ouverte pour contenir le nombre croissant des élèves cette année. «Cette annexe ne répond plus aux normes exigés pour une bonne scolarisation», nous dira un lycéen. «Les salles de l'annexe ne disposent pas de portes, les vitres sont cassées, comment voulez-vous qu'on étudie dans de telles conditions, alors que l'hiver approche», nous dira un autre lycéen affecté à l'annexe en question. A peine la rentrée scolaire entamée que les problèmes commencent à surgir. Cette fois, c'est les lycées des Issers, de Chabet El Ameur et de Boumerdès, qui sont paralysés par un mouvement de grève contre les conditions de scolarisation. A Issers, les enseignants ont boycotté les cours, hier, en signe de protestation contre la surcharge des classes au technicum Bouiri Boualem. Ils protestent contre les heures supplémentaires et le manque de personnel enseignant. En fait, ils réclament l'ouverture de nouveaux postes budgétaires pour contenir le volume horaire enseigné. Ils décrient l'emploi du temps trop chargé qui ne leur permet pas de dispenser les cours aux élèves dans de bonnes conditions. Ils refusent de dispenser les cours dans des classes dépassant 40 élèves notamment, les classes techniques, se référant au décret 44 du 13/01/1998. En outre, les élèves du lycée Boukabous Ahmed de Chabet El Ameur, sont, en grève depuis avant-hier, en signe de protestation contre l'affectation de 4 classes vers une annexe au niveau du CEM Si- Rachid. Cette annexe de fortune, comme les lycéens aiment à la décrire, a été ouverte pour contenir le nombre croissant des élèves cette année. «Cette annexe ne répond plus aux normes exigés pour une bonne scolarisation», nous dira un lycéen. «Les salles de l'annexe ne disposent pas de portes, les vitres sont cassées, comment voulez-vous qu'on étudie dans de telles conditions, alors que l'hiver approche», nous dira un autre lycéen affecté à l'annexe en question.