L'Algérie a fêté, hier, à l'instar du reste du monde, la Journée mondiale de la femme rurale. L'association nationale "Femme et Développement rural" (ANFEDR) a pris en charge la célébration de cette journée via une rencontre de réflexion et d'étude sur la situation socio-économique de la femme rurale et le droit de cette frange souvent marginalisée au développement et à l'amélioration. L'occasion était pour les femmes et acteurs du secteur de débattre de la question et discuter des meilleures modalités pour faire basculer la vie de ces femmes vers une activité indépendante et donc une autonomie financière. Au cours de cette manifestation, une convention a été signée entre l'ANFEDR et l'Association nationale des femmes chefs d'entreprise au profit des femmes habitant dans les zones éloignées à l'intérieur du pays. Ces dernières seront, en application à cette convention, assistées par tous les moyens possibles pour les aider à améliorer leur cadre de vie socio-économique et, par ricochet, à performer leur mode de vie. L'ANFEDR n'a pas manqué d'honorer un nombre de femmes issues de la campagne. Ces dernières ont été distinguées pour leur ténacité dans leurs activités respectives. Pour Mme Zitoune Baya, présidente de l'association organisatrice, « cette distinction traduit également, la contribution de ces femmes à l'économie familiale et, plus généralement, au développement, et ce, dans un environnement pas toujours favorable». Cet évènement s'inscrit dans la volonté de l'association à redonner à la femme cloîtrée au fond de l'Algérie sa place méritée dans le milieu social et dans le milieu du travail. Surtout que Mme Zitoune Baya, au nom de son association, a à maintes fois affirmé que la femme rurale est considérablement privée des différents dispositifs engagés par l'Etat afin d'aider la femme à s'instruire, travailler et s'imposer dans la société pas toujours agréable avec elle. L'ANFEDR est une association nationale dont la cause principale est l'intégration des femmes dans le développement rural, et ce, en les accompagnant dans leurs activités afin d'améliorer leurs conditions de vie, de santé, d'éducation et de travail ainsi que celles de leurs familles. L'ANFEDR est agréée depuis 2001. La célébration de la Journée mondiale de la femme rurale a regroupé un bon nombre de femmes des différentes régions du pays ainsi que des participants représentant certaines institutions, à savoir les ministères, les agences spécialisées et les associations nationales et locales.Des recommandations qualifiées de «réalistes» devaient être décidées hier en fin de journée. L'Algérie a fêté, hier, à l'instar du reste du monde, la Journée mondiale de la femme rurale. L'association nationale "Femme et Développement rural" (ANFEDR) a pris en charge la célébration de cette journée via une rencontre de réflexion et d'étude sur la situation socio-économique de la femme rurale et le droit de cette frange souvent marginalisée au développement et à l'amélioration. L'occasion était pour les femmes et acteurs du secteur de débattre de la question et discuter des meilleures modalités pour faire basculer la vie de ces femmes vers une activité indépendante et donc une autonomie financière. Au cours de cette manifestation, une convention a été signée entre l'ANFEDR et l'Association nationale des femmes chefs d'entreprise au profit des femmes habitant dans les zones éloignées à l'intérieur du pays. Ces dernières seront, en application à cette convention, assistées par tous les moyens possibles pour les aider à améliorer leur cadre de vie socio-économique et, par ricochet, à performer leur mode de vie. L'ANFEDR n'a pas manqué d'honorer un nombre de femmes issues de la campagne. Ces dernières ont été distinguées pour leur ténacité dans leurs activités respectives. Pour Mme Zitoune Baya, présidente de l'association organisatrice, « cette distinction traduit également, la contribution de ces femmes à l'économie familiale et, plus généralement, au développement, et ce, dans un environnement pas toujours favorable». Cet évènement s'inscrit dans la volonté de l'association à redonner à la femme cloîtrée au fond de l'Algérie sa place méritée dans le milieu social et dans le milieu du travail. Surtout que Mme Zitoune Baya, au nom de son association, a à maintes fois affirmé que la femme rurale est considérablement privée des différents dispositifs engagés par l'Etat afin d'aider la femme à s'instruire, travailler et s'imposer dans la société pas toujours agréable avec elle. L'ANFEDR est une association nationale dont la cause principale est l'intégration des femmes dans le développement rural, et ce, en les accompagnant dans leurs activités afin d'améliorer leurs conditions de vie, de santé, d'éducation et de travail ainsi que celles de leurs familles. L'ANFEDR est agréée depuis 2001. La célébration de la Journée mondiale de la femme rurale a regroupé un bon nombre de femmes des différentes régions du pays ainsi que des participants représentant certaines institutions, à savoir les ministères, les agences spécialisées et les associations nationales et locales.Des recommandations qualifiées de «réalistes» devaient être décidées hier en fin de journée.