Développer l'aquaculture pour assurer la sécurité alimentaire en état de crise dans le pays, tel est l'objectif du séminaire «L'aquaculture et la sécurité alimentaire», organisé par la direction des ressources halieutiques de la wilaya de Boumerdès en collaboration avec l'université M'hamed-Bouguerra. Développer l'aquaculture pour assurer la sécurité alimentaire en état de crise dans le pays, tel est l'objectif du séminaire «L'aquaculture et la sécurité alimentaire», organisé par la direction des ressources halieutiques de la wilaya de Boumerdès en collaboration avec l'université M'hamed-Bouguerra. La Journée mondiale de l'alimentation qui coïncide avec le 16 octobre de chaque année, a été initiée en 1979 par la conférence de l'organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). Son but était de renforcer la solidarité pour la lutte contre la faim. Les participants à ce séminaire ont abordé le point relatif à la nécessité de développer le secteur de l'aquaculture qui, selon eux, peut devenir un secteur de taille du fait que notre pays, et spécialement la wilaya de Boumerdès, dispose de potentialités inégalées en la matière. Et pour réaliser cet objectif, les spécialistes ont mis en valeur un schéma directeur de développement du secteur de la pêche visant à créer des fermes pilotes à travers tout le territoire national. Les représentants du ministère des Ressources en eau ont appelé les investisseurs à investir dans ce domaine afin d'arriver aux buts tracés dans ce séminaire. M. Oussaid, représentant du ministère, a déclaré, en marge de cet évènement, que «450 sites favorables à l'implantation de ce genre de fermes ont été identifiés à travers le territoire national». Le conférencier, ajoute dans ce sens que «36 projets d'implantation de fermes sont déjà en cours de réalisation». Il cite dans ce cadre la ferme de Cap Djenet, à l'est de Boumerdès, qui est en activité actuellement. En outre, la wilaya de Boumerdès a inscrit quatre autres fermes-pilotes, mais l'on déplore tout de même le retard mis pour leur entrée en activité. Les séminaristes ont toutefois appelé à développer l'aquaculture intégrée à l'agriculture, qui comprend, outre l'élevage de poisson, l'utilisation d'éléments du bétail pour l'élevage de poisson. Ils ont montré le rôle important que joue l'aquaculture intégrée en agriculture dans la lutte contre la faim. Ce qui peut constituer une alternative de taille pour endiguer la crise alimentaire. Sur un autre plan, les intervenants n'ont pas négligé la situation géographique de l'Algérie notamment l'étendue de ses côtes. Par ailleurs, la lutte contre la faim est parmi les 8 objectifs tracés par l'organisation des Nations unies dans le cadre de la déclaration millénaire pour le développement signée en septembre 2000 par les dirigeants de la communauté internationale dans la lutte contre la faim, la réduction de l'extrême pauvreté, l'alphabétisme, la dégradation de l'environnement et l'assurance d'un développement durable, la discrimination contre les femmes et les maladies (le paludisme, le VIH/sida). La Journée mondiale de l'alimentation qui coïncide avec le 16 octobre de chaque année, a été initiée en 1979 par la conférence de l'organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). Son but était de renforcer la solidarité pour la lutte contre la faim. Les participants à ce séminaire ont abordé le point relatif à la nécessité de développer le secteur de l'aquaculture qui, selon eux, peut devenir un secteur de taille du fait que notre pays, et spécialement la wilaya de Boumerdès, dispose de potentialités inégalées en la matière. Et pour réaliser cet objectif, les spécialistes ont mis en valeur un schéma directeur de développement du secteur de la pêche visant à créer des fermes pilotes à travers tout le territoire national. Les représentants du ministère des Ressources en eau ont appelé les investisseurs à investir dans ce domaine afin d'arriver aux buts tracés dans ce séminaire. M. Oussaid, représentant du ministère, a déclaré, en marge de cet évènement, que «450 sites favorables à l'implantation de ce genre de fermes ont été identifiés à travers le territoire national». Le conférencier, ajoute dans ce sens que «36 projets d'implantation de fermes sont déjà en cours de réalisation». Il cite dans ce cadre la ferme de Cap Djenet, à l'est de Boumerdès, qui est en activité actuellement. En outre, la wilaya de Boumerdès a inscrit quatre autres fermes-pilotes, mais l'on déplore tout de même le retard mis pour leur entrée en activité. Les séminaristes ont toutefois appelé à développer l'aquaculture intégrée à l'agriculture, qui comprend, outre l'élevage de poisson, l'utilisation d'éléments du bétail pour l'élevage de poisson. Ils ont montré le rôle important que joue l'aquaculture intégrée en agriculture dans la lutte contre la faim. Ce qui peut constituer une alternative de taille pour endiguer la crise alimentaire. Sur un autre plan, les intervenants n'ont pas négligé la situation géographique de l'Algérie notamment l'étendue de ses côtes. Par ailleurs, la lutte contre la faim est parmi les 8 objectifs tracés par l'organisation des Nations unies dans le cadre de la déclaration millénaire pour le développement signée en septembre 2000 par les dirigeants de la communauté internationale dans la lutte contre la faim, la réduction de l'extrême pauvreté, l'alphabétisme, la dégradation de l'environnement et l'assurance d'un développement durable, la discrimination contre les femmes et les maladies (le paludisme, le VIH/sida).