Le chef du gouvernement italien, Silvio Berlusconi, a affirmé que l'objectif de South Stream est de constituer une alternative au trajet du gaz via l'Ukraine pour éviter une répétition de la crise de janvier dernier où un litige russo-ukrainien sur les prix a coupé les livraisons de gaz russe à l'Europe. Le chef du gouvernement italien, Silvio Berlusconi, a affirmé que l'objectif de South Stream est de constituer une alternative au trajet du gaz via l'Ukraine pour éviter une répétition de la crise de janvier dernier où un litige russo-ukrainien sur les prix a coupé les livraisons de gaz russe à l'Europe. Les compagnies gazières russe Gazprom et italienne Electricité de France (EDF) pourraient signer prochainement un accord prévoyant l'intégration du groupe français au projet de construction du gazoduc South Stream, a rapporté la presse russe cette semaine. Cela au moment où le groupe franco-belge GDF Suez qui a annoncé hier sa décision d'abandonner le projet South Stream pour investir dans le projet alternatif Nabucco. EDF envisagerait selon Wall Street Journal de prendre une part de 10% aux côtés du géant russe du gaz et de l'italien Eni. Actuellement propriétaire pour moitié du projet, chacun des deux groupes serait prêt à céder 5% de leur participation au français. Le coût du projet est estimé à plus de 20 milliards d'euros, selon le quotidien. Une partie du nouveau pipeline passera par le fond de la mer Noire, depuis le littoral russe jusqu'à la côte bulgare. Sa longueur sera d'environ 900 km et sa profondeur maximale, de plus de deux km. Pour construire la partie terrestre, plusieurs itinéraires ont été étudiés. Tous passent par le territoire de pays membres de l'UE. Le PDG du holding russe Alexeï Miller s'est rendu dernièrement en visite de travail en France où il a rencontré le directeur général d'EDF Pierre Gadonneix. Les négociations ont porté sur les perspectives de la coopération bilatérale dans le secteur énergétique, notamment sur la participation possible du groupe français à la construction du tronçon sous-marin du gazoduc. Selon un communiqué rendu public par Gazprom; les deux hommes sont tombés d'accord sur le fait que la mise en oeuvre du projet South Stream contribuerait à "diversifier les itinéraires d'acheminement de gaz aux consommateurs européens, ce qui renforcerait par la même occasion la sécurité énergétique du continent". Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a, pour sa part, soutenu le projet South Stream, alors que le nouveau gouvernement bulgare réfléchit à la participation, promise par son prédécesseur. "C'est un projet qui nous est proche et il doit démarrer", a réaffirmé M. Berlusconi, en visite à Sofia où le nouveau gouvernement a décidé de réexaminer les grands projets énergétiques en coopération avec la Russie discutés par le précédent gouvernement de centre gauche. Le nouveau gouvernement a indiqué qu'il se prononcera en novembre sur ces projets mais n'a pas avancé d'arguments majeurs contre le projet de gazoduc South Stream d'acheminement de gaz russe sous la Mer noire vers l'Europe centrale. South Stream est considéré comme concurrent du projet européen de gazoduc Nabucco qui doit contourner la Russie. M. Berlusconi a rappelé que l'objectif de South Stream est une alternative au trajet du gaz via l'Ukraine pour éviter une répétition de la crise de janvier dernier où un litige russo-ukrainien sur les prix a coupé les livraisons de gaz russe à l'Europe. Selon l'agence russe Ria Novosti, la Russie devrait, par ailleurs, lancer prochainement avec la Turquie et Israël des négociations sur le projet de gazoduc Blue Stream-2. Le vice-président de Gazprom, Alexandre Medvedev, l'a annoncé à partir de l'Argentine lors du 24e congrès gazier. Le gazoduc sous-marin Blue Stream-2 est une nouvelle branche du gazoduc Blue Stream destinée à exporter des hydrocarbures vers Israël, le Liban, la Syrie et Chypre. Les compagnies gazières russe Gazprom et italienne Electricité de France (EDF) pourraient signer prochainement un accord prévoyant l'intégration du groupe français au projet de construction du gazoduc South Stream, a rapporté la presse russe cette semaine. Cela au moment où le groupe franco-belge GDF Suez qui a annoncé hier sa décision d'abandonner le projet South Stream pour investir dans le projet alternatif Nabucco. EDF envisagerait selon Wall Street Journal de prendre une part de 10% aux côtés du géant russe du gaz et de l'italien Eni. Actuellement propriétaire pour moitié du projet, chacun des deux groupes serait prêt à céder 5% de leur participation au français. Le coût du projet est estimé à plus de 20 milliards d'euros, selon le quotidien. Une partie du nouveau pipeline passera par le fond de la mer Noire, depuis le littoral russe jusqu'à la côte bulgare. Sa longueur sera d'environ 900 km et sa profondeur maximale, de plus de deux km. Pour construire la partie terrestre, plusieurs itinéraires ont été étudiés. Tous passent par le territoire de pays membres de l'UE. Le PDG du holding russe Alexeï Miller s'est rendu dernièrement en visite de travail en France où il a rencontré le directeur général d'EDF Pierre Gadonneix. Les négociations ont porté sur les perspectives de la coopération bilatérale dans le secteur énergétique, notamment sur la participation possible du groupe français à la construction du tronçon sous-marin du gazoduc. Selon un communiqué rendu public par Gazprom; les deux hommes sont tombés d'accord sur le fait que la mise en oeuvre du projet South Stream contribuerait à "diversifier les itinéraires d'acheminement de gaz aux consommateurs européens, ce qui renforcerait par la même occasion la sécurité énergétique du continent". Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a, pour sa part, soutenu le projet South Stream, alors que le nouveau gouvernement bulgare réfléchit à la participation, promise par son prédécesseur. "C'est un projet qui nous est proche et il doit démarrer", a réaffirmé M. Berlusconi, en visite à Sofia où le nouveau gouvernement a décidé de réexaminer les grands projets énergétiques en coopération avec la Russie discutés par le précédent gouvernement de centre gauche. Le nouveau gouvernement a indiqué qu'il se prononcera en novembre sur ces projets mais n'a pas avancé d'arguments majeurs contre le projet de gazoduc South Stream d'acheminement de gaz russe sous la Mer noire vers l'Europe centrale. South Stream est considéré comme concurrent du projet européen de gazoduc Nabucco qui doit contourner la Russie. M. Berlusconi a rappelé que l'objectif de South Stream est une alternative au trajet du gaz via l'Ukraine pour éviter une répétition de la crise de janvier dernier où un litige russo-ukrainien sur les prix a coupé les livraisons de gaz russe à l'Europe. Selon l'agence russe Ria Novosti, la Russie devrait, par ailleurs, lancer prochainement avec la Turquie et Israël des négociations sur le projet de gazoduc Blue Stream-2. Le vice-président de Gazprom, Alexandre Medvedev, l'a annoncé à partir de l'Argentine lors du 24e congrès gazier. Le gazoduc sous-marin Blue Stream-2 est une nouvelle branche du gazoduc Blue Stream destinée à exporter des hydrocarbures vers Israël, le Liban, la Syrie et Chypre.