Un séminaire sur l'avenir de la coopération algéro-allemande dans l'enseignement supérieur se tient dimanche à Alger pour discuter des moyens de renforcer les échanges académiques et scientifiques entre les universités des deux pays. Initié par l'Office allemand d'échanges universitaires (DAAD), ce séminaire dont les travaux se tiennent en ateliers thématiques à la faculté des Langues et des Sciences sociales de Bouzaréah, regroupe des anciens boursiers algériens et des universitaires allemands. Les principaux thèmes qui seront débattus lors de cette rencontre de deux jours portent sur la mobilité et l'harmonisation des systèmes universitaires nés des réformes engagées dans les pays européens et maghrébins, ainsi que sur l'avenir de la langue allemande et la germanistique en Algérie. Le recteur de l'Université d'Alger, M. Tahar Hadjar, a indiqué à l'ouverture du séminaire que les questions de coopération entre les universités algériennes et allemandes, les moyens de les renforcer et l'échange d'expériences, notamment, pour le système LMD (licence-master-doctorat), seront évoquées par les participants. De son coté, le secrétaire général du DAAD, M. Christian Bode, a indiqué que son office ambitionne, à travers ce séminaire, de "lancer une nouvelle dimension de coopération" entre les deux pays dans le domaine de l'enseignement supérieur et de lui donner un "signal fort". Affirmant l'existence d'un "important" potentiel scientifique à exploiter dans les deux pays, M. Bode s'est désolé de voir "seulement" près de 200 étudiants algériens poursuivre leurs études en Allemagne, au moment où, a-t-il dit, le nombre de ceux provenant du Maroc, d'Egypte ou de Tunisie dépasse "largement" des milliers. Un séminaire sur l'avenir de la coopération algéro-allemande dans l'enseignement supérieur se tient dimanche à Alger pour discuter des moyens de renforcer les échanges académiques et scientifiques entre les universités des deux pays. Initié par l'Office allemand d'échanges universitaires (DAAD), ce séminaire dont les travaux se tiennent en ateliers thématiques à la faculté des Langues et des Sciences sociales de Bouzaréah, regroupe des anciens boursiers algériens et des universitaires allemands. Les principaux thèmes qui seront débattus lors de cette rencontre de deux jours portent sur la mobilité et l'harmonisation des systèmes universitaires nés des réformes engagées dans les pays européens et maghrébins, ainsi que sur l'avenir de la langue allemande et la germanistique en Algérie. Le recteur de l'Université d'Alger, M. Tahar Hadjar, a indiqué à l'ouverture du séminaire que les questions de coopération entre les universités algériennes et allemandes, les moyens de les renforcer et l'échange d'expériences, notamment, pour le système LMD (licence-master-doctorat), seront évoquées par les participants. De son coté, le secrétaire général du DAAD, M. Christian Bode, a indiqué que son office ambitionne, à travers ce séminaire, de "lancer une nouvelle dimension de coopération" entre les deux pays dans le domaine de l'enseignement supérieur et de lui donner un "signal fort". Affirmant l'existence d'un "important" potentiel scientifique à exploiter dans les deux pays, M. Bode s'est désolé de voir "seulement" près de 200 étudiants algériens poursuivre leurs études en Allemagne, au moment où, a-t-il dit, le nombre de ceux provenant du Maroc, d'Egypte ou de Tunisie dépasse "largement" des milliers.