Les étudiants de l'université M'hamed-Bouguerra de Boumerdès ont fermé, dans la matinée d'hier, l'accès à l'Institut national des hydrocarbures (INH), en signe de protestation contre l'exclusion de 250 étudiants de 2e année TCT, 1ère année SETI et ceux de DEUA. Ils ont également réclamé l'allègement des conditions de passage appliquées actuellement par l'administration de l'université. « La plupart des étudiants exclus sont issus de l'ancien système, celui du classique et il en existe parmi eux ceux qui ont refait l'année une seule fois, comment expliquer cette exclusion ? » s'interroge un étudiant de 2e année. Idem pour les étudiants en informatique, une spécialité qui compte plus de 90 étudiants, dont les recalés n'ont pas passé les examens de rattrapage. Sur ce point, un étudiant ajourné précise que l'administration leur a promis de résoudre leur problème par le rachat, mais en vain. Par ailleurs, les étudiants réclament l'ouverture de l'accès au resto central de la cité universitaire. L'accès en question se trouve au niveau de l'université et se ferme en fin de journée. «Pour prendre notre dîner, nous sommes obligés de sortir de la cité et faire le détour de celle-ci jusqu'au resto central», nous explique un étudiant. Ils réclament, en outre, la résolution du problème lié au stationnement des COUS. Toutefois, les étudiants menacent de poursuivre leur mouvements si leurs doléances ne trouvent pas d'échos. Les étudiants de l'université M'hamed-Bouguerra de Boumerdès ont fermé, dans la matinée d'hier, l'accès à l'Institut national des hydrocarbures (INH), en signe de protestation contre l'exclusion de 250 étudiants de 2e année TCT, 1ère année SETI et ceux de DEUA. Ils ont également réclamé l'allègement des conditions de passage appliquées actuellement par l'administration de l'université. « La plupart des étudiants exclus sont issus de l'ancien système, celui du classique et il en existe parmi eux ceux qui ont refait l'année une seule fois, comment expliquer cette exclusion ? » s'interroge un étudiant de 2e année. Idem pour les étudiants en informatique, une spécialité qui compte plus de 90 étudiants, dont les recalés n'ont pas passé les examens de rattrapage. Sur ce point, un étudiant ajourné précise que l'administration leur a promis de résoudre leur problème par le rachat, mais en vain. Par ailleurs, les étudiants réclament l'ouverture de l'accès au resto central de la cité universitaire. L'accès en question se trouve au niveau de l'université et se ferme en fin de journée. «Pour prendre notre dîner, nous sommes obligés de sortir de la cité et faire le détour de celle-ci jusqu'au resto central», nous explique un étudiant. Ils réclament, en outre, la résolution du problème lié au stationnement des COUS. Toutefois, les étudiants menacent de poursuivre leur mouvements si leurs doléances ne trouvent pas d'échos.