Depuis une dizaine de jours, toute la ville de Miliana est privée de lait, car l'entrée des gros camions reste interdite de 7 heures du matin jusqu'à dix-neuf heures. Ainsi, les citoyens sont pénalisés et doivent faire le parcours du combattant pour dénicher un sachet de lait. Des petits revendeurs sans scrupules profitent pour vendre le sachet à 40 et 50 DA. Selon les informations recuellies auprès d'un membre de l'APC, ce problème sensible trouvera une solution dans les prochains jours. En attendant, les pères de familles, se rendent en taxi à Khemis Miliana pour s'approvisionner. khemis Miliana Le prix de l'oignon flambe Après le citron c'est l'oignon qui manifeste sa colère. Sur les marchés, il est vendu à 70 DA le kg. Les marchands de légumes accusent les grossistes qui imposent leur loi et les fellahs ne le cultivent que pour leur consommation personnelle. Ce légume indispensable pour préparer les repas nous rappelle un adage connu de toutes les familles "makla bla bessal, kima mara bla akal". La traduction donne : "Un repas sans oignon, comme une femme sans raison!". Depuis une dizaine de jours, toute la ville de Miliana est privée de lait, car l'entrée des gros camions reste interdite de 7 heures du matin jusqu'à dix-neuf heures. Ainsi, les citoyens sont pénalisés et doivent faire le parcours du combattant pour dénicher un sachet de lait. Des petits revendeurs sans scrupules profitent pour vendre le sachet à 40 et 50 DA. Selon les informations recuellies auprès d'un membre de l'APC, ce problème sensible trouvera une solution dans les prochains jours. En attendant, les pères de familles, se rendent en taxi à Khemis Miliana pour s'approvisionner. khemis Miliana Le prix de l'oignon flambe Après le citron c'est l'oignon qui manifeste sa colère. Sur les marchés, il est vendu à 70 DA le kg. Les marchands de légumes accusent les grossistes qui imposent leur loi et les fellahs ne le cultivent que pour leur consommation personnelle. Ce légume indispensable pour préparer les repas nous rappelle un adage connu de toutes les familles "makla bla bessal, kima mara bla akal". La traduction donne : "Un repas sans oignon, comme une femme sans raison!".