Le lancement des opérations d'exportation du gaz algérien via le Galsi devrait être effectif «à partir de la fin de 2013». L'Algérie va augmenter de 30 milliards de m3 ses capacités d'exportation de gaz d'ici les cinq prochaines années. Le lancement des opérations d'exportation du gaz algérien via le Galsi devrait être effectif «à partir de la fin de 2013». L'Algérie va augmenter de 30 milliards de m3 ses capacités d'exportation de gaz d'ici les cinq prochaines années. Le projet de gazoduc Galsi reliant l'Algérie à l'Italie et devant être livré initialement en 2012 devrait connaitre un retard d'une année pour être opérationnel en 2013. L'information a été donnée la semaine dernière par Gabriele Lucchesi, directeur des affaires commerciales au niveau de la compagnie italienne Edison, l'une des actionnaires du projet. Lucchesi, a dit s'attendre au lancement des opérations d'exportation du gaz algérien via le Galsi à partir de la fin de 2013». Même s'il a admis le retard, le responsable italien, cité par l'agence Reuters, a toutefois réfuté toutes informations selon laquelle la compagnie nationale Sonatrach ne serait pas en mesure d'assurer l'approvisionnement du Galsi en raison «d'un manque dans les nouveaux projets gaziers». Certains analystes occidentaux avaient laissé entendre, il y a quelque mois, que «le manque de nouveaux projets de production du gaz en Algérie pourrait empêcher Sonatrach de réaliser ses objectifs en matière d'exportation et de ce fait ne pas pouvoir alimenter la gazoduc Galsi d'une capacité de 8 milliards de m3 par an». Interrogé à ce sujet, Lucchesi, a déclaré «n'avoir aucune inquiétude à ce sujet. Nous sommes totalement confiants. Il n'y aura aucun problème», a-t-il dit. Sonatrach elle même n'avait jamais laissé entendre qu'il pourrait y avoir des défaillances qui l'empêcheraient de remplir ses engagements, mais certains experts étrangers ont mis en avant le manque d'enthousiasme des investisseurs étrangers lors du dernier appel d'offre pour les projets d'explorations d'hydrocarbures au cours duquel quatre contrats uniquement avaient été attribués. Malgré ce faible engouement, Sonatrach maintient ses objectifs. D'ailleurs, le ministre de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil avait déclaré il y a quelques mois que l'Algérie «va augmenter de 30 milliards de m3 ses capacités d'exportation de gaz d'ici les cinq prochaines années ,ce qui lui permettra d'engranger 5 milliards de dollars de recettes supplémentaires». L'Algérie est actuellement le 4e exportateur mondial de gaz après la Russie, les Etats-Unis et le Canada avec une quantité de 62 milliards de m3 exportée. «D'ici 5 ans et grâce, notamment aux gazoducs Medgaz et Galsi et à l'augmentation de la capacité du gazoduc Enrico Mattei, nous disposerons de capacités supplémentaire de 23 milliards de m3», avait-il dit sur le plateau de la télévision algérienne. Il avait ajouté qu'avec l'entrée en production des unités de Skikda et d'Arzew les capacités d'exportations seront portées à plus de 30 milliards de m3. Sonatrach détient 41,6% des parts dans le gazoduc Galsi contre 20, 8% pour Edison. Le projet de gazoduc Galsi reliant l'Algérie à l'Italie et devant être livré initialement en 2012 devrait connaitre un retard d'une année pour être opérationnel en 2013. L'information a été donnée la semaine dernière par Gabriele Lucchesi, directeur des affaires commerciales au niveau de la compagnie italienne Edison, l'une des actionnaires du projet. Lucchesi, a dit s'attendre au lancement des opérations d'exportation du gaz algérien via le Galsi à partir de la fin de 2013». Même s'il a admis le retard, le responsable italien, cité par l'agence Reuters, a toutefois réfuté toutes informations selon laquelle la compagnie nationale Sonatrach ne serait pas en mesure d'assurer l'approvisionnement du Galsi en raison «d'un manque dans les nouveaux projets gaziers». Certains analystes occidentaux avaient laissé entendre, il y a quelque mois, que «le manque de nouveaux projets de production du gaz en Algérie pourrait empêcher Sonatrach de réaliser ses objectifs en matière d'exportation et de ce fait ne pas pouvoir alimenter la gazoduc Galsi d'une capacité de 8 milliards de m3 par an». Interrogé à ce sujet, Lucchesi, a déclaré «n'avoir aucune inquiétude à ce sujet. Nous sommes totalement confiants. Il n'y aura aucun problème», a-t-il dit. Sonatrach elle même n'avait jamais laissé entendre qu'il pourrait y avoir des défaillances qui l'empêcheraient de remplir ses engagements, mais certains experts étrangers ont mis en avant le manque d'enthousiasme des investisseurs étrangers lors du dernier appel d'offre pour les projets d'explorations d'hydrocarbures au cours duquel quatre contrats uniquement avaient été attribués. Malgré ce faible engouement, Sonatrach maintient ses objectifs. D'ailleurs, le ministre de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil avait déclaré il y a quelques mois que l'Algérie «va augmenter de 30 milliards de m3 ses capacités d'exportation de gaz d'ici les cinq prochaines années ,ce qui lui permettra d'engranger 5 milliards de dollars de recettes supplémentaires». L'Algérie est actuellement le 4e exportateur mondial de gaz après la Russie, les Etats-Unis et le Canada avec une quantité de 62 milliards de m3 exportée. «D'ici 5 ans et grâce, notamment aux gazoducs Medgaz et Galsi et à l'augmentation de la capacité du gazoduc Enrico Mattei, nous disposerons de capacités supplémentaire de 23 milliards de m3», avait-il dit sur le plateau de la télévision algérienne. Il avait ajouté qu'avec l'entrée en production des unités de Skikda et d'Arzew les capacités d'exportations seront portées à plus de 30 milliards de m3. Sonatrach détient 41,6% des parts dans le gazoduc Galsi contre 20, 8% pour Edison.