Une première au quartier Belle-Cité de Oued-Smar. En effet les résidants de cette cité ont créé l'évènement en refusant purement et simplement les travaux du stade communal, qui ont démarré il y a déjà quelques semaines. Devant le refus des autorités communales d'obtempérer et de céder à leur demande de geler les travaux, les protestataires ont initié une pétition sur laquelle figurent déjà plus de 1.500 signatures. Une première au quartier Belle-Cité de Oued-Smar. En effet les résidants de cette cité ont créé l'évènement en refusant purement et simplement les travaux du stade communal, qui ont démarré il y a déjà quelques semaines. Devant le refus des autorités communales d'obtempérer et de céder à leur demande de geler les travaux, les protestataires ont initié une pétition sur laquelle figurent déjà plus de 1.500 signatures. Les citoyens refusent catégoriquement le projet attribué à leur commune concernant la réalisation d'un stade communal. Aussi étrange que cela puisse paraître, cela est la stricte vérité, il est certes difficile d'imaginer que des citoyens puissent rejeter un projet d'utilité publique, pourtant... c'est bien le cas à Oued Smar, localité située à l'est de la capitale. La population s'est élevée contre cette réalisation et a même procédé, pour donner plus de poids à leur rejet, à la rédaction d'une pétition qui circule depuis déjà quelque jours dans la commune pour les signatures. Le projet pour la réalisation de ce stade a été alloué depuis plusieurs mois et devait voir le jour dans le quartier Belle-Cité. Il a été décidé, après une seconde étude l'élargissement des tribunes de ce stade de trois mille à sept mille. Mais cette extension n'est nullment la cause du mécontentement des citoyens, mais plutôt le lancement des travaux qui ont transformé, en peu de temps, le quartier en une énorme décharge pour les déblais en tous genres. «Cette situation est insupportable», dénoncent les riverains. Ils soulignent à l'unanimité que la circulation est devenue impossible et infernale, notamment lors des journées pluvieuses. Trois mois se sont écoulés depuis la montée au créneau des citoyens qui ont présenté leurs doléances aux autorités communales, mais aucun écho n'est venu les rassurer de quelque façon que ce soit. C'est suite à ce mutisme qu'ils ont rédigé leur pétition afin de donner un certain poids à leur refus des travaux. À ce jour ils ont réussi à recueillir 1.500 signatures, pour rejeter sans condition un projet appelé à durer plus d'une année. Les résidants de Oued Smar affirment que le quotidien de Belle-Cité s'est transformé en véritable calvaire. Selon quelques citoyens interrogés sur cette affaire peu commune, le projet aurait été adopté par l'APC sans la consultation des habitants de la cité concernée, ce qu'ils jugent inadmissible, d'autant que selon eux ledit projet ne serait pas vraiment une priorité. Ils nous diront que les victimes de ces travaux sont en premier lieu les écoliers qui rencontrent de grandes difficultés à rejoindre leurs écoles. Il serait plus que primordial, pour les habitants de Belle-Cité, de procéder au gel des travaux et laisser le terrain en l'état, sinon, suggérent-ils, un simple terrain de jeu serait largement suffisant pour eux, le stade en construction est destiné pour des rencontres olympiques. Les citoyens refusent catégoriquement le projet attribué à leur commune concernant la réalisation d'un stade communal. Aussi étrange que cela puisse paraître, cela est la stricte vérité, il est certes difficile d'imaginer que des citoyens puissent rejeter un projet d'utilité publique, pourtant... c'est bien le cas à Oued Smar, localité située à l'est de la capitale. La population s'est élevée contre cette réalisation et a même procédé, pour donner plus de poids à leur rejet, à la rédaction d'une pétition qui circule depuis déjà quelque jours dans la commune pour les signatures. Le projet pour la réalisation de ce stade a été alloué depuis plusieurs mois et devait voir le jour dans le quartier Belle-Cité. Il a été décidé, après une seconde étude l'élargissement des tribunes de ce stade de trois mille à sept mille. Mais cette extension n'est nullment la cause du mécontentement des citoyens, mais plutôt le lancement des travaux qui ont transformé, en peu de temps, le quartier en une énorme décharge pour les déblais en tous genres. «Cette situation est insupportable», dénoncent les riverains. Ils soulignent à l'unanimité que la circulation est devenue impossible et infernale, notamment lors des journées pluvieuses. Trois mois se sont écoulés depuis la montée au créneau des citoyens qui ont présenté leurs doléances aux autorités communales, mais aucun écho n'est venu les rassurer de quelque façon que ce soit. C'est suite à ce mutisme qu'ils ont rédigé leur pétition afin de donner un certain poids à leur refus des travaux. À ce jour ils ont réussi à recueillir 1.500 signatures, pour rejeter sans condition un projet appelé à durer plus d'une année. Les résidants de Oued Smar affirment que le quotidien de Belle-Cité s'est transformé en véritable calvaire. Selon quelques citoyens interrogés sur cette affaire peu commune, le projet aurait été adopté par l'APC sans la consultation des habitants de la cité concernée, ce qu'ils jugent inadmissible, d'autant que selon eux ledit projet ne serait pas vraiment une priorité. Ils nous diront que les victimes de ces travaux sont en premier lieu les écoliers qui rencontrent de grandes difficultés à rejoindre leurs écoles. Il serait plus que primordial, pour les habitants de Belle-Cité, de procéder au gel des travaux et laisser le terrain en l'état, sinon, suggérent-ils, un simple terrain de jeu serait largement suffisant pour eux, le stade en construction est destiné pour des rencontres olympiques.