L'objectif essentiel des autorités chargées de gérer et de rationnaliser l'information statistique consiste à effectuer un travail de longue haleine devant aboutir à des résultats concrets et positifs en vue de fournir des données chiffrées fécondes, transparentes et reflétant, surtout, la réalité économique et sociale du pays. Cela dans le but de cerner la problématique de la planification et de la prospective visant à clarifier les prévisions économiques. «Nous avons encore des efforts à faire en matière de rénovation de d'amélioration du système de l'information statistique dans le sens de l'harmonisation des répertoires et de la préparation des fichiers du prochain recensement économique notamment », a déclaré, hier, Omar Bouguerra, directeur de cabinet au ministère des Finances et représentant personnel de Karim Djoudi, à l'occasion de l'ouverture des travaux de la session ordinaire du Conseil national de la statistique (CNS), à l'institut supérieur de gestion et de planification (ISGP) de Bordj El-Kiffan, en présence de Mohamed Laksaci, gouverneur de la Banque d'Algérie, Sid-Ali Boukrami, conservateur général de la planification et de la prospective et des membres du CNS. D'autres défis comme la fiabilité de l'information et la nécessité d'alimenter le CNS en statistiques multiples et utiles, ainsi que l'impérieuse transparence pour concrétiser les objectifs assignés, ont été soulignées notamment dans le cadre de l'évolution de la croissance économique et du développement social du pays. Sid-Ali Boukrami a insisté, quant à lui, sur l'importance de la réhabilitation du système de l'information statistique sur lequel se base, dit-il, toute construction d'une politique économique. Or les informations statistiques émises actuellement dans les différents organes sont diffuses et parfois contradictoires, selon des statisticiens qui pointent du doigt le manque de coordination entre les services concernés. C'est ainsi qu'il a mis en évidence l'intérêt de garantir, dans ce cadre-là, les conditions requises pour une transparence qui caractérise la bonne gouvernance et l'indépendance de la décision. « C'est une priorité de base de l'économie sans laquelle il ne peut y avoir de développement économique » a-t-il ajouté. Les compétences individuelles doivent en outre se traduire, dit-il, en compétences collectives, au sein du conseil national de la statistique. C'est pourquoi il est temps de procéder, selon lui, à la réhabilitation du CNS en vue d'accomplir les missions qui sont confiées par le gouvernement. C'est d'ailleurs l'un des objectifs de la session ordinaire d'hier qui porte sur l'harmonisation des fichiers de la statistique qui est un préalable, dit-il, dans le cadre de la préparation du prochain recensement économique prévu en 2010. Il est également attendu, poursuit-il, la mise en ordre des textes pour changer les mentalités et permettre la cohérence dans le système national de l'information statistique. Boukrami recommande à cet effet le renforcement du rôle des services des ministères, de l'Office national des statistiques et d'autres organes intervenants, en vue de garantir une information cohérente et fiable sous l'égide de l'ONS et au service du gouvernement. Il est prévu, à l'ordre du jour de cette session, l'adoption du bilan de l'activité du CNS de l'exercice 2009 et la présentation du projet de propositions du programme national des travaux statistiques pour l'année 2010. L'objectif essentiel des autorités chargées de gérer et de rationnaliser l'information statistique consiste à effectuer un travail de longue haleine devant aboutir à des résultats concrets et positifs en vue de fournir des données chiffrées fécondes, transparentes et reflétant, surtout, la réalité économique et sociale du pays. Cela dans le but de cerner la problématique de la planification et de la prospective visant à clarifier les prévisions économiques. «Nous avons encore des efforts à faire en matière de rénovation de d'amélioration du système de l'information statistique dans le sens de l'harmonisation des répertoires et de la préparation des fichiers du prochain recensement économique notamment », a déclaré, hier, Omar Bouguerra, directeur de cabinet au ministère des Finances et représentant personnel de Karim Djoudi, à l'occasion de l'ouverture des travaux de la session ordinaire du Conseil national de la statistique (CNS), à l'institut supérieur de gestion et de planification (ISGP) de Bordj El-Kiffan, en présence de Mohamed Laksaci, gouverneur de la Banque d'Algérie, Sid-Ali Boukrami, conservateur général de la planification et de la prospective et des membres du CNS. D'autres défis comme la fiabilité de l'information et la nécessité d'alimenter le CNS en statistiques multiples et utiles, ainsi que l'impérieuse transparence pour concrétiser les objectifs assignés, ont été soulignées notamment dans le cadre de l'évolution de la croissance économique et du développement social du pays. Sid-Ali Boukrami a insisté, quant à lui, sur l'importance de la réhabilitation du système de l'information statistique sur lequel se base, dit-il, toute construction d'une politique économique. Or les informations statistiques émises actuellement dans les différents organes sont diffuses et parfois contradictoires, selon des statisticiens qui pointent du doigt le manque de coordination entre les services concernés. C'est ainsi qu'il a mis en évidence l'intérêt de garantir, dans ce cadre-là, les conditions requises pour une transparence qui caractérise la bonne gouvernance et l'indépendance de la décision. « C'est une priorité de base de l'économie sans laquelle il ne peut y avoir de développement économique » a-t-il ajouté. Les compétences individuelles doivent en outre se traduire, dit-il, en compétences collectives, au sein du conseil national de la statistique. C'est pourquoi il est temps de procéder, selon lui, à la réhabilitation du CNS en vue d'accomplir les missions qui sont confiées par le gouvernement. C'est d'ailleurs l'un des objectifs de la session ordinaire d'hier qui porte sur l'harmonisation des fichiers de la statistique qui est un préalable, dit-il, dans le cadre de la préparation du prochain recensement économique prévu en 2010. Il est également attendu, poursuit-il, la mise en ordre des textes pour changer les mentalités et permettre la cohérence dans le système national de l'information statistique. Boukrami recommande à cet effet le renforcement du rôle des services des ministères, de l'Office national des statistiques et d'autres organes intervenants, en vue de garantir une information cohérente et fiable sous l'égide de l'ONS et au service du gouvernement. Il est prévu, à l'ordre du jour de cette session, l'adoption du bilan de l'activité du CNS de l'exercice 2009 et la présentation du projet de propositions du programme national des travaux statistiques pour l'année 2010.