La commune d'Afir à l'est de la wilaya de Boumerdès est mal lotie en matière de cantines scolaires. En dépit de sa vocation rurale, cette localité et à l'instar des autres communes rurales de la wilaya, accuse un grand déficit en infrastructures de base. En effet, seuls trois des douze établissements scolaires sont dotés de cantines scolaires. Les potaches scolarisés au niveau des écoles de Boumati et de Tadjnanet ont droit uniquement aux repas froids et ce, en raison des travaux en cours de réalisation de cantines scolaires. Ce déficit pénalise durement les potaches tout au long de l'année scolaire et souvent sont confrontés à de multiples carences. A titre d'exemple, l'on peut citer le facteur climatique qui sévit dans la région pendant la période hivernale. Un froid qui donne des frissons. Les potaches passent la journée le ventre creux. A midi, chacun se débrouille comme il peut, certains prennent des morceaux de pain avec du fromage et d'autres ramènent des galettes, une histoire de faire semblant de manger à sa faim. Dur le quotidien des écoliers dans cette région, une région riche par ses terres vastes et ses paysages féeriques et un littoral des plus jolis de la wilaya. Le déficit semble n'épargne plus les autres paliers. En effet, les établissements de moyen d'Azaghar et celui de Amari sont touchés par cette défaillance qui pénalise les collégiens. Dans le premier, en dépit de l'existence d'une cantine, celle-ci reste selon des informations fermée. Les élèves ainsi que leurs parents se plaignent de cette situation. Quant au second, la cantine est quasiment absente. A cela s'ajoute le problème de l'absence de bus de ramassage scolaire dans la localité. Les élèves habitant les zones lointaines sont dans le désarroi. Ils trouvent d'énormes difficultés à rallier leurs établissements scolaires. D'où la nécessité de penser à l'affectation de bus afin de soulager un tant soit peu une situation qui ne dit pas son nom. Dans cette contrée de la wilaya, même le transport public est manquant. Les transporteurs ne s'y aventurent pas en raison de l'état déplorable dans laquelle se trouvent les routes de la commune. La commune d'Afir à l'est de la wilaya de Boumerdès est mal lotie en matière de cantines scolaires. En dépit de sa vocation rurale, cette localité et à l'instar des autres communes rurales de la wilaya, accuse un grand déficit en infrastructures de base. En effet, seuls trois des douze établissements scolaires sont dotés de cantines scolaires. Les potaches scolarisés au niveau des écoles de Boumati et de Tadjnanet ont droit uniquement aux repas froids et ce, en raison des travaux en cours de réalisation de cantines scolaires. Ce déficit pénalise durement les potaches tout au long de l'année scolaire et souvent sont confrontés à de multiples carences. A titre d'exemple, l'on peut citer le facteur climatique qui sévit dans la région pendant la période hivernale. Un froid qui donne des frissons. Les potaches passent la journée le ventre creux. A midi, chacun se débrouille comme il peut, certains prennent des morceaux de pain avec du fromage et d'autres ramènent des galettes, une histoire de faire semblant de manger à sa faim. Dur le quotidien des écoliers dans cette région, une région riche par ses terres vastes et ses paysages féeriques et un littoral des plus jolis de la wilaya. Le déficit semble n'épargne plus les autres paliers. En effet, les établissements de moyen d'Azaghar et celui de Amari sont touchés par cette défaillance qui pénalise les collégiens. Dans le premier, en dépit de l'existence d'une cantine, celle-ci reste selon des informations fermée. Les élèves ainsi que leurs parents se plaignent de cette situation. Quant au second, la cantine est quasiment absente. A cela s'ajoute le problème de l'absence de bus de ramassage scolaire dans la localité. Les élèves habitant les zones lointaines sont dans le désarroi. Ils trouvent d'énormes difficultés à rallier leurs établissements scolaires. D'où la nécessité de penser à l'affectation de bus afin de soulager un tant soit peu une situation qui ne dit pas son nom. Dans cette contrée de la wilaya, même le transport public est manquant. Les transporteurs ne s'y aventurent pas en raison de l'état déplorable dans laquelle se trouvent les routes de la commune.