Le quotidien des écoliers dans la wilaya de Boumerdès est plutôt pénible en raison de l'absence de plusieurs commodités au niveau des établissements scolaires. En effet, plusieurs structures éducatives ne sont toujours pas dotées de cantines scolaires et plusieurs localités ne disposent toujours pas de bus pour le ramassage scolaire. Les localités les plus touchées par l'absence de ces commodités sont celles situées sur le versant sud-est et l'est de la wilaya, qui sont dans leur majorité des communes rurales dépourvues de toutes les commodités de la vie urbaine. L'absence ou le manque de ces commodités a des répercussions néfastes sur la scolarité des élèves ainsi que sur leur rendement. Des élèves de tous les paliers confondus passent ainsi la journée le ventre vide faute de cantines. Dans la commune des Issers, la plupart des établissements scolaires ne disposent toujours pas de cantines. Les quelques structures, disposant de cantines, n'offrent qu'un repas froid à longueur d'année. A l'école primaire du village Iounoughen, les élèves n'ont droit qu'à un repas froid en dépit des plaintes récurrentes des parents d'élèves qui réclament à cor et à cris des repas chaud pour leurs enfants. L'école du village Ighoumrassen est dépourvue de cantine scolaire tandis que dans celle de Djeouna, les responsables y offrent des repas froids. Ce manque criant en cantines scolaires se répercute négativement sur la scolarité des enfants, particulièrement en hiver où le climat est des plus rudes. L'APC des Issers ne dispose que de deux bus pour le ramassage scolaire. L'un des deux bus est en panne depuis des mois et l'APC n'a pas les moyens financiers pour le faire réparer, selon le P/APC joint hier par téléphone. Ce dernier nous a informé que pas moins de 700 élèves résidant dans les zones rurales sont scolarisés au niveau du chef-lieu communal et leur transport est assuré par l'APC. Ce qui est loin d'offrir, un tant soit peu, de confort avec deux bus. Au niveau de la localité limitrophe de Si Mustapha, la situation est loin d'être reluisante particulièrement en matière du transport scolaire. En raison de l'absence d'un lycée, les élèves parcourent des kilomètres pour rejoindre les bancs du lycée de Zemmouri. En matière de cantines scolaires seules les deux écoles primaires de la Vieille Cité et celui du chef-lieu Ali- Boudhar sont dotés de cantines scolaires tandis qu'au niveau du CEM de la ville, on y sert depuis des années des repas froids. Au début de l'année écoulée, plusieurs manifestations ont eu lieu à Dellys notamment au nouveau CEM où les collégiens réclamaient l'ouverture d'une cantine scolaire. Le quotidien des écoliers dans la wilaya de Boumerdès est plutôt pénible en raison de l'absence de plusieurs commodités au niveau des établissements scolaires. En effet, plusieurs structures éducatives ne sont toujours pas dotées de cantines scolaires et plusieurs localités ne disposent toujours pas de bus pour le ramassage scolaire. Les localités les plus touchées par l'absence de ces commodités sont celles situées sur le versant sud-est et l'est de la wilaya, qui sont dans leur majorité des communes rurales dépourvues de toutes les commodités de la vie urbaine. L'absence ou le manque de ces commodités a des répercussions néfastes sur la scolarité des élèves ainsi que sur leur rendement. Des élèves de tous les paliers confondus passent ainsi la journée le ventre vide faute de cantines. Dans la commune des Issers, la plupart des établissements scolaires ne disposent toujours pas de cantines. Les quelques structures, disposant de cantines, n'offrent qu'un repas froid à longueur d'année. A l'école primaire du village Iounoughen, les élèves n'ont droit qu'à un repas froid en dépit des plaintes récurrentes des parents d'élèves qui réclament à cor et à cris des repas chaud pour leurs enfants. L'école du village Ighoumrassen est dépourvue de cantine scolaire tandis que dans celle de Djeouna, les responsables y offrent des repas froids. Ce manque criant en cantines scolaires se répercute négativement sur la scolarité des enfants, particulièrement en hiver où le climat est des plus rudes. L'APC des Issers ne dispose que de deux bus pour le ramassage scolaire. L'un des deux bus est en panne depuis des mois et l'APC n'a pas les moyens financiers pour le faire réparer, selon le P/APC joint hier par téléphone. Ce dernier nous a informé que pas moins de 700 élèves résidant dans les zones rurales sont scolarisés au niveau du chef-lieu communal et leur transport est assuré par l'APC. Ce qui est loin d'offrir, un tant soit peu, de confort avec deux bus. Au niveau de la localité limitrophe de Si Mustapha, la situation est loin d'être reluisante particulièrement en matière du transport scolaire. En raison de l'absence d'un lycée, les élèves parcourent des kilomètres pour rejoindre les bancs du lycée de Zemmouri. En matière de cantines scolaires seules les deux écoles primaires de la Vieille Cité et celui du chef-lieu Ali- Boudhar sont dotés de cantines scolaires tandis qu'au niveau du CEM de la ville, on y sert depuis des années des repas froids. Au début de l'année écoulée, plusieurs manifestations ont eu lieu à Dellys notamment au nouveau CEM où les collégiens réclamaient l'ouverture d'une cantine scolaire.