Au soir du 14 novembre, les lampions se seront éteints, peut-être si la sentence ne sera pas rendue par un match barrage en cas d'égalité parfaite des deux équipes sur toute la ligne, sur le match capital pour la qualification pour le Mondial en Afrique du Sud. Un des deux pays arabes, Algérie ou Egypte aura l'insigne honneur de se frotter au gotha du football mondial, une fête réunissant 32 pays des 5 continents. Au soir du 14 novembre, les lampions se seront éteints, peut-être si la sentence ne sera pas rendue par un match barrage en cas d'égalité parfaite des deux équipes sur toute la ligne, sur le match capital pour la qualification pour le Mondial en Afrique du Sud. Un des deux pays arabes, Algérie ou Egypte aura l'insigne honneur de se frotter au gotha du football mondial, une fête réunissant 32 pays des 5 continents. Le meneur de l‘équipe nationale, Karim Ziani ne s‘est pas trompé en affirmant que « c‘est le match le plus important de ma vie. Nous sommes à 90 minutes d‘une Coupe du monde avec l‘Algérie. C‘est une expérience formidable à vivre. Alors, rendez-vous au tirage au sort… Inch Allah ». Ses coéquipiers du onze national sont du même avis. « A cœur vaillant, rien n‘est impossible » et il faut faire confiance à ces jeunes pétris de talent et imprégnés d‘un amour fou du pays. Sur ce plan, les Algériens ont une confiance aveugle sur les capacités des Fennecs à mener à bien leur mission. En attendant le jour «j», pour le moment ce sont les galeries des deux équipes qui occupent le terrain, miné en certains endroits et explosif en d‘autres où les hackers, les TV et les radios se donnent à cœur joie. Le summum qui traduit le génie de nos hackers a été atteint, selon un confrère qui rapporte l‘information, les sites de la présidence égyptienne, du ministère de l‘intérieur ainsi que celui du quotidien Al Ahram ont été piratés par des hackers algériens. Les pirates ont affiché la photo d‘un joueur algérien sur la home page du site de la présidence égyptienne et une animation d‘un drapeau algérien qui flotte au-dessus d‘une pyramide. Une contre-offensive comme disent les entraîneurs de football qui a débouché sur un but, après que des hackers égyptiens ont échoué sur une attaque visant plusieurs forums et le site du sponsor officiel du football algérien, à savoir, le quotidien Echoroukonline. Depuis, les hostilités des deux rives de la Méditerranée ont commencé. Une véritable guerre des mots oppose les citoyens des deux pays sur le Net et par presse interposée. Les citoyens des deux pays s‘échauffent, pour reprendre le jargon footballistique en attendant le jour de la rencontre où ils pourront donner de la voix pour encourager les deux teams. A quelques jours du jour décisif, c‘est sur Internet que les supporteurs encouragent les deux équipes à jeter toutes leurs tripes sur le terrain. Ils se livrent un match acharné où les règles du jeu sont bafouillées, ni touche, ni corner où autre hors-jeu n‘ont droit au sifflet de l‘arbitre. Les deux camps, retranchés dans les limites de leur aire de jeu, une aire géographique trop vaste, s‘invectivent, se provoquent et s‘accusent mutuellement de corruption. « De nombreux forums et groupes sur Face book attaquent les joueurs égyptiens. Ils nous ont accusés d‘avoir soudoyé l‘arbitre contre la Zambie, mais ce ne sont là que fausses allégations. Nous avons mérité de gagner ce match », se plaint un internaute égyptien qui croit dur comme fer que « l‘Egypte va gagner inchallah », décortiquant le jeu des camarades de Gaouaoui. A son avis, « le jeu des Algériens va être défensif, ils vont vouloir bloquer nos attaquants. Mais nos chances de gagner sont grandes. Les Algériens ont toujours fait preuve d‘agressivité à notre égard ». Une agressivité qui lui fait rappeler l‘affaire Belloumi, le médecin de l‘équipe égyptienne Ahmed Abdel Minim Abdel Hadi avait accusé l‘attaquant algérien Lakhdar Belloumi de l‘avoir agressé et blessé à l‘œil à la fin d‘une rencontre en 1989 entre les deux pays pour les qualifications de la Coupe du monde de 1990. Il semble que l‘agressivité des Egyptiens dépasse le seuil qui permet aux Algériens de garder la tête froide. « Ils sont prêts à tout, même à ternir les relations entre l‘Algérie et l‘Egypte, rien que pour aller au Mondial sud-africain », croit savoir un internaute algérien qui pointe du doigt l‘animateur sportif Amr Adib qui jette l‘huile sur le feu «Le citoyen algérien a la particularité de détester son homologue égyptien» a-t-il claironné sur une de ses émissions, précisant que « ce n‘est pas seulement une haine sportive, mais les Algériens nous détestent jusqu‘à la moelle». Pour un sportif, ce n‘est pas du tout fair-play, réplique tout aussi dénuée de fair-play des Algériens. « Quel hypocrite ce Amr Adib ! Une semaine après avoir insulté l‘Algérie et les Algériens, et commencé la guerre médiatique, il ose venir demander aux Algériens de se calmer sans même formuler la moindre excuse... Comme on a l‘habitude de le dire en Algérie : Ulac smah ulac ya Amr Adib! ». A la bataille des mots se sont succédé d‘autres attaques plus fines et subtiles. Les Egyptiens ont eu vent d‘une forte présence des Algériennes au stade le jour du match. Cette chambrée de supportrices risquait de galvaniser les fennecs. Qu‘à cela ne tienne. Ils interdisent tout bonnement l‘accès au Cairo Stadium à toutes les femmes. L‘avenir des femmes algériennes en Egypte sera mouvementé en cas de qualification de l‘Algérie pour le Mondial. Certaines d‘entre elles mariées à des Egyptiens ont été averties par leur conjoint de plier bagage, si par malheur les Pharaons perdaient le match. Le mot de la fin, plein de sagesse et de sérénité est venu de Azzedine Mihoubi secrétaire d‘Etat auprès du Premier ministre chargé de la Communication qui pense qu‘à travers cette offensive médiatique « les Egyptiens veulent se rassurer à travers des commentaires enflammés destinés à une consommation interne », exhortant, pour l‘intérêt suprême de la sélection nationale, « les journalistes algériens à se concentrer sur l‘aspect sportif et à éviter de répercuter les excès des Egyptiens et les commentaires extra-sportifs ». Message reçu 5/5. Le meneur de l‘équipe nationale, Karim Ziani ne s‘est pas trompé en affirmant que « c‘est le match le plus important de ma vie. Nous sommes à 90 minutes d‘une Coupe du monde avec l‘Algérie. C‘est une expérience formidable à vivre. Alors, rendez-vous au tirage au sort… Inch Allah ». Ses coéquipiers du onze national sont du même avis. « A cœur vaillant, rien n‘est impossible » et il faut faire confiance à ces jeunes pétris de talent et imprégnés d‘un amour fou du pays. Sur ce plan, les Algériens ont une confiance aveugle sur les capacités des Fennecs à mener à bien leur mission. En attendant le jour «j», pour le moment ce sont les galeries des deux équipes qui occupent le terrain, miné en certains endroits et explosif en d‘autres où les hackers, les TV et les radios se donnent à cœur joie. Le summum qui traduit le génie de nos hackers a été atteint, selon un confrère qui rapporte l‘information, les sites de la présidence égyptienne, du ministère de l‘intérieur ainsi que celui du quotidien Al Ahram ont été piratés par des hackers algériens. Les pirates ont affiché la photo d‘un joueur algérien sur la home page du site de la présidence égyptienne et une animation d‘un drapeau algérien qui flotte au-dessus d‘une pyramide. Une contre-offensive comme disent les entraîneurs de football qui a débouché sur un but, après que des hackers égyptiens ont échoué sur une attaque visant plusieurs forums et le site du sponsor officiel du football algérien, à savoir, le quotidien Echoroukonline. Depuis, les hostilités des deux rives de la Méditerranée ont commencé. Une véritable guerre des mots oppose les citoyens des deux pays sur le Net et par presse interposée. Les citoyens des deux pays s‘échauffent, pour reprendre le jargon footballistique en attendant le jour de la rencontre où ils pourront donner de la voix pour encourager les deux teams. A quelques jours du jour décisif, c‘est sur Internet que les supporteurs encouragent les deux équipes à jeter toutes leurs tripes sur le terrain. Ils se livrent un match acharné où les règles du jeu sont bafouillées, ni touche, ni corner où autre hors-jeu n‘ont droit au sifflet de l‘arbitre. Les deux camps, retranchés dans les limites de leur aire de jeu, une aire géographique trop vaste, s‘invectivent, se provoquent et s‘accusent mutuellement de corruption. « De nombreux forums et groupes sur Face book attaquent les joueurs égyptiens. Ils nous ont accusés d‘avoir soudoyé l‘arbitre contre la Zambie, mais ce ne sont là que fausses allégations. Nous avons mérité de gagner ce match », se plaint un internaute égyptien qui croit dur comme fer que « l‘Egypte va gagner inchallah », décortiquant le jeu des camarades de Gaouaoui. A son avis, « le jeu des Algériens va être défensif, ils vont vouloir bloquer nos attaquants. Mais nos chances de gagner sont grandes. Les Algériens ont toujours fait preuve d‘agressivité à notre égard ». Une agressivité qui lui fait rappeler l‘affaire Belloumi, le médecin de l‘équipe égyptienne Ahmed Abdel Minim Abdel Hadi avait accusé l‘attaquant algérien Lakhdar Belloumi de l‘avoir agressé et blessé à l‘œil à la fin d‘une rencontre en 1989 entre les deux pays pour les qualifications de la Coupe du monde de 1990. Il semble que l‘agressivité des Egyptiens dépasse le seuil qui permet aux Algériens de garder la tête froide. « Ils sont prêts à tout, même à ternir les relations entre l‘Algérie et l‘Egypte, rien que pour aller au Mondial sud-africain », croit savoir un internaute algérien qui pointe du doigt l‘animateur sportif Amr Adib qui jette l‘huile sur le feu «Le citoyen algérien a la particularité de détester son homologue égyptien» a-t-il claironné sur une de ses émissions, précisant que « ce n‘est pas seulement une haine sportive, mais les Algériens nous détestent jusqu‘à la moelle». Pour un sportif, ce n‘est pas du tout fair-play, réplique tout aussi dénuée de fair-play des Algériens. « Quel hypocrite ce Amr Adib ! Une semaine après avoir insulté l‘Algérie et les Algériens, et commencé la guerre médiatique, il ose venir demander aux Algériens de se calmer sans même formuler la moindre excuse... Comme on a l‘habitude de le dire en Algérie : Ulac smah ulac ya Amr Adib! ». A la bataille des mots se sont succédé d‘autres attaques plus fines et subtiles. Les Egyptiens ont eu vent d‘une forte présence des Algériennes au stade le jour du match. Cette chambrée de supportrices risquait de galvaniser les fennecs. Qu‘à cela ne tienne. Ils interdisent tout bonnement l‘accès au Cairo Stadium à toutes les femmes. L‘avenir des femmes algériennes en Egypte sera mouvementé en cas de qualification de l‘Algérie pour le Mondial. Certaines d‘entre elles mariées à des Egyptiens ont été averties par leur conjoint de plier bagage, si par malheur les Pharaons perdaient le match. Le mot de la fin, plein de sagesse et de sérénité est venu de Azzedine Mihoubi secrétaire d‘Etat auprès du Premier ministre chargé de la Communication qui pense qu‘à travers cette offensive médiatique « les Egyptiens veulent se rassurer à travers des commentaires enflammés destinés à une consommation interne », exhortant, pour l‘intérêt suprême de la sélection nationale, « les journalistes algériens à se concentrer sur l‘aspect sportif et à éviter de répercuter les excès des Egyptiens et les commentaires extra-sportifs ». Message reçu 5/5.