La guerre médiatique entourant la rencontre Egypte Algérie s'est accentuée surtout à l'approche du 14 novembre. « Habitués à ce genre de campagnes, les égyptiens sont des experts dans l'art de la propagande », souligne le quotidien national Liberté dans l'une de ses éditions. Pas unjour ne passe sans que la presse égyptienne ne s'étale négativement sur la sélection algérienne. Pour cette édition 2010, les hostillités ont commencé dès le tirage au sort qui a placé la sélection nationale dans le même groupe Egypte. Cela est vrai que du point de vue de la presse du pays des pyramides, les pharaons sont les grands favoris, arguant du fait que la sélection algérienne est équipe composée dans sa grande majorité de joueurs évoluant dans des équipes de deuxième division en Europe. Le parcours sans faute des coéquipiers de Gaouaoui a complètement changé la vision des supports médiatiques égyptiens. Les Fennecs solidaires et combatifs ont bel et bien affiché leur intention d'aller le plus loin dans cette compétition, suscitant crainte et appréhension quant au sort de ce match de la dernière chance. Ce dimanche, le journal égyptien El Yawm a souligné dans l'une de ses pages de la rubrique sportive que « le mois de novembre, est un mois d'optimisme pour les égyptiens » avant d'ajouter qu'« une séance de travail sera consacrée par l'entraîneur pour expliquer le jeu des algériens ainsi que les points faibles et forts que renferment cette équipe adverse ». La presse égyptienne rappelons-le, suit avec beaucoup d'intérêt tout ce qui a trait à la sélection algérienne. El Ahram de son côté, dans l'une de ses écrits souligne qu' « une réunion est prévue dans les heures qui viennent, entre le président du conseil égyptien du sport, Hassan Sakr, et le président de la Fédération égyptienne de football Samir Zaher, pour examiner les dispositions de la rencontre Egypte-Algérie ». De nombreux écrits des journalistes égyptiens du secteur public louent les talents des joueurs algériens et attirent l'attention des pharaons sur les capacités et le mental élevé et à toute épreuve des partenaires de Ziani, ce qui justifie leur place des leaders du groupe. Cependant, la presse des bords du Nil n'omet pas de mettre l'accent qu'une qualification des pharaons est du domaine du possible, rappelant du match de1989 où ils ont arraché le billet pour la coupe du monde face au même adversaire. La presse algérienne pour sa part, notamment arabophone n'a de cesse de répondre à certains écrits enflammés des médias égyptiens, avisant que « quel que soit le lieu où le match se déroulera, sur le toit d'une maison, dans les tombes ou dans le désert du Sinaï, le dernier mot reviendra aux 22 acteurs sur le terrain qui devront prouver, durant les 90 minutes, qui sont les plus aptes à aller au Mondial. Au journal francophone Liberté, dans l'une de ses éditions, de terminer, non sans avoir remis les gesticulations de la presse égyptienne dans leur véritable contexte «La guerre médiatique ne reste qu'une guerre psychologique pour influer sur l'équipe adversaire, et essayer en même temps de la démoraliser », a-t-il souligné. La guerre médiatique entourant la rencontre Egypte Algérie s'est accentuée surtout à l'approche du 14 novembre. « Habitués à ce genre de campagnes, les égyptiens sont des experts dans l'art de la propagande », souligne le quotidien national Liberté dans l'une de ses éditions. Pas unjour ne passe sans que la presse égyptienne ne s'étale négativement sur la sélection algérienne. Pour cette édition 2010, les hostillités ont commencé dès le tirage au sort qui a placé la sélection nationale dans le même groupe Egypte. Cela est vrai que du point de vue de la presse du pays des pyramides, les pharaons sont les grands favoris, arguant du fait que la sélection algérienne est équipe composée dans sa grande majorité de joueurs évoluant dans des équipes de deuxième division en Europe. Le parcours sans faute des coéquipiers de Gaouaoui a complètement changé la vision des supports médiatiques égyptiens. Les Fennecs solidaires et combatifs ont bel et bien affiché leur intention d'aller le plus loin dans cette compétition, suscitant crainte et appréhension quant au sort de ce match de la dernière chance. Ce dimanche, le journal égyptien El Yawm a souligné dans l'une de ses pages de la rubrique sportive que « le mois de novembre, est un mois d'optimisme pour les égyptiens » avant d'ajouter qu'« une séance de travail sera consacrée par l'entraîneur pour expliquer le jeu des algériens ainsi que les points faibles et forts que renferment cette équipe adverse ». La presse égyptienne rappelons-le, suit avec beaucoup d'intérêt tout ce qui a trait à la sélection algérienne. El Ahram de son côté, dans l'une de ses écrits souligne qu' « une réunion est prévue dans les heures qui viennent, entre le président du conseil égyptien du sport, Hassan Sakr, et le président de la Fédération égyptienne de football Samir Zaher, pour examiner les dispositions de la rencontre Egypte-Algérie ». De nombreux écrits des journalistes égyptiens du secteur public louent les talents des joueurs algériens et attirent l'attention des pharaons sur les capacités et le mental élevé et à toute épreuve des partenaires de Ziani, ce qui justifie leur place des leaders du groupe. Cependant, la presse des bords du Nil n'omet pas de mettre l'accent qu'une qualification des pharaons est du domaine du possible, rappelant du match de1989 où ils ont arraché le billet pour la coupe du monde face au même adversaire. La presse algérienne pour sa part, notamment arabophone n'a de cesse de répondre à certains écrits enflammés des médias égyptiens, avisant que « quel que soit le lieu où le match se déroulera, sur le toit d'une maison, dans les tombes ou dans le désert du Sinaï, le dernier mot reviendra aux 22 acteurs sur le terrain qui devront prouver, durant les 90 minutes, qui sont les plus aptes à aller au Mondial. Au journal francophone Liberté, dans l'une de ses éditions, de terminer, non sans avoir remis les gesticulations de la presse égyptienne dans leur véritable contexte «La guerre médiatique ne reste qu'une guerre psychologique pour influer sur l'équipe adversaire, et essayer en même temps de la démoraliser », a-t-il souligné.