Les résidants de plusieurs immeubles, situés dans les quartiers d'Alger-Centre, du moins ceux qui n'ont pas la possibilité de pouvoir fermer à clé la nuit les portes d'entrée de leurs immeubles, se retrouvent au matin confrontés à des spectacles le moins que l'on puisse dire peu ragoûtants sans parler des relents nauséabonds soulevant le cœur des plus stoïques. En fait les halls de ces immeubles se transforment, au cours de la nuit, en urinoirs par des noctambules. Ces quartiers, dits résidentiels, paient en fait la rançon de leur situation privilégiée, attendu que le calme qui y régne permet aux personnes de passage et en l'absence de toilettes publiques d'y vider leurs vessies sans prendre le risque d'être surprises, chose qui ne serait même pas envisageable dans les immeubles et cités des quartiers populeux, où les jeunes, réunis en groupes, squattent les halls jusqu'au petit matin. Les résidants de plusieurs immeubles, situés dans les quartiers d'Alger-Centre, du moins ceux qui n'ont pas la possibilité de pouvoir fermer à clé la nuit les portes d'entrée de leurs immeubles, se retrouvent au matin confrontés à des spectacles le moins que l'on puisse dire peu ragoûtants sans parler des relents nauséabonds soulevant le cœur des plus stoïques. En fait les halls de ces immeubles se transforment, au cours de la nuit, en urinoirs par des noctambules. Ces quartiers, dits résidentiels, paient en fait la rançon de leur situation privilégiée, attendu que le calme qui y régne permet aux personnes de passage et en l'absence de toilettes publiques d'y vider leurs vessies sans prendre le risque d'être surprises, chose qui ne serait même pas envisageable dans les immeubles et cités des quartiers populeux, où les jeunes, réunis en groupes, squattent les halls jusqu'au petit matin.