Une enquête sur "la prévention et l'éducation" du diabète sera lancée le 1er décembre prochain à travers le territoire national, a indiqué samedi le Pr. Azzeddine Belhadj Mostefa. "Les premiers six mois de cette enquête qui s'étalera sur une période de dix ans seront exclusivement consacrés au +recrutement+ de 800 à 1.000 sujets diabétiques ciblés et suivre de très près leur quotidien de vie", a précisé ce spécialiste au service des maladies internes du CHU de Constantine, au cours d'une rencontre médicale organisée par l'association Sciences et Vie, en collaboration avec l'association des diabétiques El-Hayat d'El Khroub (Constantine) en célébration de la journée mondiale du diabète. Selon le Pr. Belhadj Mostefa, l'objectif de cette initiative, qui s'effectuera sous la surveillance de diabétologues, de diététiciens, d'éducateurs, de spécialistes en physiologie et de paramédicaux nutritionnistes, est de "déterminer, entre autres, le taux de basculement de la maladie, l'efficacité du régime et de l'éducation alimentaire prescrites ainsi que le dosage de diminution des apports en hydrate de carbone et en lipides". De son côté, le Pr. Abdelhamid Aberkane, médecin-chef du service de réanimation du CHU de Constantine, a mis en exergue "l'importance de la contribution de la société civile dans l'amélioration de l'éducation nutritive et la sensibilisation sur les méthodes de prévention que doit impérativement respecter et suivre le diabétique pour éviter les risques de graves complications à même de mettre sa vie en danger". S'adressant à un parterre de médecins et de personnes atteintes de diabète, regroupés au centre culturel M'hamed-Yazid d'El Khroub, le Pr. Aberkane a rappelé les causes principales de cette "unique maladie non transmissible qui évolue sur un mode épidémique" avant de souligner la nécessité de "sensibilisation et de vulgarisation sanitaire pour la prévention des complications cardiovasculaires, visuelles et même conduisant à l'amputation pure et simple du pied du malade". Cette prévention "ne peut être efficace que par le biais d'une éducation thérapeutique et préventive basée sur le respect rigoureux d'un régime alimentaire équilibré et varié, beaucoup d'hygiène et une prudence dont doit faire montre le diabétique dans sa vie active de tous les jours", a dit, de son côté, le Dr. Ouchtati du service d'anesthésie et de réanimation du CHU. Une enquête sur "la prévention et l'éducation" du diabète sera lancée le 1er décembre prochain à travers le territoire national, a indiqué samedi le Pr. Azzeddine Belhadj Mostefa. "Les premiers six mois de cette enquête qui s'étalera sur une période de dix ans seront exclusivement consacrés au +recrutement+ de 800 à 1.000 sujets diabétiques ciblés et suivre de très près leur quotidien de vie", a précisé ce spécialiste au service des maladies internes du CHU de Constantine, au cours d'une rencontre médicale organisée par l'association Sciences et Vie, en collaboration avec l'association des diabétiques El-Hayat d'El Khroub (Constantine) en célébration de la journée mondiale du diabète. Selon le Pr. Belhadj Mostefa, l'objectif de cette initiative, qui s'effectuera sous la surveillance de diabétologues, de diététiciens, d'éducateurs, de spécialistes en physiologie et de paramédicaux nutritionnistes, est de "déterminer, entre autres, le taux de basculement de la maladie, l'efficacité du régime et de l'éducation alimentaire prescrites ainsi que le dosage de diminution des apports en hydrate de carbone et en lipides". De son côté, le Pr. Abdelhamid Aberkane, médecin-chef du service de réanimation du CHU de Constantine, a mis en exergue "l'importance de la contribution de la société civile dans l'amélioration de l'éducation nutritive et la sensibilisation sur les méthodes de prévention que doit impérativement respecter et suivre le diabétique pour éviter les risques de graves complications à même de mettre sa vie en danger". S'adressant à un parterre de médecins et de personnes atteintes de diabète, regroupés au centre culturel M'hamed-Yazid d'El Khroub, le Pr. Aberkane a rappelé les causes principales de cette "unique maladie non transmissible qui évolue sur un mode épidémique" avant de souligner la nécessité de "sensibilisation et de vulgarisation sanitaire pour la prévention des complications cardiovasculaires, visuelles et même conduisant à l'amputation pure et simple du pied du malade". Cette prévention "ne peut être efficace que par le biais d'une éducation thérapeutique et préventive basée sur le respect rigoureux d'un régime alimentaire équilibré et varié, beaucoup d'hygiène et une prudence dont doit faire montre le diabétique dans sa vie active de tous les jours", a dit, de son côté, le Dr. Ouchtati du service d'anesthésie et de réanimation du CHU.