"La réponse au flux de propos injurieux que profèrent ces derniers temps les Egyptiens à l'endroit de l'Algérie ne doit nullement faire sortir notre pays de son silence, réaction la plus adéquate à la situation". C'est l'avis dont a fait part, hier, le secrétaire général de l'Académie de la société civile algérienne (ASCA), le Dr Ahmed Chaenna, en marge d'une conférence qu'il a animée au centre d'El Moudjahid, sur le rôle et la contribution de la société civile dans la politique d'édification nationale et de développement. Affirmant que la position de l'académie est identique, en toute occasion, à celle du pouvoir, le Dr A.Chaenna, a déclaré que « nous ne sommes pas barbares comme nous traitent nos frères égyptiens. Nous réagissons en leur disant mourez avec votre colère, nous n'allons pas vous répondre». Et de poursuivre: « Nous ne sommes pas comme les Egyptiens qui ne font que parler d'eux-mêmes. Nous préférons réagir avec des faits». Il ajoute : « En tant que citoyen algérien, je suis vraiment désolé pour ce que diffusent des médias égyptiens, pis encore, ça s'est propagé à des personnalités de ce pays. Ils nous ont traités de tous les noms ». S'agissant de la disposition prise par l'académie à la suite de ces évènements, le Dr Chaenna a affirmé que sa partie ne reste pas indifférente aux évènements. En effet, cette académie ayant 19 bureaux à l'étranger, «a donné un nombre de recommandations à notre bureau installé au Caire. Ce dernier doit coordonner avec l'ambassade d'Algérie en Egypte pour se rapprocher de notre communauté et prendre connaissance de ce qu'ils endurent». Il est à rappeler, tel que l'a développé le conférencier dans son exposé, que l'ASCA, première en Algérie et dans le Monde arabe, est une académie non gouvernementale, nationale mais dont l'activité est perçue même à l'étranger. Le nombre intégral de ses adhérents jusqu'à fin 2008 est estimé à 124.540 personnes, dont 6.020 résidents à l'étranger. Répondant à une question concernant les sources de financement de l'académie, le conférencier a nié que le Trésor public soit derrière le développement de l'activité de cette organisation. "La réponse au flux de propos injurieux que profèrent ces derniers temps les Egyptiens à l'endroit de l'Algérie ne doit nullement faire sortir notre pays de son silence, réaction la plus adéquate à la situation". C'est l'avis dont a fait part, hier, le secrétaire général de l'Académie de la société civile algérienne (ASCA), le Dr Ahmed Chaenna, en marge d'une conférence qu'il a animée au centre d'El Moudjahid, sur le rôle et la contribution de la société civile dans la politique d'édification nationale et de développement. Affirmant que la position de l'académie est identique, en toute occasion, à celle du pouvoir, le Dr A.Chaenna, a déclaré que « nous ne sommes pas barbares comme nous traitent nos frères égyptiens. Nous réagissons en leur disant mourez avec votre colère, nous n'allons pas vous répondre». Et de poursuivre: « Nous ne sommes pas comme les Egyptiens qui ne font que parler d'eux-mêmes. Nous préférons réagir avec des faits». Il ajoute : « En tant que citoyen algérien, je suis vraiment désolé pour ce que diffusent des médias égyptiens, pis encore, ça s'est propagé à des personnalités de ce pays. Ils nous ont traités de tous les noms ». S'agissant de la disposition prise par l'académie à la suite de ces évènements, le Dr Chaenna a affirmé que sa partie ne reste pas indifférente aux évènements. En effet, cette académie ayant 19 bureaux à l'étranger, «a donné un nombre de recommandations à notre bureau installé au Caire. Ce dernier doit coordonner avec l'ambassade d'Algérie en Egypte pour se rapprocher de notre communauté et prendre connaissance de ce qu'ils endurent». Il est à rappeler, tel que l'a développé le conférencier dans son exposé, que l'ASCA, première en Algérie et dans le Monde arabe, est une académie non gouvernementale, nationale mais dont l'activité est perçue même à l'étranger. Le nombre intégral de ses adhérents jusqu'à fin 2008 est estimé à 124.540 personnes, dont 6.020 résidents à l'étranger. Répondant à une question concernant les sources de financement de l'académie, le conférencier a nié que le Trésor public soit derrière le développement de l'activité de cette organisation.