Ce programme FACICO, qui devait commencer en 2008, a été entamé le 1er mars 2009. FACICO vise à faciliter le processus de libéralisation de l'économie algérienne et d'accroître son intégration dans l'économie mondiale. Ce programme FACICO, qui devait commencer en 2008, a été entamé le 1er mars 2009. FACICO vise à faciliter le processus de libéralisation de l'économie algérienne et d'accroître son intégration dans l'économie mondiale. «Ce programme financé conjointement par l'Union européenne et le gouvernement algérien doit prendre fin, en principe, en 2010 mais il sera prolongé jusqu'à la fin 2011» a déclaré hier à Alger, Abdelhamid Bellahda, directeur du programme opérationnel (FACICO), programme d'appui à la facilitation du commerce en Algérie, en présence de Laura Baeza, chef de délégation et ambassadrice de la Commission européenne en Algérie. Ce programme FACICO, qui devait commencer en 2008, a été entamé le 1er mars 2009. FACICO vise à faciliter, dit-il, le processus de libéralisation de l'économie algérienne et d'accroître son intégration dans l'économie mondiale. Ce programme d'une enveloppe financière de 6,256 000 millions d'euros dont 1,250 000 financés par la partie algérienne, renforcera ainsi les capacités des structures du ministère du Commerce pour lutter contre les dysfonctionnements qui affectent la sphère commerciale comme la contrefaçon, le marché informel et la concurrence déloyale. Ce budget, lié essentiellement à l'assistance technique et à la formation, prévoit, respectivement, environ 4.000 heures par jour et une somme évaluée à 800.000 euros, ainsi qu'un marché d'équipements estimé à 200.000 euros. La durée de réalisation de cette convention de financement de FACICO entre l'Union européenne et le ministère du Commerce est valable jusqu'à fin décembre 2010. Il n'a pas manqué de mettre l'accent sur le contenu de ce programme qui s'articule sur trois composantes exprimées par le gouvernement algérien. Il s'agit de renforcer, dit-il, la compétitivité des entreprises algériennes dans le contexte de l'ouverture du commerce en faisant en sorte que le bénéfice du développement entraîné par le commerce soit partagé par l'ensemble des consommateurs algériens. L'objectif principal de cet atelier est de réunir l'ensemble des bénéficiaires du programme sous la haute autorité du ministère du Commerce pour les informer de sa mise en œuvre et de rappeler les objectifs qui sont recherchés. Mme Laura Baeza a mis l'accent, quant à elle, sur l'importance et les objectifs assignés au programme FACICO, tels que la lutte contre la contrefaçon et d'autres fléaux et les dysfonctionnements qui gangrènent le commerce. «Nous allons faire en sorte que les produits algériens répondent aux normes européennes» a-t-elle affirmé. La représentante de la commission européenne ajoute que l'Union européenne prévoit dans les accords d'association de libre échange la conformité aux standards européens de la part du secteur productif algérien. Elle estime que les pouvoirs publics doivent mettre les ressources nécessaires pour encourager le commerce entre l'Algérie et l'Union européenne en augmentant les capacités institutionnelles. La structuration du mouvement associatif algérien en réseaux, constitue l'un des piliers fondamentaux de la mise en œuvre et de la réussite de ce programme dans la mesure où un budget spécifique lui a été réservé. Faut-il souligner l'existence de 60 associations de défense des consommateurs en Algérie dont une est sise à Alger. «Ce programme financé conjointement par l'Union européenne et le gouvernement algérien doit prendre fin, en principe, en 2010 mais il sera prolongé jusqu'à la fin 2011» a déclaré hier à Alger, Abdelhamid Bellahda, directeur du programme opérationnel (FACICO), programme d'appui à la facilitation du commerce en Algérie, en présence de Laura Baeza, chef de délégation et ambassadrice de la Commission européenne en Algérie. Ce programme FACICO, qui devait commencer en 2008, a été entamé le 1er mars 2009. FACICO vise à faciliter, dit-il, le processus de libéralisation de l'économie algérienne et d'accroître son intégration dans l'économie mondiale. Ce programme d'une enveloppe financière de 6,256 000 millions d'euros dont 1,250 000 financés par la partie algérienne, renforcera ainsi les capacités des structures du ministère du Commerce pour lutter contre les dysfonctionnements qui affectent la sphère commerciale comme la contrefaçon, le marché informel et la concurrence déloyale. Ce budget, lié essentiellement à l'assistance technique et à la formation, prévoit, respectivement, environ 4.000 heures par jour et une somme évaluée à 800.000 euros, ainsi qu'un marché d'équipements estimé à 200.000 euros. La durée de réalisation de cette convention de financement de FACICO entre l'Union européenne et le ministère du Commerce est valable jusqu'à fin décembre 2010. Il n'a pas manqué de mettre l'accent sur le contenu de ce programme qui s'articule sur trois composantes exprimées par le gouvernement algérien. Il s'agit de renforcer, dit-il, la compétitivité des entreprises algériennes dans le contexte de l'ouverture du commerce en faisant en sorte que le bénéfice du développement entraîné par le commerce soit partagé par l'ensemble des consommateurs algériens. L'objectif principal de cet atelier est de réunir l'ensemble des bénéficiaires du programme sous la haute autorité du ministère du Commerce pour les informer de sa mise en œuvre et de rappeler les objectifs qui sont recherchés. Mme Laura Baeza a mis l'accent, quant à elle, sur l'importance et les objectifs assignés au programme FACICO, tels que la lutte contre la contrefaçon et d'autres fléaux et les dysfonctionnements qui gangrènent le commerce. «Nous allons faire en sorte que les produits algériens répondent aux normes européennes» a-t-elle affirmé. La représentante de la commission européenne ajoute que l'Union européenne prévoit dans les accords d'association de libre échange la conformité aux standards européens de la part du secteur productif algérien. Elle estime que les pouvoirs publics doivent mettre les ressources nécessaires pour encourager le commerce entre l'Algérie et l'Union européenne en augmentant les capacités institutionnelles. La structuration du mouvement associatif algérien en réseaux, constitue l'un des piliers fondamentaux de la mise en œuvre et de la réussite de ce programme dans la mesure où un budget spécifique lui a été réservé. Faut-il souligner l'existence de 60 associations de défense des consommateurs en Algérie dont une est sise à Alger.