Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.
«Le gouvernement a créé un groupe minier comportant des entreprises publiques» Chakib Khelil, hier, à la cérémonie de présentation du rapport d'activité 2008 de l'ANGCM
Relatant le rôle de la recherche et de l'expertise, M. Khelil a affirmé que les missions de l'ANGCM visent notamment à développer de nouvelles données en matière d'information aux investisseurs publics et privés. Relatant le rôle de la recherche et de l'expertise, M. Khelil a affirmé que les missions de l'ANGCM visent notamment à développer de nouvelles données en matière d'information aux investisseurs publics et privés. «Le gouvernement a procédé à la création d'un groupe minier regroupant des entreprises publiques, à savoir la SPA Managem El Djazair dont le P-dg est M. Rezaiguia. Cette entité englobe notamment les entreprises Pherphos, Enasel, l'Enof, etc. Ce groupe minier aura un développement à l'image de Sonatrach et Sonelgaz et se chargera de produire du sel et d'autres produits, notamment en ce qui concerne le développement durable» a notamment déclaré hier, le ministre de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil, lors de la cérémonie de présentation du rapport annuel 2008 de l'Agence nationale de la géologie et du contrôle minier (ANGCM). Il a également mis en relief les missions et les prérogatives de cette agence minière en affirmant que l'essentiel consiste à établir des passerelles de communication avec les opérateurs, les différentes agences et les membres du ministère. «La loi minière de 2001 a instauré un processus d'ouverture du secteur dans la transparence et la concurrence. Le rôle fondamental de l'ANGCM vise notamment à s'assurer que les carrières et les exploitations minières sont exploitées avec l'accord et l'art minier. Les exploitants doivent obéir à ces normes» a-t-il ajouté. Le ministre a aussi abordé la nécessité de recruter des personnels qualifiés notamment des ingénieurs et des techniciens et de former des cadres. Ainsi, il a mis en relief l'importance de l'Institut de formation minière de Tamanrasset. Khelil n'a pas manqué de soulever le problème récurrent des accidents survenus dans les carrières et mines en précisant que ces nombreux accidents de manipulation peuvent facilement être évités. et qu'il y a lieu également de respecter le contrôle des normes environnementales. «Beaucoup de choses ayant un impact sur l'hygiène, la santé des populations et l'environnement peuvent être évitées. Aussi, les exploitants doivent payer leurs redevances à l'Etat en contrepartie de l'autorisation octroyée par les pouvoirs publics aux exploitants des carrières», a-t-il souligné. Abordant le rapport d'activité de l'année 2008, M. Berkani, cadre à l'ANGCM, a expliqué que l'environnement n'est pas pris en charge et sur 371 exploitations 11 prennent les mesures nécessaires relatives à la règlementation, mais il reconnait une nette amélioration concernant le recouvrement des redevances par la police des mines. «Suite à l'état des activités minières, le Conseil d'administration a adressé 93 mises en demeure, notamment pour l'arrêt ou l'abandon des travaux. Alors qu'elles étaient au nombre de 8 en 2007, les antennes ont grimpé à 11 en 2008. Sur le plan des ressources humaines, l'ANGCM a un effectif total de 188 agents, toutes catégories confondues» a-t-il dit. Il ajoute : «Sur le plan financier, les investissements importants engagés se rapportent à plusieurs opérations. Il s'agit de la réalisation de l'étude d'appui avec CGS/Afrique du Sud pour la mise en place du service géologique national, de la réalisation de l'infrastructure géologique dont le programme PNCG (Plan national de cartographie géologique) et l'équipement des nouvelles antennes régionales et leur renforcement en moyen de transport (11 VLTT)». A propos de l'évolution des dépenses, les années 2007 et 2008 se sont soldées respectivement par 488 millions DA et 762 millions DA pour les frais de fonctionnement et d'investissement. A cela, il faut ajouter les dépenses de fonctionnement relatives aux frais du personnel avec 109 millions DA. Relatant le rôle de la recherche et de l'expertise, M. Khelil a affirmé que les missions de l'ANGCM visent notamment à développer de nouvelles données en matière d'information aux investisseurs publics et privés. Ainsi, les investisseurs peuvent faire de l'exploitation en utilisant les informations à travers les cartes, les études et les programmes élaborés par l'ORGM. Le ministre a indiqué aussi que les experts peuvent contribuer qualitativement à prendre des décisions d'investissement en nombre suffisant, et aider par conséquent, les investisseurs. «La richesse finale, ce sont les ressources humaines qui peuvent identifier les ressources naturelles. L'ANGCM accomplit des efforts pour le recrutement des experts et la formation des ingénieurs des mines» a-t-il conclu. A. A. «Le gouvernement a procédé à la création d'un groupe minier regroupant des entreprises publiques, à savoir la SPA Managem El Djazair dont le P-dg est M. Rezaiguia. Cette entité englobe notamment les entreprises Pherphos, Enasel, l'Enof, etc. Ce groupe minier aura un développement à l'image de Sonatrach et Sonelgaz et se chargera de produire du sel et d'autres produits, notamment en ce qui concerne le développement durable» a notamment déclaré hier, le ministre de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil, lors de la cérémonie de présentation du rapport annuel 2008 de l'Agence nationale de la géologie et du contrôle minier (ANGCM). Il a également mis en relief les missions et les prérogatives de cette agence minière en affirmant que l'essentiel consiste à établir des passerelles de communication avec les opérateurs, les différentes agences et les membres du ministère. «La loi minière de 2001 a instauré un processus d'ouverture du secteur dans la transparence et la concurrence. Le rôle fondamental de l'ANGCM vise notamment à s'assurer que les carrières et les exploitations minières sont exploitées avec l'accord et l'art minier. Les exploitants doivent obéir à ces normes» a-t-il ajouté. Le ministre a aussi abordé la nécessité de recruter des personnels qualifiés notamment des ingénieurs et des techniciens et de former des cadres. Ainsi, il a mis en relief l'importance de l'Institut de formation minière de Tamanrasset. Khelil n'a pas manqué de soulever le problème récurrent des accidents survenus dans les carrières et mines en précisant que ces nombreux accidents de manipulation peuvent facilement être évités. et qu'il y a lieu également de respecter le contrôle des normes environnementales. «Beaucoup de choses ayant un impact sur l'hygiène, la santé des populations et l'environnement peuvent être évitées. Aussi, les exploitants doivent payer leurs redevances à l'Etat en contrepartie de l'autorisation octroyée par les pouvoirs publics aux exploitants des carrières», a-t-il souligné. Abordant le rapport d'activité de l'année 2008, M. Berkani, cadre à l'ANGCM, a expliqué que l'environnement n'est pas pris en charge et sur 371 exploitations 11 prennent les mesures nécessaires relatives à la règlementation, mais il reconnait une nette amélioration concernant le recouvrement des redevances par la police des mines. «Suite à l'état des activités minières, le Conseil d'administration a adressé 93 mises en demeure, notamment pour l'arrêt ou l'abandon des travaux. Alors qu'elles étaient au nombre de 8 en 2007, les antennes ont grimpé à 11 en 2008. Sur le plan des ressources humaines, l'ANGCM a un effectif total de 188 agents, toutes catégories confondues» a-t-il dit. Il ajoute : «Sur le plan financier, les investissements importants engagés se rapportent à plusieurs opérations. Il s'agit de la réalisation de l'étude d'appui avec CGS/Afrique du Sud pour la mise en place du service géologique national, de la réalisation de l'infrastructure géologique dont le programme PNCG (Plan national de cartographie géologique) et l'équipement des nouvelles antennes régionales et leur renforcement en moyen de transport (11 VLTT)». A propos de l'évolution des dépenses, les années 2007 et 2008 se sont soldées respectivement par 488 millions DA et 762 millions DA pour les frais de fonctionnement et d'investissement. A cela, il faut ajouter les dépenses de fonctionnement relatives aux frais du personnel avec 109 millions DA. Relatant le rôle de la recherche et de l'expertise, M. Khelil a affirmé que les missions de l'ANGCM visent notamment à développer de nouvelles données en matière d'information aux investisseurs publics et privés. Ainsi, les investisseurs peuvent faire de l'exploitation en utilisant les informations à travers les cartes, les études et les programmes élaborés par l'ORGM. Le ministre a indiqué aussi que les experts peuvent contribuer qualitativement à prendre des décisions d'investissement en nombre suffisant, et aider par conséquent, les investisseurs. «La richesse finale, ce sont les ressources humaines qui peuvent identifier les ressources naturelles. L'ANGCM accomplit des efforts pour le recrutement des experts et la formation des ingénieurs des mines» a-t-il conclu. A. A.