Dans sa déclaration, le président de la CGEA, tout en insistant sur la nécessité de promouvoir le dialogue et la concertation entre le gouvernement et les partenaires sociaux, a souligné l'importance de cette rencontre tripartite qui doit se pencher sur les mesures à initier pour la promotion de l'entreprise créatrice de richesses et d'emplois, notamment la PME. Ainsi, il a recommandé d'orienter les recettes des hydrocarbures en direction de l'entreprise et de réduire les importations de biens de consommation jugées non utiles. Concernant la décision de poursuivre la revalorisation des rémunérations des travailleurs du secteur économique public et privé, les représentants du patronat algérien, bien qu'ils aient affiché leur adhésion à cette décision, ont cependant mis en avant les difficultés auxquelles sont confrontées les entreprises algériennes et qui les empêchent d'envisager ces revalorisations à court terme. A propos du financement des entreprises, l'ensemble des patrons se disaient contents des garanties du gouvernement en vue d'accorder des facilitations au profit des entreprises productrices, particulièrement en ce qui concerne le crédit documentaire qui faisait l'objet de préoccupations des opérateurs économiques depuis son instauration par la loi de finances complémentaire 2009. Les résultats issus de cette 13e tripartite constituent "une assurance pilote" pour l'avenir de l'économie nationale, a, quant à lui, souligné le président de la Confédération algérienne du patronat (CAP), M. Boualem M'rakechi. Le patron de la CAP a, dans ce sens, insisté sur la création des conditions nécessaires pour le développement des entreprises algériennes. Dans sa déclaration, le président de la CGEA, tout en insistant sur la nécessité de promouvoir le dialogue et la concertation entre le gouvernement et les partenaires sociaux, a souligné l'importance de cette rencontre tripartite qui doit se pencher sur les mesures à initier pour la promotion de l'entreprise créatrice de richesses et d'emplois, notamment la PME. Ainsi, il a recommandé d'orienter les recettes des hydrocarbures en direction de l'entreprise et de réduire les importations de biens de consommation jugées non utiles. Concernant la décision de poursuivre la revalorisation des rémunérations des travailleurs du secteur économique public et privé, les représentants du patronat algérien, bien qu'ils aient affiché leur adhésion à cette décision, ont cependant mis en avant les difficultés auxquelles sont confrontées les entreprises algériennes et qui les empêchent d'envisager ces revalorisations à court terme. A propos du financement des entreprises, l'ensemble des patrons se disaient contents des garanties du gouvernement en vue d'accorder des facilitations au profit des entreprises productrices, particulièrement en ce qui concerne le crédit documentaire qui faisait l'objet de préoccupations des opérateurs économiques depuis son instauration par la loi de finances complémentaire 2009. Les résultats issus de cette 13e tripartite constituent "une assurance pilote" pour l'avenir de l'économie nationale, a, quant à lui, souligné le président de la Confédération algérienne du patronat (CAP), M. Boualem M'rakechi. Le patron de la CAP a, dans ce sens, insisté sur la création des conditions nécessaires pour le développement des entreprises algériennes.