«L'Algérie ne doit pas rester à l'écart des évolutions technologiques et numériques que connait le monde actuellement», a-t-on mis en exergue, lors du séminaire sur la certification électronique, organisé, hier, par l'ARPT en partenariat avec l'Union Internationale des Télécommunications. «L'Algérie ne doit pas rester à l'écart des évolutions technologiques et numériques que connait le monde actuellement», a-t-on mis en exergue, lors du séminaire sur la certification électronique, organisé, hier, par l'ARPT en partenariat avec l'Union Internationale des Télécommunications. Mme Zohra Derdouri, présidente de l'Autorité de régulation des postes et télécommunications (ARPT), lors de son intervention, a expliqué l'intérêt et l'importance de l'instauration de ce mode. Elle soulignera, par ailleurs, qu'il s'agit là d'une condition préalable et un pré-requis dans l'édification d'une société de l'information dans laquelle l'Algérie s'est d'ores et déjà engagée. L'ARPT, a-t-elle ajouté, est l'institution en charge d'encadrer, réguler et superviser l'activité de la certification électronique. Cette instance de régulation sera donc le garant qui prendra toutes les mesures d'usage. En d'autres termes, elle sera le certificateur. Ce séminaire vise à permettre de faire le point, recenser et analyser ce qui a été entrepris en matière de certification électronique en Algérie. Dans ce sens, Mme Derdouri a insisté sur l'intérêt de l'Algérie à prendre en compte les expériences étrangères à effet d'aider notre pays à prendre le train déjà en marche des technologies de l'information et communication. L'expérience étrangère, a-t-elle expliqué, constituera un gain de temps au pays, notamment du fait de lui éviter l'adoption de solutions jugées déficientes et incomplètes dans d'autres pays. Du point de vue des experts participant à ce séminaire, notamment de M. Alain Laniesse, de Thybris «le cadre législatif, de par son importance, n'est pas une finalité car il permet de donner un fil conducteur pour que nous puissions nous appuyer dessus en cas de litige». Il permet, a-t-il expliqué, de développer le commerce qui est à la fois une nécessité et possède un effet de confiance dans le cadre des échanges. Le tout se résume dans la régulation des flux en tout genre. Il permet aussi de faire de la prévention, mais aussi de la répression, a-t-il poursuivi. Selon M. Berbars de l'ARPT, le modèle organisationnel pour la mise en œuvre de la certification électronique qui offre le plus de sécurité est le modèle Bridge. Les participants, abordant l'aspect de fraude sur l'identité numérique, auquel sont, aujourd'hui, confrontés pratiquement tous les pays, ont estimé que celle-ci représente des milliards de dollars de pertes, pour n'en citer que l'exemple des USA, il est question de 50 milliards de dollars. Pour réussir une économie numérique, a-t-il souligné, il est nécessaire de légiférer, donc de considérer le numérique comme un autre support, et il n'est pas nécessaire de transformer en suite de données numériques. D'ailleurs, cette transformation nécessite une loi pour donner une valeur légale à un document électronique quelconque soit-il. Pour rappel, la signature électronique, en Algérie, a été introduite pour la première fois, par la législation, en 2005, loi n° 05-10 du 20 juin 2005. Ce décret adopté reconnait ainsi l'écrit électronique comme étant une preuve juridiquement valable lors d'un procès. Mme Zohra Derdouri, présidente de l'Autorité de régulation des postes et télécommunications (ARPT), lors de son intervention, a expliqué l'intérêt et l'importance de l'instauration de ce mode. Elle soulignera, par ailleurs, qu'il s'agit là d'une condition préalable et un pré-requis dans l'édification d'une société de l'information dans laquelle l'Algérie s'est d'ores et déjà engagée. L'ARPT, a-t-elle ajouté, est l'institution en charge d'encadrer, réguler et superviser l'activité de la certification électronique. Cette instance de régulation sera donc le garant qui prendra toutes les mesures d'usage. En d'autres termes, elle sera le certificateur. Ce séminaire vise à permettre de faire le point, recenser et analyser ce qui a été entrepris en matière de certification électronique en Algérie. Dans ce sens, Mme Derdouri a insisté sur l'intérêt de l'Algérie à prendre en compte les expériences étrangères à effet d'aider notre pays à prendre le train déjà en marche des technologies de l'information et communication. L'expérience étrangère, a-t-elle expliqué, constituera un gain de temps au pays, notamment du fait de lui éviter l'adoption de solutions jugées déficientes et incomplètes dans d'autres pays. Du point de vue des experts participant à ce séminaire, notamment de M. Alain Laniesse, de Thybris «le cadre législatif, de par son importance, n'est pas une finalité car il permet de donner un fil conducteur pour que nous puissions nous appuyer dessus en cas de litige». Il permet, a-t-il expliqué, de développer le commerce qui est à la fois une nécessité et possède un effet de confiance dans le cadre des échanges. Le tout se résume dans la régulation des flux en tout genre. Il permet aussi de faire de la prévention, mais aussi de la répression, a-t-il poursuivi. Selon M. Berbars de l'ARPT, le modèle organisationnel pour la mise en œuvre de la certification électronique qui offre le plus de sécurité est le modèle Bridge. Les participants, abordant l'aspect de fraude sur l'identité numérique, auquel sont, aujourd'hui, confrontés pratiquement tous les pays, ont estimé que celle-ci représente des milliards de dollars de pertes, pour n'en citer que l'exemple des USA, il est question de 50 milliards de dollars. Pour réussir une économie numérique, a-t-il souligné, il est nécessaire de légiférer, donc de considérer le numérique comme un autre support, et il n'est pas nécessaire de transformer en suite de données numériques. D'ailleurs, cette transformation nécessite une loi pour donner une valeur légale à un document électronique quelconque soit-il. Pour rappel, la signature électronique, en Algérie, a été introduite pour la première fois, par la législation, en 2005, loi n° 05-10 du 20 juin 2005. Ce décret adopté reconnait ainsi l'écrit électronique comme étant une preuve juridiquement valable lors d'un procès.