L'Université El-Hadj Lakhdar de Batna a abrité, les 6 et 7 décembre 2009, les deuxièmes Journées nationales d'études et d'information (JNEI) où d'éminents universitaires nationaux, principalement de Béjaïa, Oran, Sétif, Constantine, Alger et El-Tarf, et de France (Université de Reims), ont débattu de l'impératif de la professionnalisation des formations supérieures à la lumière de l'adoption par l'Algérie du système LMD. "Ainsi, à travers ces désormais traditionnelles JNEI, l'Université de Batna cherche à établir un dialogue graduel avec l'opérateur socio-économique pour l'instauration d'un véritable partenariat", avance le Docteur Boubchiche Salah, vice-recteur chargé des relations extérieures et de la coopération. Animées par plus d'une vingtaine de communicants, ces deuxièmes JNEI ont été clôturées par la signature de conventions entre le campus et des entreprises locales, comme la SCIMAT (production de ciment). Il faut rappeler que l'Université de Batna a déjà noué des partenariats avec plusieurs sociétés lors des premières journées (cas de l'Entreprise de maintenance des équipements industriels de M'sila, Tripode-Sarl de N'Gaous, Etudes et agencement de laboratoires…). Les communicants dans leur ensemble se sont interrogés sur la problématique de la formation des cadres pour une insertion en milieu professionnel. Autrement formulé, le système LMD (Licence Magister Doctorat, en vigueur depuis 2006) répondrait, selon le comité organisateur, aux attentes de l'environnement socio-économique national, à la recherche d'un savoir technologique pouvant rivaliser, pour ne pas dire concurrencer, le marché local, inondé de produits importés douteux ou au contraire compétitifs sur les plans qualité et prix. A la clôture, les participants se sont accordés à élaborer des recommandations résumées par le Docteur Zereg Moussa, recteur de l'Université de Batna : "Nous nous devons d'aller vers les acteurs économiques locaux et nationaux à la faveur de l'instauration du système LMD par la voie de la communication d'abord pour gagner leur confiance et ensuite débattre des mécanismes juridico-administratifs tendant à améliorer les relations bilatérales et procéder par la suite à une démarche parallèle aux activités de recherche qui auront auparavant cibler les secteurs tant économique que financier, dès lors que nous aurions identifié les besoins du partenaire et, par voie de conséquence, adapter nos formations." L'Université El-Hadj Lakhdar de Batna a abrité, les 6 et 7 décembre 2009, les deuxièmes Journées nationales d'études et d'information (JNEI) où d'éminents universitaires nationaux, principalement de Béjaïa, Oran, Sétif, Constantine, Alger et El-Tarf, et de France (Université de Reims), ont débattu de l'impératif de la professionnalisation des formations supérieures à la lumière de l'adoption par l'Algérie du système LMD. "Ainsi, à travers ces désormais traditionnelles JNEI, l'Université de Batna cherche à établir un dialogue graduel avec l'opérateur socio-économique pour l'instauration d'un véritable partenariat", avance le Docteur Boubchiche Salah, vice-recteur chargé des relations extérieures et de la coopération. Animées par plus d'une vingtaine de communicants, ces deuxièmes JNEI ont été clôturées par la signature de conventions entre le campus et des entreprises locales, comme la SCIMAT (production de ciment). Il faut rappeler que l'Université de Batna a déjà noué des partenariats avec plusieurs sociétés lors des premières journées (cas de l'Entreprise de maintenance des équipements industriels de M'sila, Tripode-Sarl de N'Gaous, Etudes et agencement de laboratoires…). Les communicants dans leur ensemble se sont interrogés sur la problématique de la formation des cadres pour une insertion en milieu professionnel. Autrement formulé, le système LMD (Licence Magister Doctorat, en vigueur depuis 2006) répondrait, selon le comité organisateur, aux attentes de l'environnement socio-économique national, à la recherche d'un savoir technologique pouvant rivaliser, pour ne pas dire concurrencer, le marché local, inondé de produits importés douteux ou au contraire compétitifs sur les plans qualité et prix. A la clôture, les participants se sont accordés à élaborer des recommandations résumées par le Docteur Zereg Moussa, recteur de l'Université de Batna : "Nous nous devons d'aller vers les acteurs économiques locaux et nationaux à la faveur de l'instauration du système LMD par la voie de la communication d'abord pour gagner leur confiance et ensuite débattre des mécanismes juridico-administratifs tendant à améliorer les relations bilatérales et procéder par la suite à une démarche parallèle aux activités de recherche qui auront auparavant cibler les secteurs tant économique que financier, dès lors que nous aurions identifié les besoins du partenaire et, par voie de conséquence, adapter nos formations."