La conférence internationale des villes jumelées et des villes solidaires avec le Sahara Occidental a débuté ses travaux hier à Alger. La conférence internationale des villes jumelées et des villes solidaires avec le Sahara Occidental a débuté ses travaux hier à Alger. Les participants ont exprimé leur soutien indéfectible au peuple sahraoui dans sa lutte pour l'indépendance et l'autodétermination. Cette conférence débattra, durant deux jours, de plusieurs thèmes liés à la solidarité et au soutien à la lutte du peuple sahraoui. Les intervenants se pencheront, notamment, sur les « fondements juridiques de la question sahraouie», «le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination», «les violations massives des droits de l'Homme par le Maroc dans les territoires occupés du Sahara Occidental» et «la résistance pacifique des populations sahraouies dans les territoires occupés du Sahara Occidental». Il sera également question, lors de cette rencontre, de «la spoliation systématique des richesses naturelles du Sahara Occidental par le Maroc», ainsi que «la situation des réfugiés sahraouis et l'assistance humanitaire internationale». Un hommage particulier a été rendu à la militante sahraouie Aminatou Haider par M. Mehrez Lamari, président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui. Aminatou Haider, fervente militante des droits de l'Homme, rappelons-le, est toujours en grève de la faim et ce, depuis le 14 Novembre passé. M. Lamari a, entre autres, souligné la détermination de la militante à mener son action jusqu'au bout et faire valoir son droit et celui du peuple sahraoui à jouir de sa liberté. Il a rappelé, dans ce sens, la responsabilité du Conseil de sécurité de l'ONU à assurer la protection des citoyens sahraouis dans les territoires occupés, de mettre fin au pillage de leurs ressources naturelles afin d'engager des actions urgentes devant garantir la sécurité et les droits des Sahraouis dans les territoires occupés. M. Pierre Galland, président de la Coordination européenne de solidarité avec le peuple sahraoui (EUCOCO) a, pour sa part, indiqué qu' «au moment où se déroule cette conférence, le Maroc poursuit sa politique de fuite en avant pour tenter de détourner l'opinion internationale sur les violations systématiques des droits de l'Homme dont il s'est rendu coupable dans les territoires occupés du Sahara Occidental». M. Galland, qui a réaffirmé son soutien «indéfectible» à la cause sahraouie, a fait remarquer que le droit international est «le résultat du combat des peuples qui ont lutté pour leur indépendance». Aujourd'hui, a-t-il déclaré, "il s'agit de défendre cet acquis pour permettre au peuple sahraoui de disposer lui-même de son droit à l'autodétermination". De son côté, le président de l'Union générale des villes et cités africaines à dénoncé les violations, par le Maroc, des droits de l'Homme dans les territoires occupés, tout en saluant le combat du peuple sahraoui et à sa tête la militante Aminatou Haider. L'intervenant a, par ailleurs, appelé l'Union africaine (UA) et l'ONU à assumer leur responsabilité et œuvrer pour une "solution urgente" à la question du Sahara Occidental. Il a également exhorté les grandes puissances dans le monde à exercer des pressions sur le Maroc pour qu'il "permette à Aminatou Haider de retourner chez elle et procéder immédiatement à la libération de tous les détenus politiques sahraouis". D'autres intervenants ont salué le combat du peuple sahraoui, dénoncé la répression marocaine et appelé l'ensemble de la communauté internationale au soutien de ce peuple qui lutte pour son autodétermination. Cette conférence sera sanctionnée par la déclaration d'Alger des élus locaux du monde en faveur de la cause du peuple sahraoui. Les participants ont exprimé leur soutien indéfectible au peuple sahraoui dans sa lutte pour l'indépendance et l'autodétermination. Cette conférence débattra, durant deux jours, de plusieurs thèmes liés à la solidarité et au soutien à la lutte du peuple sahraoui. Les intervenants se pencheront, notamment, sur les « fondements juridiques de la question sahraouie», «le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination», «les violations massives des droits de l'Homme par le Maroc dans les territoires occupés du Sahara Occidental» et «la résistance pacifique des populations sahraouies dans les territoires occupés du Sahara Occidental». Il sera également question, lors de cette rencontre, de «la spoliation systématique des richesses naturelles du Sahara Occidental par le Maroc», ainsi que «la situation des réfugiés sahraouis et l'assistance humanitaire internationale». Un hommage particulier a été rendu à la militante sahraouie Aminatou Haider par M. Mehrez Lamari, président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui. Aminatou Haider, fervente militante des droits de l'Homme, rappelons-le, est toujours en grève de la faim et ce, depuis le 14 Novembre passé. M. Lamari a, entre autres, souligné la détermination de la militante à mener son action jusqu'au bout et faire valoir son droit et celui du peuple sahraoui à jouir de sa liberté. Il a rappelé, dans ce sens, la responsabilité du Conseil de sécurité de l'ONU à assurer la protection des citoyens sahraouis dans les territoires occupés, de mettre fin au pillage de leurs ressources naturelles afin d'engager des actions urgentes devant garantir la sécurité et les droits des Sahraouis dans les territoires occupés. M. Pierre Galland, président de la Coordination européenne de solidarité avec le peuple sahraoui (EUCOCO) a, pour sa part, indiqué qu' «au moment où se déroule cette conférence, le Maroc poursuit sa politique de fuite en avant pour tenter de détourner l'opinion internationale sur les violations systématiques des droits de l'Homme dont il s'est rendu coupable dans les territoires occupés du Sahara Occidental». M. Galland, qui a réaffirmé son soutien «indéfectible» à la cause sahraouie, a fait remarquer que le droit international est «le résultat du combat des peuples qui ont lutté pour leur indépendance». Aujourd'hui, a-t-il déclaré, "il s'agit de défendre cet acquis pour permettre au peuple sahraoui de disposer lui-même de son droit à l'autodétermination". De son côté, le président de l'Union générale des villes et cités africaines à dénoncé les violations, par le Maroc, des droits de l'Homme dans les territoires occupés, tout en saluant le combat du peuple sahraoui et à sa tête la militante Aminatou Haider. L'intervenant a, par ailleurs, appelé l'Union africaine (UA) et l'ONU à assumer leur responsabilité et œuvrer pour une "solution urgente" à la question du Sahara Occidental. Il a également exhorté les grandes puissances dans le monde à exercer des pressions sur le Maroc pour qu'il "permette à Aminatou Haider de retourner chez elle et procéder immédiatement à la libération de tous les détenus politiques sahraouis". D'autres intervenants ont salué le combat du peuple sahraoui, dénoncé la répression marocaine et appelé l'ensemble de la communauté internationale au soutien de ce peuple qui lutte pour son autodétermination. Cette conférence sera sanctionnée par la déclaration d'Alger des élus locaux du monde en faveur de la cause du peuple sahraoui.