Le secrétaire général du Parti de la liberté et de la justice (PLJ), Mohamed Saïd s'est dit non concerné par les propos tenus jeudi, en marge des travaux de l'APN, par le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni. Pour le premier responsable du PLJ, «toute administration publique sérieuse chargée de la gestion des affaires publiques informe les citoyens par des écrits et non par des déclarations orales», rappelant que le dossier du PLJ déposé le 19 mai dernier auprès de la direction générale des libertés publiques et des affaires juridiques «est complet» et ne souffre d'«aucun manque» de l'avis même des services compétents qui le jugent «bien ficelé». En conséquence, dans le communiqué de presse transmis à notre rédaction, le «PLJ ne se considère nullement concerné par les propos du ministre», exprimant la détermination «de ses fondateurs à poursuivre leur lutte pacifique pour arracher leur droit constitutionnel à participer à la vie politique par des voies démocratiques et pacifiques dans le cadre du respect de la constitution et des lois en vigueur». Le secrétaire général du Parti de la liberté et de la justice (PLJ), Mohamed Saïd s'est dit non concerné par les propos tenus jeudi, en marge des travaux de l'APN, par le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni. Pour le premier responsable du PLJ, «toute administration publique sérieuse chargée de la gestion des affaires publiques informe les citoyens par des écrits et non par des déclarations orales», rappelant que le dossier du PLJ déposé le 19 mai dernier auprès de la direction générale des libertés publiques et des affaires juridiques «est complet» et ne souffre d'«aucun manque» de l'avis même des services compétents qui le jugent «bien ficelé». En conséquence, dans le communiqué de presse transmis à notre rédaction, le «PLJ ne se considère nullement concerné par les propos du ministre», exprimant la détermination «de ses fondateurs à poursuivre leur lutte pacifique pour arracher leur droit constitutionnel à participer à la vie politique par des voies démocratiques et pacifiques dans le cadre du respect de la constitution et des lois en vigueur».