Les interventions de nombreuses personnalités de divers horizons, parlementaires, Prix Nobel et des institutions internationales, la présidence de l'Union européenne, n'ont pas fait fléchir la position du gouvernement du roi du Maroc Mohamed VI. Les interventions de nombreuses personnalités de divers horizons, parlementaires, Prix Nobel et des institutions internationales, la présidence de l'Union européenne, n'ont pas fait fléchir la position du gouvernement du roi du Maroc Mohamed VI. Le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, a appelé la reine d'Angleterre, Elizabeth II, à intervenir auprès du roi du Maroc Mohamed VI, pour aider au retour de l'activiste sahraouie des droits de l'Homme, Aminatou Haïder, à El Ayoune. Dans son message adressé à la souveraine de la couronne britannique, rapporté, hier, par l'Agence Sahraouie de presse, le président Mohamed Abdelaziz rappelle que «l'épreuve de l'activiste Haïder n'est qu'une partie de l'épreuve collective que vivent les Sahraouis sous l'occupation illégale de leur pays par le Maroc depuis 1975», incitant la reine Elizabeth II à «user de son pouvoir politique, culturel et spirituel pour faire pression sur le Maroc et l'amener à respecter les droits de l'Homme fondamentaux au Sahara Occidental y compris le droit à l'autodétermination en vue de parvenir à une solution définitive de cette question, conformément à la légalité internationale et aux résolutions de l'ONU». La militante sahraouie des droits de l'Homme, en grève de la faim depuis près de quatre semaines à l'aéroport de Lanzarote (Canaries), soulève de vives inquiétudes de par le monde. Son état de santé se dégrade au fil des jours alors que les autorités font la sourde oreille en l'empêchant de retourner dans sa ville El Ayoune occupée, pour rejoindre sa famille et ses enfants. Les interventions de nombreuses personnalités de divers horizons, parlementaires, Prix Nobel et des institutions internationales, la présidence de l'Union européenne, n'ont pas fait fléchir la position du gouvernement du roi du Maroc Mohamed VI qui campe sur son attitude qui fait courir un grand risque à la Ghandi sahraouie. Le chef du gouvernement espagnol qui insiste pour que le Maroc fasse un geste envers la militante sahraoui, pas plus que la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton qui a exprimé sa vive inquiétude devant la détérioration de l'état de santé de Mme Haïder, n'ont eu d'échos auprès des autorités marocaines. Pire, ces mêmes autorités s'entêtent et usant de subterfuges, dégagent toutes responsabilités et accusent les autres de machination ou de complot ourdi contre le royaume. Face à l'intransigeance affichée par le Maroc pour trouver une solution à cette situation, le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz s'est vu contraint d'appeler à l'autorité morale que représente le pape Benoît XVI pour redoubler d'efforts à même d'infléchir le gouvernement marocain. La situation de la militante sahraouie des droits de l'Homme, Aminatou Haider, a été au menu de la rencontre, hier à Washington, entre la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton et le ministre espagnol des Affaires étrangères, Miguel Angel Moratinos, selon un porte-parole du gouvernement espagnol qui précise que cette rencontre, prévue depuis près de deux mois déjà, sera l'occasion d'examiner plusieurs questions, à la veille de la présidence espagnole de l'UE à partir du 1er janvier 2010. "Mais les circonstances ont obligé à inclure à l'ordre du jour le cas de Haider", selon un porte-parole du gouvernement espagnol. Un tel chamboulement de l'ordre du jour de cette rencontre renseigne sur l'importance qu'accordent à cette affaire les milieux diplomatiques internationaux qui souhaitent la régler le plus tôt possible. Le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, a appelé la reine d'Angleterre, Elizabeth II, à intervenir auprès du roi du Maroc Mohamed VI, pour aider au retour de l'activiste sahraouie des droits de l'Homme, Aminatou Haïder, à El Ayoune. Dans son message adressé à la souveraine de la couronne britannique, rapporté, hier, par l'Agence Sahraouie de presse, le président Mohamed Abdelaziz rappelle que «l'épreuve de l'activiste Haïder n'est qu'une partie de l'épreuve collective que vivent les Sahraouis sous l'occupation illégale de leur pays par le Maroc depuis 1975», incitant la reine Elizabeth II à «user de son pouvoir politique, culturel et spirituel pour faire pression sur le Maroc et l'amener à respecter les droits de l'Homme fondamentaux au Sahara Occidental y compris le droit à l'autodétermination en vue de parvenir à une solution définitive de cette question, conformément à la légalité internationale et aux résolutions de l'ONU». La militante sahraouie des droits de l'Homme, en grève de la faim depuis près de quatre semaines à l'aéroport de Lanzarote (Canaries), soulève de vives inquiétudes de par le monde. Son état de santé se dégrade au fil des jours alors que les autorités font la sourde oreille en l'empêchant de retourner dans sa ville El Ayoune occupée, pour rejoindre sa famille et ses enfants. Les interventions de nombreuses personnalités de divers horizons, parlementaires, Prix Nobel et des institutions internationales, la présidence de l'Union européenne, n'ont pas fait fléchir la position du gouvernement du roi du Maroc Mohamed VI qui campe sur son attitude qui fait courir un grand risque à la Ghandi sahraouie. Le chef du gouvernement espagnol qui insiste pour que le Maroc fasse un geste envers la militante sahraoui, pas plus que la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton qui a exprimé sa vive inquiétude devant la détérioration de l'état de santé de Mme Haïder, n'ont eu d'échos auprès des autorités marocaines. Pire, ces mêmes autorités s'entêtent et usant de subterfuges, dégagent toutes responsabilités et accusent les autres de machination ou de complot ourdi contre le royaume. Face à l'intransigeance affichée par le Maroc pour trouver une solution à cette situation, le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz s'est vu contraint d'appeler à l'autorité morale que représente le pape Benoît XVI pour redoubler d'efforts à même d'infléchir le gouvernement marocain. La situation de la militante sahraouie des droits de l'Homme, Aminatou Haider, a été au menu de la rencontre, hier à Washington, entre la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton et le ministre espagnol des Affaires étrangères, Miguel Angel Moratinos, selon un porte-parole du gouvernement espagnol qui précise que cette rencontre, prévue depuis près de deux mois déjà, sera l'occasion d'examiner plusieurs questions, à la veille de la présidence espagnole de l'UE à partir du 1er janvier 2010. "Mais les circonstances ont obligé à inclure à l'ordre du jour le cas de Haider", selon un porte-parole du gouvernement espagnol. Un tel chamboulement de l'ordre du jour de cette rencontre renseigne sur l'importance qu'accordent à cette affaire les milieux diplomatiques internationaux qui souhaitent la régler le plus tôt possible.