Dans une déclaration au Midi Libre, le ministre sahraoui des Territoires occupés, Khalil Sid M'hamed, fait part de la joie et la grande satisfaction dans les villes sahraouies, entre autres dans les territoires occupés, après l'annonce, jeudi soir, par les médias espagnols, du "retour d'Aminatou Haïder chez elle à Al Ayoun occupée". "Elle a été et est toujours gardée sous surveillance constante par son médecin" , a-t-il indiqué. Interrogé sur son état de santé, le ministre fera savoir que "c'est à peine si elle peut dire un mot et elle n'arrive pas encore à manger, mais elle pourra désormais se rétablir progressivement". Les rues et quartiers de la capitale sahraouie, Al Ayoun occupée, se sont vues débordées par la population locale sortie manifester sa joie, après l'annonce de sa libération, a expliqué le ministre. Et d'ajouter que "sa famille est certes débordée, mais très heureuse de voir Aminatou revenir chez-elle'. La joie, souligne notre interlocuteur, n'est pas propre à Al Ayoun seulement, mais aussi aux Sahraouis dans les camps de réfugiés de Tindouf, ainsi qu'à la diaspora établie à l'étranger. D'ailleurs, a-t-il fait savoir, "plusieurs meetings ont eu lieu dans différentes places du monde, notamment en France, en Espagne, pour afficher leur satisfaction. La libération de la militante sahraouie n'a fait que confirmer la justesse des valeurs de la lutte pacifique du peuple sahraoui", a-t-il ajouté. Laquelle lutte pacifique, poursuit-il, "a encore une fois été confirmée par la militante". C'est là, a-t-il fait savoir, "une leçon de lutte pacifique que Aminatou a donnée non seulement au pouvoir colonial marocain mais aussi à la communauté internationale". Depuis jeudi soir, tardivement dans la nuit, la population, ne pouvant contenir sa joie, les policiers marocains, a-t-il déclaré, ont de suite réprimé les manifestations bien que pacifiques. La situation, hormis quelques escarmouches entre policiers marocains et civils sahraoui, a été, selon M. Khalil, maîtrisée par le collectif des militants sahraouis sur les lieux, qui veille, entre autres, à la sécurité d'Aminatou et celle de sa famille. Dans une déclaration au Midi Libre, le ministre sahraoui des Territoires occupés, Khalil Sid M'hamed, fait part de la joie et la grande satisfaction dans les villes sahraouies, entre autres dans les territoires occupés, après l'annonce, jeudi soir, par les médias espagnols, du "retour d'Aminatou Haïder chez elle à Al Ayoun occupée". "Elle a été et est toujours gardée sous surveillance constante par son médecin" , a-t-il indiqué. Interrogé sur son état de santé, le ministre fera savoir que "c'est à peine si elle peut dire un mot et elle n'arrive pas encore à manger, mais elle pourra désormais se rétablir progressivement". Les rues et quartiers de la capitale sahraouie, Al Ayoun occupée, se sont vues débordées par la population locale sortie manifester sa joie, après l'annonce de sa libération, a expliqué le ministre. Et d'ajouter que "sa famille est certes débordée, mais très heureuse de voir Aminatou revenir chez-elle'. La joie, souligne notre interlocuteur, n'est pas propre à Al Ayoun seulement, mais aussi aux Sahraouis dans les camps de réfugiés de Tindouf, ainsi qu'à la diaspora établie à l'étranger. D'ailleurs, a-t-il fait savoir, "plusieurs meetings ont eu lieu dans différentes places du monde, notamment en France, en Espagne, pour afficher leur satisfaction. La libération de la militante sahraouie n'a fait que confirmer la justesse des valeurs de la lutte pacifique du peuple sahraoui", a-t-il ajouté. Laquelle lutte pacifique, poursuit-il, "a encore une fois été confirmée par la militante". C'est là, a-t-il fait savoir, "une leçon de lutte pacifique que Aminatou a donnée non seulement au pouvoir colonial marocain mais aussi à la communauté internationale". Depuis jeudi soir, tardivement dans la nuit, la population, ne pouvant contenir sa joie, les policiers marocains, a-t-il déclaré, ont de suite réprimé les manifestations bien que pacifiques. La situation, hormis quelques escarmouches entre policiers marocains et civils sahraoui, a été, selon M. Khalil, maîtrisée par le collectif des militants sahraouis sur les lieux, qui veille, entre autres, à la sécurité d'Aminatou et celle de sa famille.