Les cours du pétrole progressaient, mercredi en début d'échanges européens, dans l'attente de la publication des stocks hebdomadaires de pétrole aux Etats-Unis. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février, gagnait 18 cents à 73,64 dollars. A New York, le baril de "brut léger texan" (WTI), prenait 33 cents à 74,73 dollars.Après la publication mardi d'un repli plus important que prévu des stocks évalués par l'association américaine des industriels du pétrole (API), les investisseurs tournent leur attention vers le rapport hebdomadaire du DoE pour obtenir une indication plus précise sur l'état des stocks et de la demande aux Etats-Unis. Les stocks de brut auraient reculé de 1,1 million de barils la semaine dernière. Ils s'attendent également à une baisse des stocks de distillats (diesel et fioul de chauffage), de 1,6 million de barils. En revanche, une progression des stocks d'essence, d'1,1 million de barils, est anticipée. La semaine dernière, ces statistiques avaient montré une chute des stocks, ce qui avait provoqué une hausse des prix du brut. L'état de la consommation qui s'affiche toujours en baisse sur un an malgré une base de comparaison faible, préoccupe toujours. Le marché pétrolier américain souffre, en plus, du niveau élevé des réserves en Amérique du Nord. Les prix du pétrole tiraient profit également d'une vague de froid aux Etats-Unis et sur l'Europe, ce qui devrait renforcer la demande de produits distillés (dont le fioul de chauffage), actuellement en berne aux Etats-Unis. Les cours du pétrole progressaient, mercredi en début d'échanges européens, dans l'attente de la publication des stocks hebdomadaires de pétrole aux Etats-Unis. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février, gagnait 18 cents à 73,64 dollars. A New York, le baril de "brut léger texan" (WTI), prenait 33 cents à 74,73 dollars.Après la publication mardi d'un repli plus important que prévu des stocks évalués par l'association américaine des industriels du pétrole (API), les investisseurs tournent leur attention vers le rapport hebdomadaire du DoE pour obtenir une indication plus précise sur l'état des stocks et de la demande aux Etats-Unis. Les stocks de brut auraient reculé de 1,1 million de barils la semaine dernière. Ils s'attendent également à une baisse des stocks de distillats (diesel et fioul de chauffage), de 1,6 million de barils. En revanche, une progression des stocks d'essence, d'1,1 million de barils, est anticipée. La semaine dernière, ces statistiques avaient montré une chute des stocks, ce qui avait provoqué une hausse des prix du brut. L'état de la consommation qui s'affiche toujours en baisse sur un an malgré une base de comparaison faible, préoccupe toujours. Le marché pétrolier américain souffre, en plus, du niveau élevé des réserves en Amérique du Nord. Les prix du pétrole tiraient profit également d'une vague de froid aux Etats-Unis et sur l'Europe, ce qui devrait renforcer la demande de produits distillés (dont le fioul de chauffage), actuellement en berne aux Etats-Unis.