L'opération relative au renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation aura lieu demain. Le mandat de six ans de la moitié des membres de la chambre haute est donc arrivé à son terme. L'opération relative au renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation aura lieu demain. Le mandat de six ans de la moitié des membres de la chambre haute est donc arrivé à son terme. En effet, 48 membres du Conseil de la nation, élus par les membres des assemblées locales (APC et APW), sont concernés par cette opération électorale. Le président de la république, qui a la prérogative constitutionnelle de nommer 1/3 des membres du Conseil de la nation, soit 48 sénateurs sur un nombre total de 144, aura, de son coté, à designer 24 sénateurs qui feront partie du tiers présidentiel. Sur un nombre total de 56 sénateurs qui sont affiliés au FLN, 24 sont concernés par l'opération de renouvellement partiel puisque leurs mandats sont arrivés à échéance et vont devoir mettre leurs sièges en jeu. Le RND n'est pas en reste puisque, sur 30 sénateurs actuellement en poste, 18 sont en fin de mandat alors que le MSP, qui dispose de 11 siéges actuellement, va devoir batailler dur pour garder les siéges de 8 sénateurs en fin de mandat. En tout donc 72 siéges seront à pourvoir lors de cette opération et ce, conformément aux dispositions de la loi fondamentale. L'article 102 de la constitution stipule, que «… Le mandat du conseil de la nation est fixé à six (6) ans. La composition du Conseil de la nation est renouvelable pour moitié tous les trois (3) ans.». Cette élection, qui aura lieu au suffrage secret et indirect parmi et par les membres des assemblées populaires communales (APC) et assemblées populaire de wilayas (APW), revêt un cachet particulier puisque les partis politiques, notamment les poids lourds de la scène nationale, vont s'affronter dans l'objectif de consolider leurs positions au Conseil de la nation. C'est le cas notamment du RND et du FLN qui detiennnet déjà le plus grand nombre de siéges à la chambre haute, qui se sont livrés une sourde bataille pour avoir le soutien des élus d'autres partis politiques. Ces deux partis, qui craignent la déperdition des voix, ont également tout fait pour imposer la discipline à leurs troupes. Mais dans cette élection, de nombreux paramètres entrent en ligne de compte. Ce sont d'abord, ainsi, les alliances locales qui seront déterminantes et pèseront de tout leur poids dans le choix des futurs sénateurs. Les états majors des partis politiques n'ignorent pas que la donne locale, avec tous ses pesanteurs, déterminera dans une large mesure les résultats et c'est sans doute pourquoi ils ont laissé toute latitude aux appareils locaux pour agir en conséquence. Cette élection focalise de nouveau l'attention sur cette institution qui, depuis sa création à la faveur de la loi fondamentale de 1996, n'a cessé de susciter des positions contradictoires et d'aucuns se sont même interrogés sur son utilité. Et dans ce contexte, des voix, et non des moindres , à l'exemple de celle de Abdelaziz Belkhadem, se sont prononcés en faveur d'un large lifting de cette institution constitutionnelle. Il faut dire que le Conseil de la nation a été institué dans une conjoncture marquée par les incertitudes sur le plan politique et les concepteurs de la loi fondamentale, édifiés par l'expérience de la victoire du parti dissout lors des législatives avortées de décembre 1991, ont doté cette institution du pouvoir de «bloquer» les lois adoptés par l'APN mais l'ont privé du droit à l'élaboration des lois contrairement à la chambre basse. Rappelons que l'article 115 de la constitution stipule que le président du Sénat «est élu après chaque renouvellement partiel de la composition du Conseil». Abdelkader Bensalah, qui assume la présidence du Conseil depuis janvier 2007, sera certainement reconduit dans sa fonction. En effet, 48 membres du Conseil de la nation, élus par les membres des assemblées locales (APC et APW), sont concernés par cette opération électorale. Le président de la république, qui a la prérogative constitutionnelle de nommer 1/3 des membres du Conseil de la nation, soit 48 sénateurs sur un nombre total de 144, aura, de son coté, à designer 24 sénateurs qui feront partie du tiers présidentiel. Sur un nombre total de 56 sénateurs qui sont affiliés au FLN, 24 sont concernés par l'opération de renouvellement partiel puisque leurs mandats sont arrivés à échéance et vont devoir mettre leurs sièges en jeu. Le RND n'est pas en reste puisque, sur 30 sénateurs actuellement en poste, 18 sont en fin de mandat alors que le MSP, qui dispose de 11 siéges actuellement, va devoir batailler dur pour garder les siéges de 8 sénateurs en fin de mandat. En tout donc 72 siéges seront à pourvoir lors de cette opération et ce, conformément aux dispositions de la loi fondamentale. L'article 102 de la constitution stipule, que «… Le mandat du conseil de la nation est fixé à six (6) ans. La composition du Conseil de la nation est renouvelable pour moitié tous les trois (3) ans.». Cette élection, qui aura lieu au suffrage secret et indirect parmi et par les membres des assemblées populaires communales (APC) et assemblées populaire de wilayas (APW), revêt un cachet particulier puisque les partis politiques, notamment les poids lourds de la scène nationale, vont s'affronter dans l'objectif de consolider leurs positions au Conseil de la nation. C'est le cas notamment du RND et du FLN qui detiennnet déjà le plus grand nombre de siéges à la chambre haute, qui se sont livrés une sourde bataille pour avoir le soutien des élus d'autres partis politiques. Ces deux partis, qui craignent la déperdition des voix, ont également tout fait pour imposer la discipline à leurs troupes. Mais dans cette élection, de nombreux paramètres entrent en ligne de compte. Ce sont d'abord, ainsi, les alliances locales qui seront déterminantes et pèseront de tout leur poids dans le choix des futurs sénateurs. Les états majors des partis politiques n'ignorent pas que la donne locale, avec tous ses pesanteurs, déterminera dans une large mesure les résultats et c'est sans doute pourquoi ils ont laissé toute latitude aux appareils locaux pour agir en conséquence. Cette élection focalise de nouveau l'attention sur cette institution qui, depuis sa création à la faveur de la loi fondamentale de 1996, n'a cessé de susciter des positions contradictoires et d'aucuns se sont même interrogés sur son utilité. Et dans ce contexte, des voix, et non des moindres , à l'exemple de celle de Abdelaziz Belkhadem, se sont prononcés en faveur d'un large lifting de cette institution constitutionnelle. Il faut dire que le Conseil de la nation a été institué dans une conjoncture marquée par les incertitudes sur le plan politique et les concepteurs de la loi fondamentale, édifiés par l'expérience de la victoire du parti dissout lors des législatives avortées de décembre 1991, ont doté cette institution du pouvoir de «bloquer» les lois adoptés par l'APN mais l'ont privé du droit à l'élaboration des lois contrairement à la chambre basse. Rappelons que l'article 115 de la constitution stipule que le président du Sénat «est élu après chaque renouvellement partiel de la composition du Conseil». Abdelkader Bensalah, qui assume la présidence du Conseil depuis janvier 2007, sera certainement reconduit dans sa fonction.