Le Festival culturel national annuel du film amazigh (FCNAFA) sera l'hôte de la capitale du Djurdjura, Tizi-Ouzou, du 15 au 20 mars 2010. Mais en réalité il deviendra son hôte permanent puisqu'il abandonne, cette année, son caractère de «transhumance» pour se fixer définitivement dans cette ville. La participation est ouverte à tous les cinéastes algériens et étrangers ayant en commun la thématique définie par la ligne artistique du festival. Un comité de sélection a été installé par le commissariat du FCNAFA pour procéder à la sélection des films élligibles à la compétition officielle et ce, conformément au règlement intérieur du festival. Le dernier délai pour les inscriptions est fixé au mardi 5 janvier 2010. Le Festival culturel national annuel du film amazigh (FCNAFA) sera l'hôte de la capitale du Djurdjura, Tizi-Ouzou, du 15 au 20 mars 2010. Mais en réalité il deviendra son hôte permanent puisqu'il abandonne, cette année, son caractère de «transhumance» pour se fixer définitivement dans cette ville. La participation est ouverte à tous les cinéastes algériens et étrangers ayant en commun la thématique définie par la ligne artistique du festival. Un comité de sélection a été installé par le commissariat du FCNAFA pour procéder à la sélection des films élligibles à la compétition officielle et ce, conformément au règlement intérieur du festival. Le dernier délai pour les inscriptions est fixé au mardi 5 janvier 2010. Pour participer au concours, deux conditions sont exigées : avoir moins de 35 ans et proposer un scénario, de 3 à 5 pages maximum, dactylographié en tamazight, en arabe ou en français. Envoyer ledit scénario accompagné du bulletin d‘inscription à l‘adresse du siège du commissariat du Festival soit : Siège Bibliothèque nationale d‘Algérie, BP 127-El Hamma, Alger. Seul le commissariat du festival est habilité à accepter ou à refuser les films proposés. Un jury constitué de personnalités et de professionnels du cinéma décernera l‘Olivier d‘or pour chaque catégorie : long et court métrages, fiction, documentaire et animation. Sur les six postulants sélectionnés, deux seront primés. Les résultats seront proclamés lors de la cérémonie de clôture du festival prévue pour le 20 mars 2010. Un spot publicitaire sera diffusé quelques jours avant l‘ouverture du festival. Selon le commissaire du festival Hachemi Assad, le spot passera sur les chaînes de la Télévision algérienne, ainsi que sur les chaînes RBTV et Beur TV. Le spot, d‘une durée de 90 secondes, tend surtout à promouvoir l‘évènement afin de lui assurer l‘audience la plus large possible. La vocation première du festival est de sélectionner et de faire connaître les meilleurs films d‘expression amazighe. Les films sélectionnés sont sous-titrés en d‘autres langues afin de permettre au plus grand nombre d‘y accéder. Le festival, organisé chaque année, est également une occasion pour découvrir des œuvres inédites ou rares. Le tri se fait sur une série d‘œuvres cinématographiques récentes et de films peu diffusées. En d‘autres termes ce festival permet de faire le point sur les réalisations de l‘année, tout en se basant sur des critères artistiques, sociologiques, historiques et identitaires. Il se fait un devoir de respecter la diversité culturelle et linguistique propre à l‘œuvre en Algérie. Son identité s‘affirme à travers l‘expression amazighe dans ses différentes variantes linguistiques articulés sur leurs socles culturels respectifs. Pour rappel le FCNAFA sera, à partir de cette année, fixé à Tizi-Ouzou après une phase d‘itinérance qui l‘avait contraint, chaque année, à faire escale dans l‘une des villes du pays, le but étant de faire bénéficier le festival de la disponibilité d‘infrastructures cinématographiques et culturelles, là où elles se trouvent, et en même temps, par le moyen du son et de l‘image, contribuer à la réhabilitation de l‘amazighité à travers le territoire national. Pour participer au concours, deux conditions sont exigées : avoir moins de 35 ans et proposer un scénario, de 3 à 5 pages maximum, dactylographié en tamazight, en arabe ou en français. Envoyer ledit scénario accompagné du bulletin d‘inscription à l‘adresse du siège du commissariat du Festival soit : Siège Bibliothèque nationale d‘Algérie, BP 127-El Hamma, Alger. Seul le commissariat du festival est habilité à accepter ou à refuser les films proposés. Un jury constitué de personnalités et de professionnels du cinéma décernera l‘Olivier d‘or pour chaque catégorie : long et court métrages, fiction, documentaire et animation. Sur les six postulants sélectionnés, deux seront primés. Les résultats seront proclamés lors de la cérémonie de clôture du festival prévue pour le 20 mars 2010. Un spot publicitaire sera diffusé quelques jours avant l‘ouverture du festival. Selon le commissaire du festival Hachemi Assad, le spot passera sur les chaînes de la Télévision algérienne, ainsi que sur les chaînes RBTV et Beur TV. Le spot, d‘une durée de 90 secondes, tend surtout à promouvoir l‘évènement afin de lui assurer l‘audience la plus large possible. La vocation première du festival est de sélectionner et de faire connaître les meilleurs films d‘expression amazighe. Les films sélectionnés sont sous-titrés en d‘autres langues afin de permettre au plus grand nombre d‘y accéder. Le festival, organisé chaque année, est également une occasion pour découvrir des œuvres inédites ou rares. Le tri se fait sur une série d‘œuvres cinématographiques récentes et de films peu diffusées. En d‘autres termes ce festival permet de faire le point sur les réalisations de l‘année, tout en se basant sur des critères artistiques, sociologiques, historiques et identitaires. Il se fait un devoir de respecter la diversité culturelle et linguistique propre à l‘œuvre en Algérie. Son identité s‘affirme à travers l‘expression amazighe dans ses différentes variantes linguistiques articulés sur leurs socles culturels respectifs. Pour rappel le FCNAFA sera, à partir de cette année, fixé à Tizi-Ouzou après une phase d‘itinérance qui l‘avait contraint, chaque année, à faire escale dans l‘une des villes du pays, le but étant de faire bénéficier le festival de la disponibilité d‘infrastructures cinématographiques et culturelles, là où elles se trouvent, et en même temps, par le moyen du son et de l‘image, contribuer à la réhabilitation de l‘amazighité à travers le territoire national.