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YERUSALEM ET AL-QODS SONT EN GUERRE
Publié dans Le Quotidien d'Algérie le 23 - 08 - 2014


1-LE NOM D'UNE VILLE SAINTE
Al-Qods l'orientale nommée Jérusalem l'occidentale. Jérusalem est ce nom le plus communément utilisé dans la Bible, et c'est aussi le nom le plus largement répandu dans la communauté juive, et le plus largement utilisé dans le monde occidental. La seule et unique ville au monde à travers l'histoire qui a eu plusieurs noms de baptême ; c'est bien la ville d'Al-Qods.
Elle a été baptisée: « Ur-Shalem, Al-Madina,Ur-Shalem, Jébus, Aélia Capitolina, et bien d'autres noms ....
Les Hébreux désignaient la ville par le vocable « Yerusalem », les Grecs et les Romains l'appelaient « Hierosolima ». L'Occident, quant à lui et à ce jour, opta pour le nom de « Jérusalem ».
Avec l'avènement de l'Islam, Al-Qods a eu diverses appellations dont Beit Al-Maqdis, Beit Al-Qods, Al-Qods Al-Charif, Al Madina Al-Moqaddasa (la Ville Sainte) et Ilyâ' (Aélia) et bien d'autres noms cités dans le saint Coran (le mont des oliviers).
Certains historiens nous expliquent que « Yerusalem » veut dire « Cité de la Paix » ou plus particulièrement « Terre de la Paix », d'autres lui attribuent un sens allusif pour mieux justifier la paix par la justice « la Ville de la Justice » ou « la Ville de la Vérité… ».
2-JERUSALEM –AL QODS UNE CITE MILLENAIRE
Al Qods située au cœur du moyen orient, réceptacle du berceau des trois grandes religions monothéistes. Elle est appelée singulièrement ville sainte .Cette forteresse possédant un passé historique, bouleversant et mouvementé , riche de plusieurs milliers d'années d' histoires .Al Qods , est aujourd'hui sous le joug colonial d'Israël, elle offre aujourd'hui un visage fulminant.
Cette cité millénaire recèle à ce jour des vestiges archéologiques prouvant son ancienneté dans l'histoire. El Qods est une cité signalée dans les écritures bien avant J-C.
3-VILLE SAINTE DU JUDAISME-DU CHRISTIANISME ET DE L' ISLAM
1-Pour le Judaïsme en tant que religion monothéiste la cité est sacrée et ce depuis plus de 3000 ans, la ville d'El Qods était sous le règne du Roi David. Aujourd'hui, les juifs viennent se recueillir au Mur des Lamentation qui représente pour eux le vestige du temple de Sidna Souleymane.
*Le Premier temple ou Temple de Salomon a été construit, d'après la Bible, par le roi Salomon X ieme siècle av –J-C entièrement détruit par le roi de l'empire Babylonien ( Nabuchodonosor en 587 av. J.-C. * voir –Wikipedia-)
*Le deuxième Temple fut construit au retour de la captivité des Juifs à Babylone, vers 536 av. J.-C. terminé en 515 av. J.-C.
4-VILLE SAINTE DU CHRISTIANISME
Pour les chrétiens et d'd'après leur bible, c'est dans ce temple de Jérusalem que le semblant de Jésus aurait été crucifié.
Jérusalem est une cité sainte aussi pour le christianisme, sous les croisades prés d'un siècle, Jérusalem était la capitale du royaume latin.
5-VILLE SAINTE DE L'ISLAM
Pour les musulmans Al- Qods est aussi une ville sainte de l'islam, c'est de cette cité que le prophète Mohamed (QLSSSL) avait fait le voyage nocturne sourate XVII « (Gloire et pureté qui de nuit, fit voyager Son serviteur « Mohammed » de la Mosquée Al-Haram à la Mosquée Al-Aqsa dont nous avons béni l'alentour, afin de lui faire voir certaines de Nos merveilles. C'est lui, vraiment qui est l'Audient ,le Clairvoyant) ».
Al-Qods fut conquise en 638 par les musulmans sous le règne d'Omar Ibn Khatab, sans effusion de sang.
L'armée musulmane sous le commandement de Amr Ibn Al-As atteignit Al-Qods et assiégea la ville. En 638, l'évêque Sophronius d'origine arabe était le patriarche de Jérusalem. Les chrétiens de Jérusalem ont alors décidé de se rendre aux forces du calife Omar Ibn El Khattab.
Par ailleurs, l'évêque Sophronius avait demandé que les clefs de la ville soient remises aux musulmans sans résistance au calife Omar. Sur l'avis d'Ali qu' Omar alla à Jérusalem pour accepter et valider l'armistice chrétienne.
Lorsque Omar entra dans Jérusalem, il s'est dirigé vers le site d'Al-Aqsa et le rocher d'où le Prophète Muhammad (QLSSSSL) est monté pour Mi'raj.
le Dôme du Rocher n'avait pas encore été construit à cette époque . L'évêque Sophronius amena Omar au site (connu par les Juifs comme le Mont du Temple. sous la domination chrétienne, les Juifs n'avaient pas le droit d'adorer ou même d'entrer dans Jérusalem et le site d'Al-Aqsa (Mont du Temple) n'avait aucune signification religieuse particulière pour les chrétiens.
Il a également découvert que la mosquée Al-Aqsa avait été détruite par les Romains. En voyant l'état du site d'Al-Aqsa (Mont du Temple), Omar a dit:
« Allah (Dieu) est grand, je jure par celui qui détient mon âme dans sa main qu'il s'agit de la mosquée de David, que le prophète d'Allah nous avait décrit après son voyage nocturne».
Omar a également clôturé la roche et plus tard, un souverain omeyyade construisit le Dôme du Rocher, sur le site d'Al-Aqsa (le site où se trouvent le Dôme du Rocher et la mosquée Al-Aqsa.) .
A Jérusalem, le calife Omar a été amené à l'Eglise du Saint Sépulcre et l'évêque lui a permis de faire la prière à l' intérieur de l'église . Omar a refusé de prier à l'intérieur de l'église. Il préféra prier à l'extérieur de l'église et une mosquée fut construite plus tard en son nom (la mosquée est appelée la Mosquée d'Omar). Cette mosquée est actuellement située en face de la cour sud de l'église.
Ce fut une transition pacifique et tous les lieux saints des chrétiens ont été laissées intactes. Le calife Omar signa un traité avec Sophronius et, les chrétiens ont le droit de vivre dans la ville. Le traité signé par Omar était intitulé comme suit :
« Du serviteur d'Allah et Commandeur des croyants, Omar : « la sécurité des personnes et des biens est garantie pour les habitants de Jérusalem. Leurs églises et les croix doivent aussi être sécurisées. Ce traité s'applique à tous les habitants de la ville. Leurs lieux de culte doivent rester intacts. Ceux-ci ne seront ni repris, ni démolis. Les gens sont tout à fait libres de suivre leur religion. Ils ne doivent être affectés à aucune difficulté » … »
Les Juifs n'étaient pas autorisés à vivre à l'intérieur de la ville Avant la conquête musulmane de Jérusalem. Le souverain chrétien avait demandé au calife Omar que les Juifs ne doivent pas être autorisés à vivre à Jérusalem.
Plus tard les musulmans assouplirent les règles et les Juifs eurent l'autorisation d'entrer dans la ville et de s'installer avec le reste de la population.
Le calife Omar a également assuré le dirigeant chrétien que les chrétiens ont leurs pleins droits en vertu de la règle musulmane et qu'ils ne seraient pas lésés en aucune façon. Ils bénéficient d'une protection complète spécifiquement basée sur les lois islamiques. Les dirigeants musulmans qui suivaient le calife Omar comprirent la noblesse de Jérusalem dans le cœur des juifs et des chrétiens, et donc les trois religions ont commencé à pratiquer leurs croyances librement et paisiblement à Jérusalem une règle qui ne durera pas pour longtemps (suite des croisades du moyen âge).
C'est la troisième ville sainte pour les musulmans après la Mecque et la Médine. El Qods est un haut lieu pour les musulmans, ils viennent pour le pèlerinage pour prier à la mosquée Al Aqsa , visité le dôme du rocher et aussi la mosquée Al Aqsa.
6-GUERRE OU PAIX
Les trois religions monothéistes devront en principe religieux cohabiter paisiblement entre elles dans ce lieu de culte et selon le principe et le sens profond de la sourate.109 (Al-Kafiroun les infidèles) c'est-à-dire même les non croyants ont leur place dans la cité.
Mise à part la religion, les intérêts matérielles priment autant, c'est une ville attirant les visiteurs, les religieux ou autres du monde entier, pèlerins, visiteurs et touristes font que les affaires marchent à merveille, c'est une source intarissable de fortune donc source de conflits.
7-AL-QODS COLONISEE PAR YERUSALEM
Aujourd'hui Al Qods est une ville occupée par Israël , elle est considérée par le droit international comme une terre sous occupation sur laquelle s'applique la loi de l'occupation ( convention de la Haye en 1907 concernant la guerre terrestre et maritime ainsi que les règlements de la 4ieme convention de Genève ( 1949) qui incrimine tout changement des aspects du territoire occupé, mais aussi elle oblige les responsables de l' occupation de préserver la répartition géographique et démographique. Chose qui n'a pas été respecté à ce jour.
Une panoplie de résolutions onusiennes pour la préservation de la ville sainte ont vu le jour à savoir
*252 de 1968 :* 242 de 1967 :*338 de 1973 :*267 de 1969 :*271 de 1969 :*453 de 1979 :*465 et 476 et 478 de 1980 :*1073 de 1996 ( voir ci-dessous l'intitulé)
8-LA JUDAISATION D'AL QODS
Les résolutions de 1979 et 19 80ont bien souligné que toutes les mesures de judaïsation d'Al Qods et les travaux modificateurs entrepris par Israël sont nulles et non avenues conformément au droit international. Israël a depuis sa création transgressé le droit en judaïsant El Qods, elle a bien proclamé Al Qods comme capitale éternelle d'Israël, le conseil de sécurité dans sa résolution suivante 478 qui confirme cette transgression du droit international reste à la hauteur de cette encre écrit sur papier pas plus.
Pendant plus de 60ans les sionistes ont tout fait, sans jamais raté une occasion pour réaliser leurs objectifs expansionnistes de leur rêve du grand Israël. Pour eux c'est un credo de changer les aspects de la ville sainte et même de la Palestine tout en éliminant l'identité arabe, historique et religieuse de la ville Al Qods. Les moyens utilisés par l'autorité occupante pour la judaïsation sont :
*Une colonisation à outrance.
*La confiscation de milliers d'ha de terre sur lesquelles les colonies ont été bâties.
* La menace réelle d'élimination d'agglomération de population palestinienne.
*L'expulsion des palestiniens.
*L'isolement de la ville Al Qods de sa banlieue et de son tissu palestinien que se soit au sud ou bien au nord d'Al Qods.
* D'autres effets négatifs tels la peur, les agressions et les diverses injustices.
*L'application de nouvelles lois prônant la judaïsation.
La désunion et l'inimitié des pays arabes et musulmans face aux desseins sionistes et la négligence pour ne pas dire la complicité de la communauté internationale sont les facteurs de base qui ont poussé Israël à défié le droit et instauré sa propre politique en toute impunité.
Par ailleurs les sionistes cherchent également à changer les aspects et l' identité et même l' histoire culturelle de la Palestine , la baptisassions des quartiers, des rues et boulevards de la ville, les travaux d'excavation du dessous de la mosquée d'Al Aqsa ( prétexte de recherche du temple de Souleymane afin de détruire la mosquée), entrainant des modifications contraires au droit international( protection du patrimoine culturel et des propriétés culturelles lors des conflits armés) ; portant un grand préjudice pouvant mener des dégâts considérables au patrimoine de la ville sainte et la plus grande déprédation reste la guerre arabo-israélienne ; musulmane-israélienne et palestino-israélienne – .
Devant cette situation, Israël est en train de détruire des biens, change volontairement les aspects de la région, pratique l'expulsion imposée, chasse tout ce qui est palestinien, Israël au mépris de tout le monde mène une épuration ethnique à Al Qods . Cette action est défini comme un crime par la règle internationale et les actes utilisés à ce jour dans toute la Palestine sont des crimes de guerre et de crimes contre l'humanité que ce monde est en train de ne pas voir.
9-VILLE SAINTE DE PAIX DE JUSTICE ET DE VERITE ?
Jérusalem est la « Cité de Dieu ». Shalem est connu dans les textes mythologiques antiques comme étant – avec Shahar- un Dieu beau et généreux dont le nom suggère la sérénité du crépuscule. Elle est également la « Cité de la Paix » ou « Terre de la Paix », d'autres lui confèrent « la Ville de la Justice » ou « la Ville de la Vérité… ». Malheureusement la réalité étant l'affligeante, acrimonieuse, triste et pénible une terre arrosée de sang humain, une terre ou l'injustice chasse la paix. Le politique, le religieux, le droit, l'humain ne regardent pas de la même vision le sens de la justice.
Car pour Israël :
* Le droit d'exister et lui signifier un sens pour leur vie.
et les Palestiniens :
*le droit pour mourir, et lui donner un sens pour leur mort ;
Telle est l'équation que cette fausse humanité qui est en train de la codifier.
Yérusalem doit être la vie pour les colons et Al Qods doit être la mort pour les colonisés.
L'injustice ne peut faire bon ménage avec la justice, la pauvreté avec la richesse, la paix avec la guerre, Yérusalem avec AlQods?
L'humanité n'a plus d'avenir devant Israël qui dispose la force et la puissance militaire et commet en toute impunité avec la complicité de l'occident des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité et ignorer les droits fondamentaux d'un peuple. Le droit et la justice sont en guerre entre la loi de la force et la force de la loi
BENALLAL MOHAMED
Quelques résolutions du Conseil de sécurité
Résolution 242 (22 novembre 1967). Le Conseil de sécurité condamne l'« acquisition de territoire par la guerre » et demande le « retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés ». Il affirme « l'inviolabilité territoriale et l'indépendance politique » de chaque Etat de la région.
Résolution 250 (27 avril 1968). Israël est invité à ne pas organiser le défilé militaire prévu à Jérusalem le 2 mai 1968 considérant que cela aggraverait les « tensions dans la région ».
Résolution 251 (2 mai 1968). Le Conseil de sécurité déplore la tenue du défilé militaire de Jérusalem « au mépris » de la résolution 250.
Résolution 252 (21 mai 1968). Le Conseil de sécurité déclare « non valides » les mesures prises par Israël, y compris l'« expropriation de terres et de biens immobiliers », qui visent à « modifier le statut de Jérusalem », et demande à celui-ci de s'abstenir de prendre de telles mesures.
Résolution 267 (3 juillet 1969). Le Conseil de sécurité censure « toutes les mesures prises [par Israël] pour modifier le statut de Jérusalem ».
Résolution 446 (22 mars 1979). Le Conseil de sécurité exige l'arrêt des « pratiques israéliennes visant à établir des colonies de peuplement dans les territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés depuis 1967 », déclare que ces pratiques « n'ont aucune validité en droit » et demande à Israël de respecter la convention de Genève relative à la protection des personnes civiles en temps de guerre.
Résolution 468 (8 mai 1980). Le Conseil de sécurité déclare « illégales » les expulsions à l'étranger de notables palestiniens de Hébron et de Halhoul par les autorités militaires israéliennes et demande à Israël de les annuler.
Résolution 592 (8 décembre 1986). Le Conseil de sécurité rappelle que la convention de Genève relative à la protection des civils en temps de guerre « est applicable aux territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés par Israël depuis 1967 ». Il condamne « l'armée israélienne qui, ayant ouvert le feu, a tué ou blessé des étudiants » de l'université Bir Zeit.
Résolution 605 (22 décembre 1987). Après le déclenchement de la première Intifada, le Conseil de sécurité condamne les pratiques d'Israël « qui violent les droits de l'homme du peuple palestinien dans les territoires occupés, en particulier le fait que l'armée israélienne a ouvert le feu, tuant ou blessant des civils palestiniens ».
Résolution 607 (5 janvier 1988). Israël doit « s'abstenir d'expulser des civils palestiniens des territoires occupés » et respecter les obligations que lui impose la convention de Genève.
Résolution 608 (14 janvier 1988). Le Conseil de sécurité demande à Israël « d'annuler l'ordre d'expulsion des civils palestiniens et d'assurer le retour immédiat et en toute sécurité » de tous ceux déjà expulsés.
Résolution 636 (6 juillet 1989). Le Conseil de sécurité demande à Israël, en conformité avec ses précédentes résolutions et avec la convention de Genève, de « cesser immédiatement d'expulser d'autres civils palestiniens » et d'assurer le retour en toute sécurité de ceux déjà expulsés.
Résolution 641 (30 août 1989). Le Conseil de sécurité « déplore qu'Israël, puissance occupante, continue d'expulser des civils palestiniens » et lui demande d'assurer le retour de tous les expulsés.
Résolution 672 (12 octobre 1990). Après les violences de l'esplanade des Mosquées – le mont du Temple, le Conseil de sécurité condamne « les actes de violence commis par les forces de sécurité israéliennes » à Al-Haram Al-Charif et dans d'autres lieux saints de Jérusalem et demande à Israël de « s'acquitter scrupuleusement des obligations juridiques et des responsabilités qui lui incombent » vis-à-vis des civils des territoires occupés.
Résolution 673 (24 octobre 1990). Le Conseil de sécurité condamne le refus d'Israël d'appliquer la résolution 672.
Résolution 681 (20 décembre 1990). Israël est sommé d'appliquer la convention de Genève.
Résolution 694 (24 mai 1991). Le Conseil de sécurité déclare que l'expulsion de quatre nouveaux civils palestiniens en mai 1991 par les forces israéliennes constitue une violation de la convention de Genève.
Résolution 799 (18 décembre 1992). Le Conseil de sécurité condamne les quatre cents expulsions de décembre 1992, soulignant qu'elle est contraire aux obligations internationales imposées à Israël par la convention de Genève. Le Conseil réaffirme l'indépendance et l'intégrité territoriale du Liban.
Résolution 904 (18 mars 1994). A la suite du massacre de la mosquée de Hébron, le Conseil de sécurité demande à Israël de prendre les mesures nécessaires « afin de prévenir des actes de violence illégaux de la part des colons israéliens » envers les civils palestiniens.
Résolution 1322 (7 octobre 2000). A la suite du début de la seconde Intifada, le Conseil de sécurité déplore les violences et condamne le « recours à la force excessif contre les Palestiniens ». Il demande à Israël de respecter ses obligations relatives à la convention de Genève.
Résolution 1397 (12 mars 2002). Le Conseil de sécurité demande la « cessation immédiate de tous les actes de violence, y compris tous les actes de terreur et toutes provocations, incitations et destructions », et réclame la coopération des Israéliens et des Palestiniens visant à la reprise des négociations.
Résolution 1402 (30 mars 2002). Après la réoccupation totale de la Cisjordanie, le Conseil de sécurité demande un cessez-le-feu immédiat et le « retrait des troupes israéliennes des villes palestiniennes ».
Résolution 1405 (19 avril 2002). Le Conseil de sécurité déclare qu'« il est urgent que les organismes médicaux et humanitaires aient accès à la population civile palestinienne ».
Résolution 1544 (19 mai 2004). Le Conseil de sécurité demande qu'Israël respecte « les obligations que lui impose le droit humanitaire international » et « l'obligation qui lui est faite de ne pas se livrer aux destructions d'habitations ».


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