in www.elhouria.com le 13 septembre 2015 Toufik a visiblement démissionné de lui-même. Le général Hassan est visiblement lui clairement impliqué dans l'attaque de Tigantourin, selon les enquêtes sérieuses des « services » étrangers concernés par ce site gazier et par les victimes de l'assaut donné par les forces de sécurité algériennes. ... ET ..Le régime en place continue à fonctionner comme avant sans que fondamentalement rien ne change pour lui , il reste juste à remplacer l'autre façade qu'est la présidence de la république et le tour est joué. Le consensus est là aussi tout trouvé très visiblement. Mais nous ne tarderons pas à le savoir bien sûr. Les vautours tournent autour de tout ça, sous la forme de gangs mafieux (militaro-mafieux) avec de lourdes influences dans les centres de décision. La rente de l'Etat étant la seule motivation qui fait courir tout ce beau monde. Le régime se rééquilibre de l'intérieur donc, visiblement sous la pression de ses maîtres étrangers. En parallèle , il y'a le peuple qui vit sur une autre planète où il fait encore plus chaud que dans le Club des Pins. La vie quotidienne du peuple est de plus en plus difficile, impossible et le sera encore plus très bientôt puisque le « gouvernement » n'a plus le choix que de revenir sur les solutions rendues possibles jusqu'ici grâce au prix des hydrocarbures. Les transferts sociaux vont tarir et avec cela finira la fausse « paix sociale ». Les citoyens suivent de loin la mascarade boulitique orchestrée par les gens d'en haut et ils finiront très bientôt dans la rue si leur quotidien s'aggrave encore plus qu'il ne l'est maintenant. Le peuple est donc dans un Oued, et le régime est dans un autre Oued. Deux logiques et deux parcours incompatibles et annonciateurs de la suite des événements. En réalité le peuple a besoin de véritables solutions à de vrais problèmes. Le problème politique de légitimité du régime en place étant la mère de toutes les difficultés vécues. Des solutions politiques existent, et notre cher pays mérite de se retrouver sorti de la face sombre de son histoire. Mais ceci est encore une autre histoire. Samir B.