Entre : –Les périls s'accumulant au fils des jours, si ce n'est des… heures, souvent créés pour brouiller les cartes quand elles existent, et enfoncer encore davantage l'Algérie dans les incertitudes synonymes du destin lui ayant été « choisi » depuis l'événement des coups d'Etat, juste au moment où les territoires ont été libérés; –L'atypisme d'un Système aux circonstances diverses ayant joué sa longévité contemporainement historique –Le fonctionnariat politique d'activistes d'une « opposition » ayant donné au pouvoir les occasions, c'est vrai, d'être laminée, les attentistes, les embusqués, les joueurs de rôles… –Les porteurs de « projets » médiévaux et autres apprentis-gouverneurs… L'Algérie est orpheline de projet politique pour le changement démocratique. Ses chances d'accéder à la Citoyenneté et à la Dignité pour lesquelles de bien des pionniers du combat de la cause suprême des Liberté et des Droits se sont sacrifiés, s'amenuisent de jours en jours. Le sort de l'Algérie est EXCLUSIVEMENT, maintenant, entre les mains de ceux qui se règlent les comptes au sommet, prenant ceci pour de la pratique politique, à nos yeux, jamais aussi ébahis. Avec la consultation et la satisfaction des desideratas d'au moins deux Capitales. AHLIL. C'est que pour le premier concerné, le Peuple, tout a été réfléchi, pensé, mis en place,… pour qu'il soit spectateur, même pas assidu, donc ignoré, d'autant plus que le pays est en voie de privatisation pour qui « de droit ». C'est qu'aussi la classe politique a succombé aux difficultés de s'opposer, de présenter et d'actionner dans le cadre d'un projet politique, non pas commun, car c'est trop demander, mais sur un minimum requis, tellement le narcissisme des uns, additionné à la recherche de la rentre des autres, en passant par ‘l'intellectualisme », l'inconscience… sont passés par là. Dans les discours où les constats infinis repassent en boucle et à haute voix, les hypothétiques perspectives politiques sont à peine audibles mais aussi dénuées de détails, et donc … somnifères. Oui, l'Algérie est orpheline de ses baroudeurs politiques, de projet porteur, même avec le temps… !! C'est qu'il semble que l'éponge est jetée. Définitivement. Mais la Société regorge de projets, oui, comme elle regorge de voix de détresse appelant à être prise en charge et acquérir sa dignité et sa citoyenneté : La Démocratie. C'est qu'il faut, à travers ces voix éparses, refonder l'opposition, et présenter ce projet. Thura, immédiatement..! Car le salut vient de la pratique politique engagée, sincère… Non pas des manœuvres en tous lieux et… étages, telles que nous le constatons et assistons passivement. Le spectacle est délirant. Il se joue de l'Algérie.