Ratage impardonnable de la saillie d'Ould-Abbès traitant le compère Benyounès d'aghyoul et en tamazight dans le texte, langue nationale et officielle. Comment cette caractérisation asinienne a-t-elle pu échapper à un fan d'Apulée et à un lecteur compulsif de L'âne d'or ? Mystère de la Création ! Je ne sais pas si l'âne a embarqué dans l'arche de Noë, mais dans le nouveau naufrage qui s'annonce, Ould-Abbès fait bien de nommer l'espèce pour la sauver. Allez, tout le monde à bord, en route pour la cinquième escale ! A. T. [email protected]