D'un côté, la totalité des médecins d'un hôpital algérien ont décidé de démissionner collectivement en réponse à la rigueur de l'administration à répondre à leurs revendications. Aucune administration au monde ne prendrait le risque de compromettre le fonctionnement d'un hôpital où sont soignés des milliers de citoyens. De l'autre, le docteur Ould-Abbès, praticien en chef au FLN, qui ne trouve pas d'emploi à la hauteur de ses compétences. Peut-être qu'il pourrait, comme ça, remplacer les médecins qui ont décidé de partir ? A. T. [email protected]