Le plan d�action culturelle 2010, savamment �labor� par l�Association des activit�s de jeunes de la Maison de jeunes d�Azazga pr�sid�e par un b�n�vole comptant vingt cinq ann�es de pratique culturelle et pr�voyant une gamme d�activit�s aussi riches que vari�es touchant aussi � la science, ne semble pas trouver gr�ce aupr�s de la structure des jeunes de la localit� cens�e s�en inspirer et s�en servir pour maintenir le cap de l�animation et de l�activit� dans cette ville aux potentialit�s juv�niles certaines. C�est ce que soutiennent, d�pit�s, le pr�sident et le secr�taire g�n�ral de cette association qui se sont pr�sent�s � notre r�daction dans l�espoir de faire revenir � de meilleurs sentiments la direction de l��tablissement qu�on a tent� de joindre vainement. Les b�n�voles qui d�noncent �l�absence de toute activit� culturelle au sein de l��tablissement�, dont les responsables n��taient pas l� au moment de notre visite en milieu de journ�e de lundi pour avoir leur version et qui se r�sume, selon eux, en un travail avec les femmes dans le cadre des cours d�analphab�tisation, affirment contenir difficilement la col�re des usagers de la maison de jeunes sevr�s, d�apr�s eux d�activit�s au point o� ils n�ont m�me pas pu voir la rencontre JSK-Ahly du Caire sur �cran g�ant. Des jeunes qui n'ont pas manqu� de faire part de leurs pr�occupations devant cette situation. Le plan d�action culturelle de l�AAJ de la Maison jeunes d�Azazga, dont, font-ils remarquer, seule une activit� concernant une exposition sur la JSK et JSA a �t� tol�r�e en mai dernier, comporte des activit�s de loisirs, des comm�morations, des semaines d�information, des caravanes culturelles et scientifiques, des journ�es portes ouvertes, des c�l�brations de journ�es nationales et internationales, des conf�rences sur la sant�, des visites aux enfants hospitalis�s� Les op�rations programm�es ciblent une population de 550 jeunes d�apr�s le plan d�action qui nous a �t� remis par les b�n�voles. Ces derniers esp�rent que leur appel sera entendu d�autant plus qu�ils soutiennent que la DJS et l�ODEJ de Tizi- Ouzou ont favorablement accueilli l�initiative juv�nile, dont les auteurs rappellent avoir �t� les premiers � lancer l�id�e des �crans g�ants citant en exemple la finale de Coupe du monde France-Br�sil en 1998.