En 1962, beaucoup se considéraient volontiers comme «une génération sacrifiée» pour la bonne cause, à savoir «un avenir radieux» pour leurs enfants et toutes les futures générations. Mais cet «avenir radieux» ne cesse d'être reporté aux calendes grecques, arabes, chinoises, indiennes, etc. Sauf aux calendes romaines. A la fin, cela ressemble à l'histoire du barbier qui avait écrit sur une pancarte à l'entrée de son commerce : «Demain, on rase gratis !» K. B. [email protected]