Au terme d�une longue action de mouvements tous azimuts, en direction des pouvoirs publics, des entrepreneurs �tablis au niveau du chef-lieu et qui sont en butte � d�inextricables entraves au niveau de la direction de l�hydraulique de Souk-Ahras, la Conf�d�ration alg�rienne du patronat (CAP) vient de transmettre au wali une correspondance dont une copie nous a �t� transmise. Les auteurs de cette missive �num�rent les d�passements. A titre d�exemple, ils citent le projet de la r�novation du r�seau d�AEP de la ville de Souk-Ahras et d�noncent la tergiversation du directeur de l�hydraulique qui, selon la lettre, retarde les entrepreneurs �tablis � Souk-Ahras. Il pr�parerait un cahier des charges exigeant la qualification 6, selon eux. �Cette condition sine qua non est cousue de fil blanc dans le seul but de les �carter�, �crivent les contestataires. Dans la m�me correspondance, il est mentionn� la participation des entreprises ayant r�sili� les op�rations de 2007 et 2008. La CAP de Souk-Ahras demande qu�une enqu�te soit ouverte sur cette affaire. Pour de plus amples informations, nous avons contact�, par t�l�phone, le directeur de l�hydraulique qui a refus� tout commentaire � ce sujet. Barour Yacine La police judiciaire enqu�te sur le LSP � l�OPGI La police judiciaire relevant de la S�ret� de wilaya de Souk- Ahras vient, selon une source s�re, d�ouvrir une enqu�te sur les 79 logements sociaux participatif (2e tranche) au chef-lieu de la wilaya de Souk-Ahras. Des souscripteurs � cette formule, s��tant, pourtant, acquitt�s de leur quote-part, se sont vu �cart�s de la liste des b�n�ficiaires. D�apr�s notre source, l�enqu�te men�e sur plusieurs param�tres concernant le LSP. Les enqu�teurs s�int�ressent de pr�s aux modalit�s de validation des dossiers des postulants � cette formule. L�on apprend par ailleurs que la police judiciaire du 1er arrondissement qui �pluche depuis quelques jours ce dossier vient d�auditionner quatre fonctionnaires de l�OPGI de Souk-Ahras et un groupe de souscripteurs au LSP.