Suite � votre article intitul� �Les Chinois ne respectent pas la l�gislation du travail � Boumedfa� �, paru dans votre �dition du 6 mars 2011, nous, entreprise CCECC, usons de notre droit de r�ponse et vous prions de l�ins�rer dans votre journal, conform�ment � la r�glementation en vigueur. Tout d�abord, nous apportons un d�menti formel et cat�gorique aux affirmations de votre journaliste M. Karim O. et regrettons qu�il n�ait pas pris la peine de se renseigner pr�alablement aupr�s de notre direction du projet pour �tayer ces dires. Deux inspecteurs du travail de la circonscription administrative de Khemis-Miliana se sont rendus au niveau de la base-vie de Boumedfa� pour v�rifier les propos tenus soi-disant par certains travailleurs, et il s�en est suivi une r�union tenue au si�ge de notre direction de projet situ�e � Hoceinia pour contr�ler la v�racit� de ses propos. Un proc�s verbal de r�union a �t� �tabli � l�issue de cette r�union. Il s�av�re ind�niablement que notre entreprise respecte scrupuleusement la l�gislation alg�rienne de travail, notamment en mati�re de prise en charge de l�assurance o� il a �t� constat� que tous les travailleurs sont assur�s aupr�s de la Cnas et qu�ils sont tous d�clar�s aupr�s de cette caisse. Les fiches de paie sont disponibles aupr�s de notre service administratif et elles sont remises aux personnes qui les r�clament. Les contrats de travail sont �tablis conform�ment � la r�glementation en vigueur et sont d�pos�s au niveau des dossiers des int�ress�s. Pr�alablement, les offres d�emploi sont d�pos�es aupr�s de l�Agence nationale de l�emploi de la main-d��uvre qui proc�de � l�envoi des candidatures qui sont examin�es par nos soins sur la base de nos besoins et des qualifications requises. Les heures suppl�mentaires sont pay�es aux travailleurs ayant droit � ces indemnit�s, conform�ment � la l�gislation en vigueur, ainsi que les primes de transport et de panier qui sont int�gr�es dans leur salaire. Les inspections effectu�es au niveau de la base-vie de Boumedfa� et � Hoceinia corroborent nos affirmations. Nous regrettons sinc�rement que les propos de votre journaliste sont bas�s uniquement sur des oui-dire infond�s et qu�il n�ait pas pris la peine de faire des investigations pour les propos qu�il a tenus.