Par Kader Bakou L�homme nous a �t� pr�sent� par un confr�re rencontr� � la place Abdelkader Alloula la veille de la cl�ture du Festival du th��tre professionnel. Il est responsable au niveau d�une structure culturelle publique qui n�a rien � voir avec le 4e art. Mais il parle du th��tre avec passion. �Les diff�rentes formes d�expression th��trale sont le r�sultat du d�veloppement, dans tous les domaines, observ�s dans les soci�t�s o� elles sont n�es. En Alg�rie, nous n�avons pas encore atteint ce d�veloppement. Pour cette raison, je pense que pour le moment, on devrait privil�gier les formes th��trales constructives avec des messages �ducatifs�, nous dira-t-il � un certain moment. Notre confr�re lui fait remarquer que Abdelkader Alloula et d�autres l�ont fait avec le th��tre alg�rien de la halqa. L�homme lui r�pond que l�espace de la halqa est ouvert (la place publique, la rue) et que dans un espace clos (salle), il est comme un poisson hors de l�eau. Pour lui, cette forme de halqa n�est pas typiquement alg�rienne parce que nos dramaturges, � l��poque, avaient opt� pour un discours brechtien. Sans transition, la discussion est pass�e � la commedia dell�arte puis au th��tre exp�rimental. Mais au fait, les th��tres de la halqa et de la commedia dell�arte n�ont-ils pas beaucoup de choses en commun? K. B.