Dans la journ�e du mercredi 21 juin, la cour criminelle de Sidi-Bel- Abb�s a jug� le d�nomm� B. B. �g� de 46 ans, accus� d�homicide volontaire avec pr�m�ditation sur la personne de son �pouse de 43 ans, m�re de deux enfants et un h�te D. A. �g� de 45 ans. La gen�se de cette affaire remonte au 2 octobre 2010, lorsque, selon la lecture de l�arr�t de renvoi, l�accus� demeurant � Douar Mhada dans la localit� de Belarbi (Sidi-Bel-Abb�s), a invit� apr�s la pri�re du vendredi, deux amis, en l�occurrence la victime et une autre personne, � venir partager chez lui un plat de couscous. Apr�s avoir install� ses invit�s dans le salon, il appela sa femme lui ordonnant de p�n�trer dans la pi�ce. L��poux s��tait saisi d�un fusil pour abattre son �pouse et son ami. Il sera d�sarm� par le second invit� qui donnera l�alerte. Le forcen� n�opposera aucune r�sistance lors de son arrestation. Lors de son proc�s, il dira n�avoir pas eu l�intention de tuer. �C�est dans un exc�s de folie que j�ai commis le meurtre, car j�avais des soup�ons quant � la fid�lit� de ma femme qui �tait chez ses parents apr�s une querelle et elle venait de r�int�grer le domicile conjugal. J�ai dout� de cette amiti� de 30 ans car mon ami (la victime, ndlr) ne cessait de me questionner sur l�atmosph�re conjugale apr�s le retour de mon �pouse au foyer.� Les parents de l�accus� et son voisinage ont d�crit la d�funte comme �tant une bonne �pouse, m�re et bru sans histoires. Apr�s un r�quisitoire � la hauteur de l�homicide volontaire commis, l�avocat du minist�re public n�a accord� aucune circonstance att�nuante � l�accus� et demandera la peine maximale, � savoir la peine capitale. Apr�s les d�lib�rations, le mis en cause est condamn� � la peine capitale. A. M. Ouverture d�une enqu�te apr�s le d�c�s d�un homme par �lectrocution Un homme de 47 ans est mort lundi dernier des suites d�une �lectrocution apr�s son admission au CHU de Sidi-Bel-Abb�s. La victime, r�sidant dans la localit� de Sidi Ali Boussidi (SBA), proc�dait � des travaux de construction en son domicile lorsque son pied a touch� un fil de fer suspendu au fil conducteur MT (moyenne tension) du r�seau �lectrique de la SDO (Soci�t� de distribution de l��lectricit� et gaz) de Sidi-Bel-Abb�s. Br�l�e au 3e degr�, il a �t� �vacu� � la polyclinique de la localit� avant son transfert au CHU o� il a rendu l��me. Une enqu�te a �t� ouverte pour d�terminer les circonstances de ce drame et les responsabilit�s de la d�livrance du permis de construire dans des sites travers�s par le r�seau �lectrique, sachant que la SDO n�a cess� de rappeler l�interdiction de construire dans cet endroit.