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FLN : D�CLARATION DU MOUVEMENT DU REDRESSEMENT ET DE L'AUTHENTICIT�
Les dix r�ponses � Belkhadem
Publié dans Le Soir d'Algérie le 15 - 08 - 2011

Au cours de la derni�re session extraordinaire du comit� central du FLN, M. Abdelaziz Belkhadem n'a pas h�sit� � s'attaquer au Mouvement du redressement et de l'authenticit� qui a refus�, malgr� son insistance, d'assister aux travaux de la session, d�jouant ainsi la man�uvre qu'il a planifi�e et mettant en �chec son objectif, � savoir discr�diter publiquement le mouvement.
Le refus de participer est d�, tout simplement, � des raisons connues de tous depuis la d�claration g�n�rale du mouvement en date du 29/01/2011, d�claration que nous consid�rons comme notre document de r�f�rence pour son analyse compl�te et pr�cise de la crise multiple dont souffre le parti et pour les propositions concr�tes faites pour la surmonter avec les �tapes et les modalit�s devant conduire notre formation politique � la terre ferme. Cependant, depuis cette �poque, les choses n'ont pas �volu�. La situation s'est aggrav�e et les contestations se sont multipli�es n'�pargnant ni kasmas ni mouhafadhas en d�bouchant souvent sur des actes de violence et des affrontements, avec des bless�s dans les h�pitaux et l'intervention des forces de l'ordre pour �teindre les feux de la discorde, chose que, malheureusement, M. Belkhadem qualifie, et � maintes reprises, de �signes de bonne sant� du parti�, comme si la d�gradation de l'�tat de sant� d'un corps prouve son r�tablissement ! Ce comportement, qui n'est plus �tranger � l'homme, prouve, si besoin est, l'absence de r�elle volont� � affronter la situation et son incapacit� � assumer pleinement ses responsabilit�s pour r�soudre la crise, se contentant de ruses, de man�uvres dilatoires et de fuite en avant, en usant d'intox, de menaces et de promesses pour occulter la r�alit�, convaincu que tout cela finira, avec le temps, par r�soudre les probl�mes. Aucun responsable avant lui ne s'est distingu� par un comportement aussi intempestif et irresponsable, des d�clarations improvis�es et hasardeuses, une violation des limites de l'�thique enracin�e dans les textes fondamentaux du FLN qui expriment les aspirations l�gitimes de la population � la libert�, la d�mocratie et la justice sociale. Avant lui, aucun responsable du parti n'a os� qualifier le peuple �d'inapte � l'exercice de la d�mocratie � ou que les autre formations politiques sont �des structures sans �me� bien qu'elles soient �lues par le peuple et officiellement repr�sent�es au sein des institutions de l'Etat ! C'est ainsi que le mouvement, tout en s'appliquant � continuer sa t�che sur le terrain conform�ment � la feuille de route trac�e, ne peut s'emp�cher, malgr� son d�sir de ne pas fermer la porte du dialogue en aggravant la situation, de r�pondre aux attaques et accusations prof�r�es par le secr�taire g�n�ral � son encontre lors de la derni�re session du comit� central.
1- Lorsqu'il dit que �rien ne peut se faire en dehors des structures du parti�, il fait semblant d'oublier que les structures actuelles du parti, notamment au niveau de la direction, vu les anomalies dont elles sont entach�es, ne jouissent pas de la pleine l�gitimit�. Il sait tr�s bien que la composition du comit� central a �t� d�termin�e et d�cid�e par lui, second� par quatre personnes, et ce, en dehors de la commission de candidatures officielle issue du 9e congr�s qui ne s'est point r�unie apr�s son installation et qui n'a eu � �tudier aucun dossier de candidature !
2- Le secr�taire g�n�ral d�clare qu'il a demand� � notre fr�re Salah Goudjil, lors de l'entretien de leur deuxi�me rencontre, la liste des membres contest�s mais que ce dernier n'a pu satisfaire � la demande. Par cette attitude, le secr�taire g�n�ral confirme, encore une fois, sa fuite permanente � assumer ses responsabilit�s ; car le r�le du mouvement se limite � alerter pour ce qui risque d'arriver comme d�passements graves aux statuts du parti, consid�r�s comme d�nominateur commun de tous les militants et les militantes ; tandis que son r�le � lui, en tant que secr�taire g�n�ral, consiste � faire usage des moyens et pr�rogatives que lui conf�rent les m�mes statuts, pour mettre un terme aux d�rapages et pr�munir le parti des d�viations et des d�rives.
3- Selon la presse, il a �t� dit que notre fr�re Salah Goudjil a refus� la proposition du secr�taire g�n�ral de se charger personnellement de la formation d'un groupe de travail qui aura pour mission de se pencher sur la l�gitimit� des membres du comit� central. Cela ne refl�te pas totalement la r�alit� et nous le regrettons, bien que nous savons le peu d'int�r�t que M. Belkhadem accorde aux promesses et engagements qu'il tient dans le cadre de rencontres priv�es et qu'il s'empresse de nier en public. C'est pour cela d'ailleurs que, sciemment, les grandes lignes du dialogue ont fait l'objet d'une correspondance qui lui a �t� d'abord adress�e avant d'�tre publi�e ensuite dans les journaux afin de permettre aux militants et � l'opinion publique d'en prendre connaissance et pour que tout le monde d�couvre son double langage, son revirement et son reniement des promesses tenues en priv�, chose � laquelle nous sommes habitu�s et que nous avons d�j� d�nonc�e auparavant, notamment dans la d�claration g�n�rale du mouvement.
4- Lors de la rencontre, le secr�taire g�n�ral a entendu les revendications du mouvement et ses suggestions pour redresser la situation. Il faut dire, pour �tre honn�te, qu'il �tait a priori d'accord (ou feignait de l'�tre) sur toutes les analyses qui lui ont �t� soumises. Il a donc sugg�r� au fr�re Goudjil de se charger personnellement de la constitution du groupe devant statuer sur la l�gitimit� des membres du comit� central, avis non partag� par le coordinateur du mouvement estimant qu'une telle op�ration doit �tre men�e conjointement avec lui. Toujours pour l'honn�tet�, il y a lieu de souligner que le seul point de divergence s'est rapport� � l'insistance du secr�taire g�n�ral sur la n�cessit� de la participation des membres du redressement � la session du comit� central et le refus du mouvement au motif que cette instance n'est pas encore assainie. En fait, tout ce que voulait M. Belkhadem c'�tait la pr�sence des redresseurs � la session pour les mettre en difficult� et sceller leur sort dans une salle pr�chauff�e et le tour sera jou� ! Il a m�me tent� en vain de convaincre son interlocuteur en lui disant : �Pourquoi refuses-tu d'assister alors que toi et moi nous jouissons de la majorit� au sein du comit� central ?� Cela constitue, en fait, un aveu de sa part que la direction du parti est partag�e entre membres l�gitimes et ill�gitimes !
5- M. Belkhadem sait, en son for int�rieur, que les applaudissements qui accueillent son discours dans une salle qui lui est acquise ne constituent qu'une mise en sc�ne con�ue par des agitateurs de son entourage qui vivent dans les r�veries en voulant transformer le vrai parti par un parti virtuel qui n'a rien � voir avec le FLN qui, lui, ne les reconna�t pas. Il sait, avant de p�n�trer dans la salle, que la majorit� �crasante de l'assistance ne jouit pas de la l�gitimit� de parler au nom des vrais militants qui ne les ont ni �lus ni coopt�s. De plus, il n'ignore pas que la plupart des �applaudisseurs� sont ramen�s du dehors des structures pour accomplir la mission qui leur est fix�e afin que les m�dias voient une salle pleine et transmettent l'image au public avec un commentaire favorable.
6- Le secr�taire g�n�ral reproche au mouvement de ne pas avoir un projet de soci�t� ni un programme politique. Ce reproche n'a pas lieu d'�tre car il sait bien que notre projet et notre programme ne sont autres que le projet et le programme du FLN authentique, comme d�j� affirm� dans notre d�claration principale. Les r�f�rents du mouvement diff�rent des siens puis�s eux dans la doctrine du parti qui dirigeait, avec ses hommes d'affaires v�reux, l'�gypte et inspir�s du slogan du parti au pouvoir soudanais, avec tout notre respect pour les deux peuples fr�res. Notre r�f�rent � nous c'est la d�claration du 1er Novembre et les textes fondamentaux du parti du FLN dont le dernier en date est constitu� par la r�solution approuv�e par le 9e congr�s et intitul�e : �Le parti du FLN et le message de Novembre�. Cette m�me r�solution qui a �t� n�glig�e par lui et qui n'est toujours pas communiqu�e � la base malgr� son importance dans la formation politique et id�ologique destin�e aux militants et militantes !
7- En plus de ce qui a �t� avanc� et contrairement � ses d�clarations destin�es � tromper la famille r�volutionnaire en glorifiant ses actes de bravoure, il a �cart�, � l'occasion du 9e congr�s des moudjahidine et des enfants de chouhada, des membres influents de la direction politique au dernier conseil national, �l�ments connus pour leur int�grit�, comp�tence et d�vouement. (Nous aurons l'occasion de publier ult�rieurement la liste nominative de ces cadres). L'objectif recherch� par cet acte c'est d'exclure les garants de l'identit� du FLN capables d'emp�cher d'attenter � la ligne nationaliste du parti et les remplacer par des gens dont il aura besoin pour la mise en �uvre de sa strat�gie d'avenir qui est d�sormais de notori�t� publique consistant pour lui � n'utiliser le parti que pour se pr�senter en son nom, aux prochaines �lections pr�sidentielles. Quant � l'organisation, le financement et la gestion de la campagne �lectorale ainsi que la mobilisation des �lecteurs potentiels, il compte sur autrui pour le faire. Il �uvre et man�uvre dans ce sens et n'aura plus besoin alors ni du parti ni de ses militants. En parall�le, il vient accuser le mouvement d'�tre manipul� par des mains occultes en vue d'atteindre des objectifs politiques futurs ; faisant ainsi allusion � des personnalit�s nationales de la famille r�volutionnaire, reconnues pour leur militantisme dans le pass� au sein du parti et qui se sont retir�es de la vie politique pour des raisons connues. Il y a lieu de pr�ciser ici, � nouveau, que le mouvement n'a aucune relation, ni de pr�s ni de loin, avec ceux-ci ou avec d'autres. A l'�vocation de personnalit�s nationales, le mouvement exprime ses profonds regrets pour les propos que M. Belkhadem a tenus � l'�gard d'une autre personnalit� nationale, d�c�d�e en martyr du devoir national, � savoir le d�funt Kasdi Merbah ; ce moudjahed victime d'un attentat terroriste alors qu'il se donnait � fond, vu son poids sur la sc�ne nationale, en vue d'arriver � une solution et une r�conciliation entre les antagonistes et obtenir l'instauration de la paix et la s�r�nit� sur tout le territoire de notre cher pays qui en avait imp�rieusement besoin. Non ! M. Belkhadem ! feu Kasdi Merbah n'a pas �chou� comme vous le pr�tendez. L'Alg�rie a retrouv� la paix et la stabilit� gr�ce � son sacrifice et � ceux de sa famille, la petite et la grande, et gr�ce aux sacrifices de ses semblables, les patriotes loyaux. On se demande, par ailleurs, pourquoi citer les morts, qui n'ont pas la capacit� de r�pondre et �viter de citer des personnalit�s �minentes qui avaient eu un r�le important au sein du parti qu'elles ont quitt� pour former d'autres partis politiques et qui sont toujours en vie ?
8- M. Belkhadem accuse le mouvement de vouloir pr�senter pour les prochaines �lections l�gislatives des candidats sur les listes d'autres partis politiques. L'objectif de cette man�uvre c'est de d�stabiliser les rangs du mouvement et semer le doute au sein de ses militants et ses sympathisants. Nous tenons � r�affirmer, comme nous l'avons fait � plusieurs reprises, � son intention et � celle des autres, que la priorit� nous revient dans l'appartenance au parti du FLN. C'est le parti dans lequel nous avons grandi et de son id�ologie nous nous sommes nourris. C'est le parti pour lequel nous avons affront� tous les d�fis et tous les obstacles, et nous lui resterons fid�les � jamais. Nous sommes l'authenticit� et les autres les intrus. Bien que nous sommes fiers de notre formation politique, nous n'oserons jamais pr�tendre, comme lui, que �rien ne se fait dans le pays sans l'aval du FLN�, � croire que nous sommes seuls � ma�triser la sc�ne nationale � l'exclusion de tous les autres et comme si les r�formes politiques � venir ne sont pas de la seule initiative de Monsieur le pr�sident de la R�publique !
9- Au sujet des propositions du parti relatives � ces r�formes pr�cis�ment, le secr�taire g�n�ral a agi d'une mani�re qui semble bizarre, mais en r�alit� elle illustre sa grande capacit� � feinter suivant les buts qu'il s'est fix�s. En effet, il feint de pr�senter une partie des propositions � la commission du pr�sident du Conseil de la nation et garde le reste pour un rendez-vous ult�rieur au motif de �consulter les bases militantes� et �l'obligation de d�terminer la position du comit� central�, vu l'importance des points concern�s relatifs essentiellement � la nature du syst�me de gouvernance et au mandat pr�sidentiel. Le comit� central s'est r�uni � l'occasion de la derni�re session �extraordinaire � sans qu'il y ait des rapports de la base et sans d�battre du sujet. La direction n'a donc pas tranch� sur les propositions restant � faire. Entre-temps, le secr�taire g�n�ral d�cide de statuer seul sur la question et l'affaire est class�e ! C'est l� le genre de �direction coll�giale� que pr�f�re M. Belkhadem !
10- Le secr�taire g�n�ral exprime, � l'occasion ou sans, sa volont� de promouvoir la femme et la jeunesse en leur ouvrant le champ pour briguer les postes de responsabilit� � tous les niveaux. En v�rit�, il tient ce discours juste pour la consommation, tr�s loin de la r�alit�. La preuve en est dans la r�duction flagrante du nombre de femmes au sein de l'actuel comit� central par rapport � ce qu'il �tait dans le dernier conseil national. Quant aux jeunes, on peut en parler sans g�ne. Ils doivent d'abord s'entra�ner � la rh�torique, ou l'art de discourir, ou � d�faut se mobiliser pour encadrer l'op�ration de sondage en vue de conna�tre �les orientations sociologiques des �lecteurs� comme si le FLN, apr�s plus d'un demi-si�cle, d�couvre qu'il ne conna�t pas son peuple !! Par contre, le mouvement revendique, lui, le rajeunissement effectif des cadres du parti en commen�ant par d�terminer et imposer une moyenne d'�ge ne d�passant pas les 40 ans pour les candidats aux futures l�gislatives tout en accordant les m�mes chances � �galit� entre les femmes et les hommes. Conclusion : le mouvement aurait souhait� que le secr�taire g�n�ral s'�l�ve � la hauteur des militants nourris de l'id�ologie du FLN qui porte dans ses replis les germes de la sinc�rit� et de la fid�lit�, rejetant le mensonge et l'escroquerie et bannissant la discorde entre les fr�res. Le mouvement pensait que sa d�marche sinc�re tendant � assainir les rangs du parti sera jug�e � sa juste valeur et sera saisie pour trouver des solutions ad�quates aux divers probl�mes dans lesquels ont �t� impliqu�es les bases militantes qui souffrent quotidiennement, avec les sympathisants, de ce qui est devenu leur formation politique qui, malgr� tous les �l�ments de r�ussite qu'elle d�tient, se d�bat dans une crise voulue qu'alimente une direction qui lui est impos�e. Le rejet par M. Belkhadem des propositions du mouvement porteuses d'un d�but de solutions et de r�formes constitue une erreur qui vient s'ajouter � ses nombreuses erreurs pr�c�dentes qui ont fait du parti du FLN l'objet de moquerie dans certains milieux qui ne sont pas tous forc�ment contre nous. En d�pit de tout cela, le mouvement ne ferme pas d�finitivement les portes du dialogue et renouvelle son appel aux militants et militantes pour faire entendre leurs voix retentissantes sur tout le territoire du pays pour revendiquer l'assainissement des rangs et rendre le parti � ses enfants nourris de son id�ologie et aux masses populaires qui croient toujours en ses principes et sur lequel elles fondent leurs espoirs pour un avenir meilleur. Parall�lement, le Mouvement du redressement et de l'authenticit� s'adresse � toutes les bases militantes et les appelle � la vigilance tout en faisant preuve de s�rieux, d'abn�gation, d'une grande patience et d'une conduite honorable sachant que toutes les causes justes finissent toujours par triompher. Il leur confirme sa d�termination � poursuivre ses d�marches sur tous les plans et � tous les niveaux pour concr�tiser leurs revendications l�gitimes .
Pour le mouvement : le Coordinateur national Salah Goudjil


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