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La v�ritable histoire du drapeau alg�rien
Publié dans Le Soir d'Algérie le 27 - 08 - 2012


Par Ouali A�t Ahmed, ancien officier de l�ALN
Nous savons tous que la part de nos exportations hors hydrocarbures ne repr�sente que 2% de nos recettes en devises, ce qui est lamentablement faible et dangereux � la fois pour notre pays.
Parall�lement, nos importations, en denr�es alimentaires, survolent, de tr�s haut, nos capacit�s de production, que ce soit sur le plan quantitatif que qualitatif. Nous constatons cet �tat de fait en parcourant les plaines et les montagnes, � travers les vastes �tendues de terres non travaill�es, ce qui am�ne, en toute logique, la flamb�e des prix dont la masse en p�tit, d�autant plus que des constructions somptueuses et anarchiques en r�duisent la superficie ! Les sp�cialistes en la mati�re nous le font toucher du doigt, par des statistiques, sans �tat d��me. De tout temps, nous avons toujours tourn� le dos � la mer et ignorons la richesse poissonneuse de ses c�tes jonch�es, par endroits, de constellations de corail de qualit� et de plages paradisiaques. Mais, aujourd�hui, nous y faisons face pour la polluer, voir son corail dilapid� par des �trangers avec une complicit� interne. En outre, nous la scrutons, la main en visi�re, pour voir, � l�horizon lointain, les navires charg�s de victuailles et de friperie. Cette incapacit� g�n�tique de satisfaire nos besoins les plus �l�mentaires par le travail physique et intellectuel est corrobor�e par l�importation de footballeurs outre-M�diterran�e, m�prisant nos talentueux locaux, dans l�espoir d�une qualification en Coupe d�Afrique, menant droit � celle du monde. Encore, faut-il savoir qu�au d�part, d�j�, les d�s �taient pip�s car l�argent corrompt et ne se mesure, d�aucune fa�on au �nif� d�antan. Qu�� cela ne tienne, l�essentiel est de remplir les poches et le compte bancaire. Cela dit, je reviens � l�article de R�mi Yacine, publi� dans le journal El Watan, dans son �dition du jeudi 5 juillet 2012, dans la rubrique �Culture� (p. 22) � l�effet d�informer ses lecteurs du contenu du dernier ouvrage de Mohamed Benchicou intitul� La parfumeuse(et en contrebas �la vie occult�e de Madame Messali�. De but en blanc, il nous annonce la couleur par un titre aussi flamboyant que porteur de contrev�rit�s historiques : �Le drapeau alg�rien avait une m�re�, comme si sa vraie m�re, l�Alg�rie, �ternelle, n�est que sa mar�tre !... loin de rendre justice � Emilie Busquant, la compagne de Messali Hadj, il l�enfonce davantage, car � travers les investigations men�es, il nous fait d�couvrir la personnalit� de celle qu�il veut encenser de tous les parfums pr�curseurs du nationalisme. En fait, cet article fait �cho � celui paru dans le quotidien Le Soir d�Alg�riedu mercredi 16 mai 2012 (pages 10 et 11), intitul� L a Vie occult�e de Madame Messali, sign� de l�auteur de l�ouvrage lui-m�me. Et l�, j�ouvre une parenth�se pour dire que nos g�nes sont profond�ment marqu�s � jamais, dans notre propension � toujours importer tout ce dont nous avons besoin, y compris les concepts et les symboles mat�rialis�s par les couleurs composant notre embl�me national. Il �nonce tout de go que ces couleurs sont un puzzle symbolisant la r�volution fran�aise de 1789, de la Commune de Paris de 1848 et de l�Islam, le tout pens� et r�fl�chi par Emilie Busquant, en 1929 et � Tlemcen apr�s six ans de mariage avec Messali Hadj contract� en 1923. Vous voyez o� va notre tare � ne produire rien, absolument rien, depuis la nuit des temps et � importer tout, y compris nos symboles d�unit� et de rassemblement. Et ce, de la part d�une vendeuse de parfumerie !� m�tier que je respecte autant que je le fais pour les autres �, qui n�avait que vingt-huit ans. Puisqu�on y est, il aurait pu pr�ciser la nature du fil utilis� pour le coudre : n�aurait-il pas �t� r�alis� � l�aide des poils de la barbe de son mari pour sacraliser son produit, avant l�heure d�autant plus que cette derni�re �tait bien fournie, malgr� la vente de chaque poil aux militants � dix douros de l��poque, pour alimenter, dit-on, la caisse du parti ! Avec tout cela, vous refusez de croire � la mission civilisatrice de la France coloniale sans cesse rab�ch�e par la droite fran�aise et la loi du 23 f�vrier 2005 sous Nicolas Sarkozy !... Tr�ve de plaisanterie. Revenons aux choses s�rieuses. Voyons d�abord la date de la conception du drapeau alg�rien. Sa maternit� attribu�e � Emilie Busquant a �t� avanc�e par la mouvance messaliste en esp�rant faire d�une pierre deux coups : se disculper de sa collaboration avec l�administration coloniale, pour l�gitimer les attentats contre les militants FLN/ALN et remettre son chef sur le pi�destal de �za�m� dont il est tomb�, piteusement, en chute libre. Certains la font remonter � 1945 d�abord, puis � 1937 � Paris, cela selon les t�moignages recueillis �� et l�. Lorsque des recoupements la situent � 1934, voil� qu�on baisse d�un cran pour la ramener � nouveau � 1929, et ce � Tlemcen. Ce glissement et ripage chronologiques et g�ographiques se font au gr� des circonstances et climat politique, sans tenir compte de la v�rit� historique. Pour comprendre l��v�nement, nous proc�dons par �limination. Et Radjef Belkacem, qui n��tait pas parmi les fondateurs de l�Etoile nord-africaine, est cat�gorique � ce sujet. La conception de l�embl�me national est exclusivement l��uvre de l�ENA, en 1934, au sein de l�instance ex�cutive conduite par Imache Amar, alors secr�taire g�n�ral de la GENA. (Grande �toile nord-africaine). Donc, ce drapeau est le fruit d�un travail collectif. Et d�un ! De deux : il faudrait le replacer dans son contexte temporel : malgr� le sigle (ENA) qui couvre l�ensemble de l�Afrique du Nord (Tunisie, Alg�rie et Maroc), les repr�sentants des deux autres pays �taient, � la fois, circonspects et quelque peu r�ticents, du fait de la nature diff�rente de l�occupation de leurs pays respectifs et de l�Alg�rie. Pour eux, sous le protectorat fran�ais, la marge de man�uvre �tait plus large que pour les Alg�riens qui �taient sous la coupe directe de la IIIe R�publique fran�aise. Donc, le prix � payer pour la lib�ration ne pouvait �tre compar� � celui qu�attendaient les Alg�riens. Ils oubliaient que les trois peuples �taient soumis au m�me esclavage et � la m�me rapine, � la seule diff�rence que sous le protectorat, la monarchie et le gouvernement autochtone faisaient office de tampon entre les peuples et la puissance occupante, alors que l�exploitation du peuple alg�rien se faisait directement, sans interm�diaire aucun. Les trois pays �taient sur un pied d��galit� dans l�exploitation, le m�pris et le malheur de leurs peuples qui n��taient vus par la France coloniale que sous l�angle d�finitivement construit par Jules Ferry qui consid�rait que dans le monde, la race sup�rieure � la sienne � doit avoir, � ses services, la race inf�rieure � la n�tre � ! Et dire que celui-ci �tait consid�r� comme le pr�curseur de l��cole gratuite pour tous ! La France coloniale a su jouer entre les uns et les autres. L�ardeur du c�t� marocain et tunisien s��moussait et s�adoucissait. Et c��tait dans la saine perspective de fouetter l�orgueil des uns et des autres que les dirigeants de la GENA, sous la direction du secr�taire g�n�ral, Amar Imache, natif d�A�t-Mesbah (ancienne commune mixte de Fort national) s��taient mis s�rieusement � r�fl�chir � un embl�me pouvant unifier les rangs au service de la m�me cause. L�ann�e 1934 a vu la conception d�un embl�me national de l�Etat conf�d�ral de l�Afrique du Nord, � m�me de resserrer les liens entre les trois peuples. Vert-blanc-rouge repr�sentent � la fois la Tunisie (Toun�s El-Khadra), l�Alg�rie (Dzair El- Ba�da) et le Maroc (Morrakech El-Hamra), baignant en leur beau milieu, un croissant et une �toile pouvant rappeler un fond religieux (l�Islam) dans sa tol�rance la plus compl�te, le vert symbolisant la jeunesse et la vigueur le blanc, la libert�, la paix et la puret� et le rouge le prix � payer, en don de sang, si n�cessit� oblige. Et ces caract�ristiques de chacun des trois pays ne sont nullement donn�es d�une fa�on fortuite. Elles d�rivent du syst�me de la rotation de la plan�te Terre sur elle-m�me et autour du soleil. Si on peut repr�senter les trois pays, de l�Est � l�Ouest, par un segment, la boule de feu suit une parabole ayant pour origine la Tunisie (lever du soleil), avec la ros�e du matin qui irrigue, naturellement, herbes, cultures et plantations. A son z�nith, le soleil devient aveuglant et tout blanchit en Alg�rie, � son coucher ses rayons rouge�tres nous viennent de l�Ouest, c�est-�-dire du Maroc. Cela dit, nous devons nous poser des questions pour savoir les raisons pour lesquelles un feu de tout bois est allum� pour falsifier notre histoire r�cente, apr�s avoir enseveli notre histoire antique. Si Mme Emilie Busquant avait cet amour passionn� pour la lib�ration de l�Alg�rie, qu�on veut lui pr�ter, elle aurait exerc� toute son influence sur son mari, Messali Hadj, pour �tre parmi les fondateurs de l�ENA. (Etoile nord-africaine) � d�faut d�en �tre l�initiateur. Or, il n�avait rejoint l�ENA qu�en 1927. Elle l�aurait conseill� de ne jamais �carter les cadres de haute valeur qui l�entouraient, tels Djeffal Akli, Hadj Ali Abdelkader, Si Djilani, Melbouci, Douar ou Imache Amar de l�ENA ou du Dr Lamine Debaghine et des cadres tax�s de �berb�ristes � du PPA/MTLD. Elle lui aurait souffl� de faire sienne la cause nationale du 1er Novembre 1954, au lieu de cr�er son propre MNA (Mouvement national alg�rien), le 14 d�cembre de la m�me ann�e, ce qui a amen� Jacques Soustelle, gouverneur de l�Alg�rie � dire en 1955 qu�il avait �une derni�re carte en main, celle de Messali�. Elle aurait pu le conseiller � donner des instructions � ses fid�les de diriger leurs armes sur l�ennemi commun, au lieu de lutter contre les combattants de l�ALN dans le Djurdjura, � A�t-Yala, � M�sila, � Dar-Chioukh, sous la direction de son lieutenant militaire �le g�n�ral Bellounis� toujours entour� de part et d�autre, des embl�mes alg�rien et fran�ais. Par ailleurs, ses enfants auraient pu assigner, en justice pour diffamation, le g�n�ral Jacquin, chef des services secrets fran�ais, qui traitait Messali Hadj �d�agent des services� et fich� sous le nom de M. L�on dans son ouvrage �dit� en 1977. Quant � la fameuse phrase prononc�e le 2
ao�t 1936, � l�occasion d�un meeting au stade des Anassers : �Cette terre n�est pas � vendre�, apr�s en avoir pris une poign�e, c��tait de la poudre aux yeux, car en langage commercial, on ne vend que ce dont on est propri�taire. Or, en 1936 toute l�Alg�rie, terres et habitants appartenaient � la France coloniale. Mme Emilie Busquant aurait pu lui faire dire �Cette terre est � lib�rer !� Son parcours de 1927 � 1962 a �t� retrac� dans mon article intitul� �Izem d�Mhand it-inghan, ciea-s d�avu Sliman� paru le 27 juin 2010 dans un quotidien de la presse alg�rienne. Nous apprenons � travers le scoop que le corps de Mme Emilie Busquant sera recouvert, lors de son d�c�s, un an avant le recouvrement de la souverainet� nationale, de l�embl�me national. Si les autorit�s fran�aises ont accept� de voir se d�rouler une telle c�r�monie sans r�agir, cela ne pouvait que servir l�avancement de ses pions sur l��chiquier alg�rien. Mettre en relief la personne de Mme Emilie Busquant, c�est s�ent�ter � redorer le blason de Messali Hadj qui ne s�occupait que du culte de sa personnalit�, � mod�rer l�ardeur des militants de la cause nationale pour retarder une insurrection arm�e in�luctable. L�histoire l�a d�finitivement condamn�. La falsification de l�histoire ne sert ni l�Alg�rie, ni son peuple et encore moins ceux qui en sont les initiateurs et les animateurs. Ceux qui, � l�impossible, se sentent tenus, sont appel�s, en r�gion des Zwawas �Iminuda n�thara u�kured� qui veut dire simplement �les chercheurs en circoncision de puce�. Pour ce qui est du combat de la femme alg�rienne, il a �t� h�ro�que et plein de magnificence, qu�elle s�appelle Sekoura, A�ni, Fazia, Chabha, Raymonde, Claudine ou Jacqueline. Son troph�e arrach� de haute lutte, elle le gardera � jamais, malgr� les vicissitudes du moment, car il n�y a de joie et de travail qu�avec les applaudissements des deux mains, sans a priori ni m�pris l�une pour l�autre, et sans que Mme Emilie n�intervienne en quoi que soit. En conclusion, je dirai qu�un Benjamin Stora s�inscrive dans une perspective de r�habilitation de Messali Hadj et par connexion, de critiques acerbes dirig�es contre le FLN/ALN historiques, c�est son droit le plus absolu, malgr� la d�ontologie et l�ombrage qu�il porte � sa qualit� de scientifique, mais que des Alg�riens s�en inscrivent, en satellites happ�s par sa force attractive, pour vendre son produit, en sous-traitants, c�est vouloir effacer, d�un seul trait, tout un pan de notre histoire faite d�h�ro�sme, de sacrifices par les vrais militants de la cause nationale morts ou encore en vie, en uniforme ou en tenue civile. Parler ainsi de la �Parfumeuse�, en apparence, c�est mettre en �vidence �le mis au parfum � pour le r�habiliter et sugg�rer, d�une fa�on insidieuse, que sa politique et sa ligne de conduite auraient �vit� tant de sacrifices et d�horreurs. Cela fait partie d�un sc�nario, mont� par l�ancienne puissance coloniale dont la mise en sc�ne a �t� confi�e � Louis Joxe, ministre de la R�publique qui a tenu � pr�ciser lors de son voyage � Oran, en mars 1961 qu�il �n�gociera avec le MNA (Mouvement national alg�rien) sur le m�me pied d��galit� que le FLN�. Ce qui a amen� le GPRA (Gouvernement provisoire de la r�publique alg�rienne) � se r�unir, le 31 mars, � Tunis, pour faire �chec � la position fran�aise qui devait s�incliner finalement, trois mois apr�s. Le deuxi�me acte du m�me sc�nario se d�roule sous nos yeux, depuis d�j� un certain temps, et avec une offensive tous azimuts en avan�ant les pions susceptibles de nous faire ��chec et m�t� pour effacer de la m�moire collective l��chec sanglant du premier acte, men� de main de ma�tre par le FLN/ALN. Mais �le colonialisme est un mauvais �l�ve�, comme l�a dit le g�n�ral Giap, et le restera toujours, pourrai-je continuer, � moins qu�on le devienne, � notre tour, par notre insouciance et nos vell�it�s � porter un regard sain mais critique sur notre pass�, notre pr�sent et notre avenir. Un regard de citoyen alg�rien, au sens le plus noble du terme, doubl� d�une dimension africaine et d�une envergure universelle. Ainsi, on aiderait l�homme � devenir Homme, dans son existence bisexuelle (homme et femme) !...


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