L�aviation militaire isra�lienne a perp�tr� un v�ritable attentat, dans la nuit de samedi � dimanche 18 novembre 2012 en proc�dant � des bombardements d�lib�r�s et par ailleurs revendiqu�s, de sites abritant des m�dias locaux et internationaux dans la bande de Gaza en Palestine. Cet acte criminel, parmi tant d�autres depuis notamment mercredi dernier, a fait huit bless�s, tous des journalistes palestiniens surpris par un d�luge de feu alors qu�ils accomplissaient leur travail pour le compte de la cha�ne de t�l�vision locale. Le Syndicat national des journalistes, qui souhaite un prompt r�tablissement aux confr�res bless�s, tient � assurer l�ensemble de la corporation ainsi que du peuple palestinien qui vit l�enfer depuis quelques jours sous les regards d�une communaut� internationale extraordinairement passive. Ce v�ritable crime de guerre, que le Syndicat condamne fermement, ne peut laisser indiff�rentes l�ensemble des organisations internationales, les Nations unies en t�te et celles relevant de la soci�t� civile si promptes � r�agir pour beaucoup moins que cela, ailleurs. La libert� d�expression, les droits de l�homme et le droit international en g�n�ral sont universels, ou ne le sont pas. Le crime de guerre, av�r� et assum� en l�esp�ce, ne doit en aucun cas rester impuni. Cela y va de la cr�dibilit� des instances internationales dont rel�ve la responsabilit� de r�primer ce genre de d�lits d�Etat. P/ le Syndicat national des journalistes, le secr�taire g�n�ral, Kamel Amarni