2017 logements locatifs attribu�s en 2012 C�libataires de tous �ges d�sireux de fonder un foyer, jeunes m�nages cohabitant au sein d�une famille nombreuse et voulant �chapper � la promiscuit�, source de nombreux probl�mes, femmes divorc�es ou veuves avec des enfants � charge, tout le monde aspire � un logement. Des dizaines de milliers de demandes s�accumulent au niveau des services administratifs. Aussi, rares ont �t� les jours o� l�affichage des listes n�a pas �t� suivi de contestations parfois virulentes et de rassemblements de protestations mettant en cause la confection de ces listes des b�n�ficiaires devant les diff�rentes da�ras et m�me devant le si�ge de la wilaya. Contestations parfois utiles puisque certaines listes ont �t� gel�es et appel�es � �tre refaites. Il est m�me arriv� que des membres des commissions de distribution ont essuy� des agressions par certains individus qui se sont sentis frustr�s ou l�s�s. Malgr� ces al�as, au cours de l�ann�e 2012, 2017 logements publics locatifs (LPL), des F3 et F4, ont �t� distribu�s en trois tranches � savoir 46 unit�s durant les neuf premiers mois de l�ann�e, 137 durant les mois d�octobre et novembre, et 1 834 unit�s au mois de d�cembre. A Khemis Miliana, une ville qui rec�le de nombreux sites d�habitat pr�caire, une op�ration de recasement en deux tranches a �t� men�e en novembre et d�cembre derniers. Cela a permis de faire b�n�ficier 286 familles du quartier Boutane de logements neufs, des F3 et des F4. Les terrains r�cup�r�s apr�s l��radication du bidonville sont concern�s par un programme d�injection de nouveaux logements. Selon des sources bien inform�es, un autre quartier de Khemis Miliana, la plus grande commune de la wilaya, le quartier Souama� sera lui aussi, tr�s prochainement, concern� par une op�ration similaire de relogement de quelque 40 familles. S�agissant du programme d��radication de l�habitat pr�caire (RPH) dans la wilaya de A�n Defla, 642 logements ont �t� attribu�s durant l�ann�e 2012. Cependant, que repr�sentent ces quotas attribu�s, eu �gard aux dizaines de milliers de postulants dans les 36 communes ? Il faut avouer aussi, malgr� la crise de logement s�v�re qui s�vit, il existe de nombreux logements ferm�s et inoccup�s. Beaucoup d�autres, attribu�s dans le cadre du logement social, finissent dans le march� sp�culatif de la sous-location, parfois � des prix exorbitants. On sait par exemple que le loyer mensuel se situe dans une fourchette allant de 10 000 � 18 000 DA, ce qui saigne � blanc tous ceux qui sont contraints de recourir � la sous-location, car n�ayant pas d�autre choix. Karim O. Radio Tipasa f�te le nouvel an amazigh C�est durant la semaine allant du 11 au 15 janvier 2013, que la Radio r�gionale de Tipasa, en collaboration avec l�Office national de la culture et de l�information (ONCI) et la Direction de la culture de Tipasa , a lanc� un riche programme de festivit�s culturelles et artistiques dans le cadre de la c�l�bration du nouvel an amazigh 2963. La c�r�monie d�ouverture officielle de ce programme festif, qui s�est d�roul� alternativement dans le complexe culturel Abdelwahab-Salim du chenoua, et dans la maison de la culture Dr Ahmed Aroua de Kol�a, fut lanc�e par le chef de la da�ra de Tipasa, repr�sentant officiel du wali de Tipasa, accompagn� d�une grande partie du staff de la wilaya, � l�instar des Directeurs de la culture, de l�administration g�n�rale et du Tr�sor qui ont assist� aux festivit�s. Ces festivit�s furent marqu�es par un ensemble d�expositions portant sur les sp�cificit�s culturelles amazighe du Chenoua mais aussi sur les traditions culinaires o� les visiteurs furent convi�s � go�ter aux plats traditionnels chenouis. Cependant, cette manifestation typiquement amazighe a �t� marqu�e aussi par des concerts artistiques et folkloriques pr�sent�s par des groupes musicaux chenoui, de Tizi Ouzou et du M�zab. Les participants � ces soir�es festives, furent agr�ablement surpris par l�artiste Abderrahmane Zefane et le chanteur Amar Azghal. Il convient de signaler, par ailleurs, que ce fut la sympathique et remarquable animatrice Zohra de l��quipe de la radio r�gionale de Tipasa qui s��tait distingu�e par son burnous �made in Chenoua, de couleur blanche� brod� de fil argent� sur fond dor�, mais aussi par sa grande ma�trise du chenoui, de l�arabe classique et dialectal et aussi par sa grande aisance dans la communication avec le grand public. Les autres animatrices et animateurs de Radio Tipasa �taient � toutes les c�r�monies, � tous les concerts et � toutes les expositions, en affichant le sourire agr�able � la mani�re tr�s technique de cibler les r�actions du public � cet �v�nement. De tout cela, rien n��chappait au regard furtif, mais attentionn� de Mme Maya Zerrouki, la jeune et �l�gante directrice de Radio Tipasa. Cette directrice, on l�apercevait tant�t recevant agr�ablement les notables locaux, mais aussi les autres responsables de la Radio et ceux du secteur de l�information et de la culture, qui avaient fait le d�placement pour la circonstance de ce grand �v�nement qu�est le nouvel an amazigh. Ainsi, Mme Maya Zerrouki, la directrice de Radio Tipasa, se surpassa au cours de ces cinq journ�es allant du 11 au 15 janvier 2012, diss�min�es entre le complexe culturel du Chenoua et la maison de la culture Ahmed-Aroua de Kol�a, tout en g�rant outre la proximit� de sa jeune �quipe, r�partie entre ces deux sites tant en moyens mat�riels que humains qu�au niveau de l�accueil des officiels locaux et de l�int�rieur. Ainsi, on a vu cette courtoise et �l�gante dame sollicit�e au cours de la soir�e d�ouverture, tant par un panel d�invit�s de marque provenant de l�int�rieur et particuli�rement de la capitale, pour s�enqu�rir des programmes de ces soir�es et avoir des informations sur la sp�cificit� de ce festival amazigh que par l��loignement et les distances qui s�parent les deux jeunes �quipes de Radio Tipasa, dont elle avait la charge et dont l�une se trouve � Kol�a et l�autre au Chenoua. Tel un G�n�ral, elle prodiguait sereinement et avec brio une v�ritable assistance et conseils, quelquefois � distance, d�notant un savoir-faire, cachet incontournable de la ma�trise du management et de la supervision. L�assistance, pr�sente � Kol�a et au Chenoua, a remarqu�, l�ineffable accueil de cette dame qui, sans se casser la voix, ni faire le grand m�chant loup ou exiger des explications z�l�es, avait charm� le public qui �tait convaincu que si ces soir�es furent enchanteresses et voluptueuses, ce fut par la gr�ce de l�omnipr�sence de cette dame aux mains d�acier dans des gants de velours. Le public de Kol�a et du Chenoua, tr�s int�ress� par les conf�rences et les expositions qui eurent lieu, avec notamment l�organisation de la tr�s particuli�re �Beit Chenouie� et de la panoplie d�ustensiles en terre cuite sp�cifiquement locaux au Chenoua, fut �tonn� de l�envergure de plusieurs formations musicales amazighe, notamment le groupe de Ahalil de Adrar et de l��toile montante de la chanson Dai Nan, agr�ablement interpr�t�e par la formation chenouie du jeune Idir. En marge de ces festivit�s, M. Ghilaci, le pr�sident de l�association �Ala ou Zerf de Hadjret Ennouss, localit� fonci�rement berb�rophone, � l�instar des autres villes berb�rophones de Gouraya, de Messelmoune, de Sidi Simiane, de Sidi Amar et de Menaceur, situ�es � moins de 30 km de Cherchell, nous d�clare, � propos de la c�l�bration du nouvel an amazigh, qu��un concours dot� de prix et r�compenses allant de 5 000 � 50 000 DA, au profit de laur�ats des concours des meilleurs plat, tenue traditionnelle, danse et poterie et terre cuite (jarres), marmites et fours de terre cuite), fut organis� lors des f�tes du Yennayer pass� au niveau de la ville de Hadjret Ennouss. Plusieurs concurrents et exposants des villes limitrophes y ont pris part.� Mme M. Nadia, une artisane originaire de Gouraya, qui active en exposant ses �uvres diverses, de couture, de tenues traditionnelles et autres ouvrages, au niveau des villes de Damous, Larhat, Beni Haoua et Hadjret Ennous, est formelle. �Notre contr�e berb�rophone allant de Menaceur, en passant par Cherchell et les r�gions montagneuses de Bou Ma�d, Sidi Simiane, Damous, Gouraya et B�ni Mileuk, f�te Yennayer pratiquement de la m�me fa�on, du 11 janvier jusqu�au 13, except� Gouraya et Damous qui prolongent la f�te jusqu�au 17 janvier. Les rituels et les plats locaux ne divergent pas. Le mets des Ikouirines, des boulettes � base de semoule et d�herbes, est incontournable. Le berkoukess, Rfiss, hchim, le palmier nain, certains v�g�taux et des herbes nutritives tel �fliou�, Za�tar, bibras et autres menthes sauvages, sont les ingr�dients de base de toute la gastronomie et des mets de Yennayer de notre contr�e berb�re des monts de Gouraya, Damous, Cherchell et Menaceur� clame fi�rement notre interlocutrice et d�ajouter �Notre r�gion dispose elle aussi de merveilleux orchestres berb�res, � l�instar de la formation musicale berb�re Iyourayene, du soliste chanteur Houari, et de la troupe musicale Itifaouine de Hadjret Ennouss�. Toujours en marge de ces c�r�monies d�di�es au nouvel an amazigh, un pav� fut jet� dans la mare lorsque, M. A�ssa, un irr�ductible militant de l�amazighit� clamera haut et fort et sans discernement : �Le nouvel an chr�tien et le nouvel an musulman outre qu�ils sont f�t�s en Alg�rie par chaque religion, ils sont institutionnalis�s et sont consacr�s par des journ�es f�ri�es. Pourquoi ne pas institutionnaliser le nouvel an amazigh, qui concerne, rappelons-le, outre la contr�e d�Afrique du Nord allant de la Libye � la Mauritanie, mais aussi plus de 90% de la population alg�rienne ?� Larbi Houari GR�VE SUIVIE � 92% � M'SILA Le Cnapest veut �largir ses activit�s aux paliers du primaire et du moyen Her, le secteur de l'�ducation au niveau du secondaire a connu une paralysie presque totale. Plus de 1 600 enseignants � travers 56 lyc�es de la wilaya de M�sila ont r�pondu � l'appel � la gr�ve lanc� par le Cnapest et une grande partie des �l�ves ont �t� renvoy�s chez eux d�s la matin�e de la journ�e. Le taux de participation � ce mouvement de gr�ve a atteint, selon le coordonnateur du bureau de wilaya du Cnapest, Abdelkader Ben Khelil, 92%. Les gr�vistes r�clament le r�glement de plusieurs probl�mes d'ordre socioprofessionnel tels que le logement, la m�decine du travail, les �uvres sociales et l'int�gration des ing�nieurs et du personnel technique des lyc�es techniques (PTLT) dans les rangs des professeurs principaux du secondaire. Par ailleurs, le bureau de wilaya du Cnapest entend �largir ses activit�s syndicales et prendre en charge les paliers moyen et primaire avec la cr�ation pour chacun d�un conseil. A. La�di 614 accidents en milieu urbain Selon le bilan annuel des services de la S�ret� de wilaya, les accidents de la route en milieu urbain sont en hausse et continuent � faire des victimes. Ces services ont enregistr� durant l'ann�e 2012 plus de 614 accidents ayant fait 763 bless�s et 21 morts ; selon les constatations faites dans les grandes agglom�rations. La wilaya a connu ces derniers temps une nette augmentation du nombre de v�hicules, ajoutez � cela l'inapplication du code de la route, l�exc�s de vitesse dans la ville surtout de la part de jeunes automobilistes et motocyclistes, outre le manque de plaques de signalisation et leur implantation d'une mani�re anarchique, la panne des feux tricolores qui dure depuis plusieurs ann�es et le stationnement non r�glement�. Un autre �l�ment vient s'ajouter aux causes des accidents dans les villes : l�existence de ces parkings sauvages qui poussent tels des champignons, au su et au vu de tous les responsables de la wilaya. Cette situation ne fait qu'aggraver le probl�me de l�anarchie. A. L. BLIDA Une bande de malfaiteurs arr�t�e Les �l�ments de la brigade de recherche et d�investigation de la S�ret� de wilaya de Blida ont arr�t� une bande de malfaiteurs compos�e de trois individus qui d�lestaient les citoyens de leurs biens et volaient leurs voitures, apr�s avoir provoqu� des accidents de la circulation. Les mis en cause op�raient g�n�ralement la nuit � la p�riph�rie de la ville de Blida, au niveau de la zone industrielle. En effet, l�un d�eux heurtait intentionnellement des voitures au passage de cette zone, aux fins d�obliger le conducteur � s�arr�ter pour constater les d�g�ts. Et c�est � ce moment pr�cis que ses acolytes arrivaient � bord de deux autres v�hicules et mena�aient leur victime � l�aide d�armes blanches et de bombes lacrymog�nes. Apr�s avoir pris son argent, son t�l�phone portable et sa voiture, les trois malfaiteurs disparaissaient dans la nature. Pr�sent�s devant le procureur de la R�publique du tribunal de Blida, les trois mis en cause ont �t� plac�s sous mandat de d�p�t. Il est � noter que l�enqu�te est rest�e ouverte pour l�identification et l�arrestation d��ventuels autres complices. M. B. Le minist�re de la Jeunesse et des Sports nous �crit Suite � l�article paru dans le Soir d�Alg�rieen date du 13 janvier 2013 relatif � l�Ecole nationale des sports �questres de Blida, nous avons re�u la mise au point suivante du minist�re de la Jeunesse et des Sports. �Dans son ambition de d�velopper la fili�re des sports �questres et la mettre au niveau international, le minist�re de la Jeunesse et des Sports, en relation avec les autorit�s locales et le mouvement associatif, a d�cid� l�implantation � Blida de l�Ecole nationale sp�cialis�e des sports �questres r�gie depuis le 18 ao�t 2011 par un d�cret ex�cutif. Revenant sur les arguments sp�cieux avanc�s par les responsables de l�association locale, nous tenons � pr�ciser, � cet effet, que l�expertise �voqu�e dans cet article n�est, en fait, qu�un rapport de mission �tabli par le cadre de l��cole de Saumur sollicit� par la F�d�ration alg�rienne sur recommandation de l�association du club hippique de la Mitidja en vue de cr�er dans notre pays une �cole similaire, toutes proportions gard�es, � celle �voqu�e. Apr�s �tude de ce rapport et analyses des derniers mod�les en conformit� avec les normes internationales et les sp�cificit�s nationales, les r�alisations du P�le international de Deauville et de l�Institut du cheval au Maroc ont �t� retenues, pouvant �tre r�pliqu�es sur l�assiette existante de Blida. A souligner �galement que le projet pr�sent� par le bureau d��tudes choisi s�est appuy� sur le respect de l�architecture historique, et la minimisation des surfaces constructibles en tenant compte des objectifs mixtes de formation et de loisir tout en pr�servant l�acc�s � un large public. Cette volont� affirm�e de faire acc�der le plus grand nombre de jeunes � un programme de formation innovant, dipl�mant et multidimensionnel de l��cole se traduit par la mise en place de programmes de sp�cialistes de la fili�re �quine, pouvant aller jusqu�� l��quitation scolaire ou l��quith�rapie. A la lumi�re de ces consid�rations, il est �vident que les arguments de l�association contestataire consult�e et collaboratrice pourtant durant toutes les phases de r�alisation de ce projet sont d�nu�s de tout fondement et r�sultent, peut-�tre, d�une mauvaise compr�hension du projet consid�r� et de sa port�e nationale. Il avait pourtant �t� conjointement d�cid� lors de la r�union du 22 octobre 2012 pr�sid�e par le wali de Blida et regroupant l�association et les repr�sentants de l�association des notables de Blida, de la prise en charge des probl�mes soulev�s par le biais d�une convention r�gissant les relations entre l�Ecole et l�Association.�