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LES MUTATIONS SOCIO-POLITIQUES
Leçons du passé et perspectives d'avenir (5e partie et fin)
Publié dans Le Soir d'Algérie le 31 - 07 - 2013

Par Dr. Mohamed Larbi Ould-Khelifa Chercheur universitaire
Toutes ces bombes à retardement doivent être désamorcées par les soins de notre élite intellectuelle et politique avec prudence car l'union issue de l'expérience historique et de la grande révolution pour la libération ne peut admettre d'être une simple pièce de domino ou de renoncer à cette unité nationale et à la souveraineté pour lesquelles un lourd tribut a été payé. D'aucuns dans notre pays ne doivent omettre un instant le rôle de la main invisible et ce à quoi s'attellent certains dans le proche et lointain entourage, convaincus qu'affaiblir un pays dans la région constitue une force pour eux, ce qui appelle les forces vives ainsi que toutes les composantes politiques sociales et culturelles à s'inspirer de manière subtile de ces vers : «Il dort d'un œil et guette les dangers de l'autre, vigilant il est, même s'il donne l'impression de dormir.»
Conclusion : les leçons de Tiguentourine
Après l'ignoble attaque contre la base pétrolière de Tiguentourine à Aïn Amenas, déjouée par l'Armée nationale populaire (le toponyme de Tiguentourine qui vient de la langue amazighe est le pluriel de taguentour qui signifie petit vallon ; quant au toponyme Amenas, il signifie «le caravansérail», sans doute un toponyme dérivé par assimilation de la langue arabe et qui signifie une fontaine vers laquelle les gens affluent. Le professeur Ben-Attia, spécialiste en étymologie, pourrait bien nous éclairer sur cette assimilation et cette conjonction ; il faudrait, cependant, revenir aux origines arabe et amazighe des toponymes de nos villes en respectant leur prononciation). Les protestations qui ont précédé et suivi cet évènement suscitant l'intérêt des politiques par nationalisme et celui de politiciens pêchant en eau trouble, sachant que les eaux du Sud sont claires tant que leurs sources coulent en Algérie. Nous nous devons de revoir ce que nous avons effectué durant les cinquante dernières années et songer aux défis qui s'imposent au pays à la moitié du siècle à venir lorsque que nous célébrerons le centenaire du recouvrement de la souveraineté et amorcerons l'édification de l'Etat et la refonte de la République. Nous nous devons aussi d'outrepasser les réactions face aux mauvaises surprises afin d'empêcher les ennemis, tous les ennemis, de miser sur l'instabilité du nord ou du sud de l'Algérie. L'Algérie occupe une place de choix au sein de la majorité des pays du continent africain. Elle a soutenu la lutte de ses peuples pour la liberté et l'indépendance avec une intégrité exemplaire et n'a rien demandé en contrepartie, elle n'a jamais demandé de faire allégeance à Amir Lmouminine. Après l'indépendance, soit durant la moitié du siècle passé, l' Algérie a pris en charge des milliers de jeunes Africains au niveau de ses écoles et de ses universités loin de tout endoctrinement ou lavage de cerveau, elle a également octroyé généreusement des aides financières à l'instar de l'effacement des dettes de certains pays africains qui ont souffert et qui continuent de souffrir de la sécheresse et des épidémies. L'Algérie est la locomotive de l'Union africaine, elle est en effet le plus grand pays de par ses frontières et sa profondeur africaine. Cependant, elle ne manifeste aucune visée expansionniste, elle a également plaidé dans toutes les tribunes internationales pour la conservation du tracé des frontières tel qu'il l'était avant l'indépendance des pays africains. Voir l'étude intitulée : La guerre de libération et les mutations régionales et internationales. Alger, janvier 2012. En géographie, tous les pays sont délimités par un sud et un nord et au-delà de l'histoire ancienne et récente, l'Algérie, peuple et Etat représentent le Nord et le Sud. Cette expression prend tout son sens en rappelant à qui de droit que le grand Sud recèle un immense stock d'eau potable qui constitue, selon les experts et les images satellites, la plus grande réserve en eau dans le monde estimée à plus d'un million de kilomètres carrés. Il est également à noter que notre grand Sahara est une des régions les plus ensoleillés au monde, d'une capacité estimée par les spécialistes en énergies alternatives à ce qui égale 100 centrales nucléaires toutes actives en même temps. Cette énergie suffirait au Maghreb, à une partie de l'Afrique et du Sud, de la Méditerranée. En outre, l'Algérie recèle une grande réserve en gaz de schiste que nous n'avons pas cité et qui est estimée à des trillions de tonnes. Comparée au pétrole, cette question a suscité de grandes polémiques au niveau du Parlement et dans les médias. Certains écologistes ont négligé les visées de nombreux pays du nord sur cette importante réserve, mais de l'avis de nombreux spécialistes, l'exploitation du gaz de schiste serait plus bénéfique que dommageable ; et quoi qu'il en soit, nous ne sommes pas des spécialistes pour pouvoir donner notre avis sur le sujet. La question autrement posée est : ne serait-il pas préférable d'exploiter cet immense gisement par nous-mêmes que de le laisser aux mains des autres qui ne s'en gardent d'ailleurs pas d'afficher tout haut leur convoitise ? Que signifient sinon les déclarations de hauts dirigeants répétées à partir de Paris et du nord du Mali à propos de la libération du Sahel et du Sahara ? De quel Sahara parle-t-on ? Sont-ce les prémices des dangers qui guettent notre Sud et la relance du plan colonial pour lequel la France créa le ministère du Sahara, lequel plan baptisé l'organisation commune des régions sahariennes en 1957 ? Cette propension colonialiste et ces fantasmes empiriques constituent la motivation et l'objectif constants de toutes les grandes puissances outre-Méditerranée et outre-Atlantique. Certains de nos collègues traitent nos appels à la vigilance contre le retour des colonisateurs et des visées de l'empire impérialiste de romance et considèrent que notre manière de penser s'est figée dans les années soixante-dix, alors que les preuves de ces visées se confirment de jour en jour notamment en Afrique fragilisée et d'une manière directe dans toute l'Afrique de l'Ouest et dans ce qu'on appelle la Françafrique. Les évènements de la Côte d'Ivoire et de son ex-président jugé à La Haye sont des leçons pour ceux qui n'obéissent pas aux ordres des patrons, qu'ils soient démocrates ou dictateurs, des patrons qui ne se contentent pas d'implanter des bases militaires et d'exploiter les ressources d'un continent à l'image d'un prédateur s'acharnant sur sa proie Dans son ouvrage intitulé Bringing Back Empire, le chercheur américain H. Lebovics a analysé la culture coloniale qui domine les pays occidentaux en général, une culture qui ressurgit à chaque fois que ces pays s'exposent à des crises internes et c'est ce à quoi nous assistons aujourd'hui à travers l'attitude des politiques français et britanniques qui guettent les zones de conflits si, parfois, ils n'en sont pas eux-mêmes les instigateurs, notamment dans leurs anciennes colonies, ce qui leur permet de vendre des armes aux parties en conflit aussi bien en Afrique qu'au Moyen-Orient (qui paye le prix ?). Comme s'ils se vengeaient d'avoir été chassés de ces pays. En effet, c'est la première fois depuis la création des Nations unies en 1948 que les deux pays sus-cités visent à armer ouvertement une opposition même en dehors de la Charte des Nations unies.
D'où émane cette assurance ?
Quelle que soit la nature du régime en place en Syrie ou en Libye où l'OTAN s'est mobilisée pour changer le régime et où on a exhibé le corps de son premier responsable sur toutes les télévisions du monde au lieu d'un jugement juste, nous avons également le souvenir du même sort qui avait été réservé déjà à l'Irak et à son président, pays qui n'a pu se relever à nos jours. Partant de ce constat, d'autres pays arabes et africains pourraient figurer sur la liste s'ils venaient à ne plus être aux ordres. Le retour sur la scène de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) après une léthargie n'est pas fortuite, alors que la plupart de ses membres sont des pays pauvres et qu'ils souffrent périodiquement de famine et de sécheresse, ils ne possèdent pas plus de forces de sécurité ou des forces moindres qui elles-mêmes sont sous surveillance en prévision d'éventuelles insurrections ou coups d'Etat qui pourraient advenir à chaque fois qu'il y a un retard dans les salaires. Les grandes puissances connaissent bien les défaillances et les faiblesses de ces armées. Que cache alors cette volonté d'impliquer l'Algérie dans une guerre en dehors de ses frontières ? Elle a pourtant averti des retombées de cette guerre avant et après le coup d'Etat contre le président élu Amadou Toumani Touré suivi par un autre putsch dans un pays sans légitimité et qui, dit-on, a demandé l'intervention d'un pays étranger à l'organisation africaine. Ne sommes-nous pas en mesure de nous poser des questions quant à ceux qui ont fomenté ces coups d'Etat ? Les gisements d'uranium, d'or et d'hydrocarbures ne seraient-ils pas leurs moteurs ? En Afrique, aucun pays n'a autant souffert des affres du terrorisme que l'Algérie qui a enduré une longue guerre d'usure. Elle a lutté contre le terrorisme, seule, sans aide ni appui. Longtemps avant les attentats contre les tours jumelles de New York en 2001 et celui perpétré contre le métro de Londres en 2005, l'Algérie était isolée par la communauté internationale et son armée injustement mise au banc des accusés. C'est un plan que nombreux se sont appliqués à exécuter, néanmoins la vigilance constante, citée précédemment par le poète qui dépeint la férocité des loups affamés, tend aussi, à les faire désespérer d'un quelconque butin aussi bien dans notre pays qu'au sein de notre profondeur stratégique arabo-africaine. A cet effet, de nombreuses mesures ont été énumérées dans l'étude intitulée L'Algérie et le monde, caractérisques d'un siècle et écho d'un millénairepubliée en 2001 et qui sera éditée une deuxième fois, vu que la fin de cette décennie a connu de nombreux changements. Nous ajouterons une proposition qui a été au centre des débats de certains responsables depuis le début de cette décennie et qui consiste à transférer la capitale de l'Etat algérien du Nord au Sud et de faire de l'actuelle capitale une ville à caractère économique, commerciale et touristique dans laquelle sera gravée la mémoire spirituelle et historique. Nos arguments reposent sur les points suivants :
1- Le flagrant déséquilibre de la densité démographique fait que le territoire national ressemble plus à un terrain de football qui permettrait à l'équipe la plus douée et la plus entraînée d'occuper tout le terrain et ne laisser aucun espace vide à l'équipe adverse. Jusqu'à quand durera la concentration de la population sur un littoral étroit, alors que le Sud et les Hauts-Plateaux sont presque désertés par les habitants ? Dans quel état sera l'actuelle capitale quand sa population dépassera les six ou sept millions d'habitants ? Que restera-t-il des vergers de la Mitidja dévastés par le béton ?
2- La concentration de la population sur une bande côtière étroite est une des raisons qui font que beaucoup de secteurs relatifs à l'emploi, l'habitat et autres services se retrouvent dans cette posture dite du «paradoxe d'Achille et de la tortue» bien connue en mythologie grecque à laquelle s'ajoute l'exiguïté des lieux qui engendre, selon les criminologues et les démographes, la recrudescence du phénomène de la criminologie et de la délinquance, notamment lorsque cette concentration née dans des habitations ressemblant à «des cages à poules» en face desquelles se dressent des palais qui rivalisent avec ceux des stars californiennes et de Las Vegas dans une société s'initiant à la culture urbaine prédominée par l'individualisme et la famille nucléaire et où la classe moyenne rétrécit comme une peau de chagrin.
3- Seuls cinq pays au monde ont des capitales côtières, quant aux capitales des autres grands pays, à l'instar des Etats-Unis d'Amérique (Washington), de la Russie (Moscou), de la Grande- Bretagne (Londres), de l'Allemagne (Berlin), de la Chine (Pékin) et de l'Inde (New Delhi), celles-ci se situent à l'intérieur des zones côtières, et les pays qui avaient des capitales sur la côte, comme le Brésil, le Nigeria et le Pakistan ont dû les transférer vers l'intérieur à la fin du siècle dernier. La Turquie a, pour des raisons politiques, choisi Ankara, ville intérieure, comme capitale et abandonné Istanbul, autrefois capitale de son empire donnant sur le Bosphore et le Détroit des Dardanelles.
4- Le Nord est une zone sismique, contrairement au Sud qui est plus sûr. Il y a lieu de rappeler également que l'actuelle capitale ainsi que sa périphérie ont connu par le passé des séismes. En plus de sa nature topographique, elle donne sur la mer et est bordée par l'Atlas blidéen ; elle accueille en son sein les dédales de l'antique Casbah, autrefois le sanctuaire des lions de la révolution et de ses fidaiyine. La particularité de cette architecture a privé La Casbah d'une grande place et d'autres infrastructures de divertissement et de détente à l'instar des capitales modernes côtières ou situées dans l'arrière-pays (Interland).
5- La question relative à l'environnement et au climat ne représente pas une entrave, car l'homme s'adapte de manière naturelle. On citera pour cela les premiers Américains qui ont vite conquis le Far West et dont certains volets nous sont rapportés dans des films western relatant la vie de cow boys, un climat où la température dépasse les 45° et où la densité démographique est importante et l'activité commerciale florissante. Ceux qui ont la chance de se rendre au Nevada, qui, pourtant était un désert aride, seront surpris de la densité de sa population et seront accueillis par des jardins et des oasis enchanteurs. Nous citerons aussi cet immense contrée métropolitaine qu'est le Canada où la température atteint partout les -45°, et les Emirats arabes unis qui font partie de ce qu'on nomme communément «elthoulth el khali». N'est-il pas dit qu'il faut s'endurcir car la civilisation n'est pas éternelle? C'est à nos jeunes de bien méditer ces paroles et de les adapter comme suit : la civilisation nécessite l'endurance et la combativité.
6- Nous n'évoquerons pas le projet de Boughezoul qui, de toutes les manières, pourrait être un pôle dans les Hauts-Plateaux sans pour autant proposer une région quelconque car la question nécessite des études approfondies qui comportent aussi bien l'aspect sécuritaire que les délais de réalisation qui pourraient s'étendre sur une dizaine d'années ou plus, mais il serait préférable qu'elle soit à une distance de 800 km au sud de l'actuelle capitale, et ce, pour ne pas avoir à ajouter «capitale» en langue arabe à chaque fois que l'on parle d'Alger, car Alger n'est pas l'Algérie. Nous partageons l'avis de l'ex-ministre, Dr Boualem Benhamouda, qui a appelé à unifier la transcription des noms des villes algériennes en langue arabe ou en langue amazighe et leur transcription en langue française conformément à leur origine et non tel qu'imposé par les autorités coloniales. Nous citerons comme exemple les Américains et les Britanniques qui prononcent le toponyme de la capitale française «Paris» alors que les français prononcent «Pari», mais pour la capitale britannique, ils diront «Londres» et non «London» comme prononcé par les Britanniques.
7- Le développement des technologies militaires, notamment les satellites et les armes balistiques, fait qu'aucun endroit sur terre n'est à l'abri d'une attaque offensive destructrice, sachant que, par le passé, toutes les attaques contre l'Algérie, depuis les Romains et jusqu'à la dernière invasion française par Sidi-Fredj ont été perpétrées par voie maritime et non pas par l'Afrique, c'est-à-dire par le Sud. C'est pour cette raison que le fait d'avoir notre capitale à l'intérieur permettrait d'établir plus d'équilibre et évitera ainsi d'associer le Sud à un grand centre pénitentiaire à ciel ouvert. Il est aussi annoncé que la compagnie Air Algérie s'apprête à faire des réductions allant jusqu'à 50% sur les billets de nos concitoyens en provenance du Sud. Combien de temps faudra-t-il pour vider le Sud de ses habitants ? Quand pourrons-nous voir des réductions sur les tarifs des billets vers le Sud et l'encouragement du voyage sur la route de l'union et la profondeur Africaine? Y a-t-il âme qui lise ? Qui écoute ? Qui comprenne ? Qui médite ?


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