La patron du groupe Elsecom, Abderrahmane Achaïbou, a réaffirmé aussi les efforts accomplis par son entreprise pour hisser la qualité des prestations de service aux normes internationales et permettre aux clients algériens de bénéficier des mêmes niveaux de qualité. Invité à donner son avis sur l'évolution du marché de l'automobile dans notre pays, il soutiendra que «le marché national a été désordonné par des importations massives de véhicules alors que l'infrastructure routière est restée en de-ça des attentes. Elle n'a pas connu les mêmes niveaux d'évolution pour s'adapter aux flux importants de voitures qui circulent dans le pays. C'est ce déséquilibre qui crée l'illusion d'un parc automobile saturé. En réalité, l'Algérie n'a pas assez de voitures, comparativement à d'autres pays et proportionnellement à l'étendue du territoire et au nombre d'habitants.» Pour lui, l'urgence «c'est de mettre de l'ordre dans la marché automobile national et de développer et moderniser le service après-vente».