Le contrôle des valeurs en douanes «nécessitera plus d'efforts», indiquait hier le gouverneur de la Banque d'Algérie qui précisait que le contrôle des transactions de biens et marchandises relève des services douaniers. Certes, Mohamed Laksaci a relevé, à maintes reprises, le «rapprochement» entre son institution et les Douanes nationales. Ainsi, la coordination entre la Banque d'Algérie, en charge du contrôle a posteriori des règlements et des paiements, et l'administration des douanes en matière de compilation des données de la balance commerciale et de lutte contre les infractions de changes «est effective sur le terrain», estime M. Laksaci. Il s'agit, ce faisant, d'avancer davantage en matière de facilitation et amélioration du dispositif de dédouanement.