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Le Soir du Centre
Bouira Quel plan de circulation pour la ville ?
Publié dans Le Soir d'Algérie le 06 - 11 - 2013

Avec une population de près de 100 000 habitants, et un flux de visiteurs venant des quatre coins de la wilaya, qui en compte plus de 750 000 habitants et même des quatre coins du pays, la ville de Bouira, considérée comme ville carrefour par excellence, n'arrive plus à gérer le quotidien de ses propres habitants et devient un véritable calvaire pour le visiteur.
Avec un plan de circulation élaboré durant les années 1990 et devenu aujourd'hui quasiment obsolète, la ville étouffe et devient de plus en plus insupportable. Pour faire face à cette situation, un bureau d'études des transports a été engagé par la wilaya pour faire une étude globale et sortir avec des propositions concrètes quant à un véritable plan de circulation pour la ville de Bouira.
Ce dimanche, une rencontre sur ce sujet a été organisée en présence du wali et des différents chefs d'exécutifs, concernés par le problème.
Après la présentation de la première phase par le bureau d'études des transports ou Betur, le wali a invité les présents à débattre de ces propositions et donner leurs remarques afin que les prochaines étapes d'élaboration de ce nouveau plan de circulation soient des plus exhaustives et capables de répondre, tant à moyen qu'à long terme, à la demande de cette ville, chef-lieu de wilaya en terme de circulation des véhicules et des personnes. Ainsi, dans cette première phase, quelques chiffres ont été annoncés et concernent surtout, d'après les études faites sur terrain, la ville de Bouira. Dans cette ville traversée par l'autoroute Est-Ouest et la RN5, il y a quotidiennement près de 27% de trafic automobile, œuvre de personnes vivant à l'intérieur de l'agglomération, 50% d'automobilistes sont comptés parmi les ceux venant de l'extérieur pour une raison ou pour une autre et enfin, et là, le wali a insisté pour trouver une solution urgente à ce phénomène, 23% sont des automobilistes transitaires dont certains passent par simple curiosité.
Lors des débats, plusieurs remarques ont été faites au bureau d'études en commençant par l'étude elle-même qui devra se faire en tenant compte l'extension de la ville, tant du côté ouest que du côté est, du futur pôle universitaire qui aura dans le court terme, plus de 15 000 étudiants qui devront être transportés de leurs résidences vers leurs différentes facultés, en passant par ceux, étudiants en régime externe et qui viennent quotidiennement des villes limitrophes et situées sur un rayon de 30 kilomètres. Tout ce beau monde, ajouté aux milliers de travailleurs, élèves et autres fonctionnaires vivant dans ces communes proches de la wilaya et désirant quotidiennement arriver à temps, c'est-à-dire avant huit heures, devront être pris en compte dans le nouveau plan de circulation de la ville.
Une remarque faite également par le directeur de l'Agence foncière de la wilaya qui a rappelé à juste titre d'ailleurs, les nouveaux pôles urbains en cours de réalisation et qui doivent être pris en compte, ou encore les signalisations horizontales et verticales, signalées par le représentant de la Sûreté de wilaya et qui doivent être réalisées et prises en charge et de même dans le nouveau plan de circulation. Une autre rencontre est prévue dans un mois, où il sera question cette fois-ci d'un plan plus élaboré qui aura tenu compte des propositions faites lors de cette première journée, dédiée beaucoup plus à une prise de contact entre ce bureau d'études, spécialisé dans le transport, et les directeurs d'exécutif concernés par ce plan, dont, bien entendu, la Direction des transports qui collabore entre ces différents services et qui est harcelée quotidiennement par ce flux de plus en plus important de véhicules tous types confondus, qui étouffent la ville de Bouira, qui a déjà trouvé certains palliatifs notamment depuis le transfert de la gare routière située au centre-ville vers la sortie ouest près de l'autoroute, ou encore la route de déviation réalisée à la périphérie nord, construite en double voie et qui a permis surtout la déviation des camions poids lourds hors de la ville.
En somme, plusieurs propositions intéressantes ont été avancées dont, entre autres, la trémie qui devra être réalisée au carrefour de la route de Haïzer pour désengorger la RN5, ou encore la nouvelle route qui est en cours de réalisation après la démolition de l'ancienne prison du centre-ville de Bouira. Toutes ces réalisations futures, ajoutées aux aires de stationnement dont la réalisation de plusieurs parkings à étages est confiée à l'Agence foncière, devront apporter un soulagement aux habitants de la ville de Bouira mais également à tout visiteur désirant se déplacer aisément vers telle ou telle direction, service, clinique ou cabinet médical, d'une manière plus aisée.
Y. Y.
Tipasa
L'Association des consommateurs monte au créneau
C'était en concertation avec plusieurs wilayas que l'Association de protection et d'orientation du consommateur de la wilaya de Tipasa vient d'observer depuis le 2 novembre passé, une action de boycott du marché avicole à laquelle a appelé un panel d'associations de protection et d'orientation du consommateur.
Pour B. Hamza, le responsable de l'Association de protection et d'orientation du consommateur de la wilaya de Tipasa, «ce boycott permettra de mettre en évidence les transactions douteuses des intermédiaires pouvant altérer le fonctionnement de la filière avicole sachant qu'il s'agit d'un marché juteux pour les intermédiaires véreux qui réalisent d'importants bénéfices au détriment des aviculteurs eux-mêmes, tout en bénéficiant des exonérations de la TVA et des avantages liés à l'importation des matières premières et les intrants de la filière avicole».
Poursuivant son exposé, B.Hamza, révélera la stratégie du boycott, «il s'agira de boycotter les ventes d'œufs dont le prix excède 10 dinars. On a vu la semaine dernière, la vente de plateaux d'œuf à 360 dinars.
Aucune explication crédible n'a été donnée par le bureau interprofessionnel de la volaille sur cette hausse inexpliquée du prix des œufs», relève B.Hamza qui indique que «les raisons de ces augmentations telles qu'évoquées par le bureau interprofessionnel de la volaille restent liées au foisonnement des revendeurs et des intermédiaires véreux. C'est face à ce mépris du consommateur qu'on a décidé d'observer une période de boycott des achats des œufs, en adoptant le slogan suivant : «Gardez vos œufs pour qu'ils deviennent des poussins.»
«Les wilayas d'Alger, Tipasa, Tiaret, Ouargla, Djelfa, Chlef et Biskra, ont adopté et mis en œuvre ce boycott et ce slogan depuis le 2 novembre passé», ajoute notre interlocuteur qui poursuit que «à ce jour, les résultats sont stupéfiants, le prix du plateau qui était fixé à 360 dinars a dégringolé vers 260 dinars. Cette baisse des prix prouve que les marges bénéficiaires des intermédiaires étaient indues. Nous sommes convaincus que la poursuite de ces actions permettra de faire baisser durablement les prix et démontrer, que les bénéfices réalisés par ces intermédiaires véreux sont indus», clame B. Hamza, qui poursuit : «on s'attend à une nouvelle baisse des prix de l'œuf, sachant que le boycott reste maintenu dès que le prix de l'œuf dépasse 10 dinars».
Abordant la situation du prix du sachet du lait qui, dans certaines contrées, avoisine 30 dinars, B. Hamza, le président de l'Association des consommateurs de Tipasa, dira : Nous avons eu connaissance de ce type d'augmentations abusives du prix du sachet du lait. Nous avons informé la Direction du commerce et des prix , qui s'est déplacée en direction de ces commerçants véreux, qui risquent de voir leurs commerces verbalisés ou fermés.»
Quant à l'application du prix de 10 dinars la baguette de pain simple, B. Hamza est clair «le consommateur, devra payer la baguette de pain à 7,50 dinars et non 10 dinars. Il devra en conséquence réclamer la monnaie lorsqu'on lui exige un montant supérieur.
Le consommateur devra être partie prenante de notre combat», conclut notre interlocuteur. Ce dernier estime par ailleurs, «qu'il est urgent de mettre en place des outils de contrôle et de surveillance des tarifs, à l'instar d'un système de mercuriale pour les produits de large consommation, exigeant aux commerçants d'afficher les prix d'achat et de vente, à l'instar du marché de gros de Hattatba, qui utilise une base de données informatisée actualisée d'heure en heure au profit de ceux qui s'y approvisionnent en fruits et légumes».
Larbi Houari
Dépossédés de leur amphithéâtre à l'université de Tizi-Ouzou
Les étudiants en chirurgie dentaire en grève
Les étudiants en chirurgie dentaire de la faculté de médecine de Tizi-Ouzou sont en passe de boucler leur troisième semaine de grève sans que des prémices de solution à leur problème apparaissent, à les en croire.
Trois semaines d'un arrêt de cours agrémentées, lundi, par la fermeture de la clinique de chirurgie dentaire du centre-ville de Tizi-Ouzou. Une action radicale qui illustre on ne peut mieux le désarroi de ces 200 futurs chirurgiens dentistes, décidée après avoir tout tenté pour qu'on n'en arrive pas là, assurent des étudiantes en plein désarroi.
Depuis trois semaines donc, la colère est allée crescendo chez les étudiants de 4e, 5e et 6e années lesquels, du jour au lendemain, se sont retrouvés dépossédés de leur amphithéâtre qui a servi à des centaines de dentistes depuis plus de vingt-cinq ans, mais qui, du jour au lendemain, sur une décision qu'ils qualifient de totalement irréfléchie, a été affecté à des paramédicaux. Et à les suivre, les dentistes n'ont pas l'intention d'en démordre, sans cette histoire d'amphithéâtre, ils suivent un cursus dans des infrastructures qui ne répondent plus ni à l'exigence de la qualité de l'enseignement requis ni au nombre d'étudiants qui s'entassent notamment à la faculté de médecine de l'Université de Tizi-Ouzou, érigée en 1981 dans des locaux, pour le moins que l'on puisse dire, totalement désuets.
M. Azedine
Béjaïa
Deux morts et un blessé grave dans un accident de la circulation à Seddouk
La route ne cesse de faire des victimes dans la wilaya de Béjaïa.
Deux morts et un blessé grave, tel est le sinistre bilan d'un tragique accident survenu, lundi dernier, aux environs de 2 heures du matin, sur la RN 74 reliant les wilayas de Béjaïa, de Sétif et de Bordj-Bou Arréridj, au lieudit Tourna Laïd Adjaoud, dans la région de Seddouk, selon la Protection civile. A l'origine du drame, le dérapage d'un véhicule léger de marque Peugeot avec à son bord quatre passagers.
Le conducteur, ayant perdu le contrôle de son véhicule à hauteur d'un virage dangereux, a percuté frontalement un scooter avant de finir sa course à quelque deux cents mètres plus bas dans un ravin, rapporte notre source. Deux passagers sont décédés sur le coup alors qu'un troisième a été transféré dans un état comateux à l'hôpital d'Akbou . Le conducteur du scooter s'en est sorti miraculeusement avec quelques blessures légères, selon la Protection civile.
A. K.
M'sila
Arrestation d'un coiffeur dealer
Les éléments de la police ont arrêté, au cours de la semaine dernière, un coiffeur âgé de 25 ans, qui commercialisait du kif traité dans son atelier de coiffure où une quantité de drogue de 12,5 g, un sécateur pour découper la marchandise et une somme de 2 600 DA, selon le communiqué de la Sûreté de wilaya. Le contrevenant a été écroué pour vente de stupéfiants.
Un autre dealer a été arrêté sur la base d'informations parvenues au commissariat de police de la ville de Sidi Aïssa. L'individu, âgé de 32 ans, a été cueilli lors d'un traquenard en possession de 89,9 g de kif traité et d'un montant de 16 000 DA. A l'issue de l'enquête, le mis en cause a dénoncé son pourvoyeur, un certain M. Y., âgé de 35 ans et résidant à Dar-El-Beïda, Alger.
Les deux individus ont été placés sous mandat de dépôt sur ordre du procureur du tribunal de la daïra de Sidi Aïssa.
A. Laïdi
BLIDA
Un enfant de quatre ans écrasé par un camion
Un enfant de quatre ans est mort hier, écrasé par un camion à Bouarfa, commune située à 3 kilomètres de Blida. Le drame s'est produit lorsque le chauffeur du camion effectuait une manœuvre pour stationner son engin devant sa maison. N'ayant pas vu le gamin qui se trouvait derrière le camion, le chauffeur entendit un cri mais quand il s'arrêta ce fut trop tard. L'enfant se trouvait déjà sous le pneu du poids lourd. Le corps de la victime a été transféré à la morgue de l'hôpital Frantz-Fanon de Blida. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie.


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